Je revenais des autres

Petite déception pour ce roman.

J'avais tellement aimé tout le bleu du ciel, apprécié Les lendemains.

Mais la je n'ai pas accroché à Ambre, aux différents personnages etc

Sur la fin j'ai même fini par survoler car je trouvais l'histoire redondante.

Je ne lirais pas la suite.

Je vous fais un retour sur cette duologie car je les ai lu l'un après l'autre. Et encore une fois je me suis immergée dans la plume de l'autrice.

Son point fort : toujours les descriptions et là les montagnes n'ont jamais paru plus belles. Surtout dans le tome un, j'ai presque senti la neige, les sapins, le vin chaud...

L'ambiance hivernale était à son comble. Pour les lecteurs de saisons, c'est le parfait moment pour plonger dans ces récits.

¡Mes émotions se sont entrechoquées entre la joie, la tristesse, la colère. Même l'atmosphère y a ajouté son grain de sel entre l'oppression, la bienveillance, la bonne humeur.

Les personnages sont comme d'habitude, le reflet de l'humanité et il est impossible de ne pas s'y attacher. Leurs relations sont à la fois complexes et fraternelles. J'ai beaucoup aimé Wilson, un peu bourru mais tellement naturel.

Peut-être le roman de Melissa da Costa que j'ai le moins apprécié.

Je n'ai absolument rien ressenti. Rien de rien. J'ai détesté Ambre, et à part Rosalie, j'ai trouvé les autres personnages plats. Tout comme la plume, trop descriptive. "Ambre a fait-ci, Tim fait comme ça... Pas mal de répétitions aussi.

C'est un détail, mais il m'a perturbé, le récit au passé simple. J'ai eu l'impression que ce livre n'avait pas été écrit par Mélissa Da Costa.

Histoire sympa, lespersonnaes sont attachantset on veut savoir comment tout cela va évoluer! Sympa !

Dieu que ce livre fut compliqué à entamer. Les scènes d’entrée sont d’un cru déstabilisant et je me suis demandée comment j’allais faire.

Puis je me suis laissée porter et c’était vraiment beau, cette valse entre tous les personnages, leur humanité presque déstabilisante. C’est l’une de ces fois où l’on n’a pas de protagonistes tout noirs ou tout blancs. Ils sont faillibles, aimants, aimables, fort humains. Et c’est génial.

J’ai versé de belles larmes. Et je SAVAIS que Wilson était d’une importance sans nom dès les premières lignes qui l’ont mentionné. Sûrement parce qu’il m’a rappelé ce vieux monsieur dans tout le bleu du ciel (j’aime les vieux aigris ours de personnages…)

Autrement, all my homies hate Philippe. Ce mec méritait l’enfer et ce semi arc de rédemption m’a agacée. Il ne mérite RIEN. Connard.

(Oups ?)

J'ai beaucoup aimé cette histoire ! L'autrice a le don d'inventer des personnages complexes et ambigus. En outre, elle décrit merveilleusement bien les paysages et lieux qui existent réellement. Elle donne envie aux lecteurs de se promener dans la forêt avec Wilson, de découvrir le lac de Roue avec Tim etc. Je me réjouis de lire les douleurs fantômes avec les mêmes personnages.

Une belle découverte, très addictif.

"Elle sourit. Car elle venait de comprendre, avec un mélange de tristesse et de mélancolie, qu’il valait mieux pleurer toutes les personnes merveilleuses qu’on perdait plutôt que de ne jamais les avoir connues.”

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C'est le 2eme roman de l'auteur que je lis et je dois dire qu'encore une fois, j'ai été happé par la plume de la romancière.

On suit une jeune fille malmenée par la vie qui peine à avancer et à vivre. C'était très sombre, au début surtout mais peu à peu elle apprend à se soucier des petites choses de la vie, elle se reconstruit et c'était captivant.

J'ai beaucoup aimé la dynamique entre les personnages. Ils forment une famille.

Chacun est un peu "cassé" au final. Et chacun réapprend à vivre au fil des pages qui filent.

C'est un gros pavé mais il se lit très vite.

Je lirai d'autres livre de l'auteur qui a su retenir mon attention et me faire passer de très bon moment de lecture.

Premier livre de cette autrice ! C'était une histoire très touchante, avec certains personnages très attachants.