Extraits

Nos vrais ennemis sont en nous-mêmes.

C'est ainsi qu'on tombe amoureux, en cherchant dans la personne aimée le point qu'elle n'a jamais rêvélée.

Le courage d'un homme se mesure à sa capacité à endurer la vérité.

La chance c'est comme le Tour de France, on l'attend longtemps et ça passe vite.

Nous avons tous intérêt à chasser nos pensées négatives, à voir le verre à moitié plein plutôt qu'à moitié vide. Pour y arriver, il faut nous débarrasser des préjugés que nous avons sur nous-mêmes et qui nous empêchent de progresser. Éliminons le doute de notre esprit ! Ne pensons plus je voudrais, pensons Je veux ! Ne pensons plus je pourrais, pensons Je peux !

Après tout, la vie n'est qu'un thriller, une enquête qu'on mène chaque jour sur soi-même pour tenter d'élucider ses propres zones d'ombres.

Aujourd'hui est le jour le plus important de toute la vie d'Ethan. Aujourd'hui, Céline, la femme qu'il a toujours aimée, se mariera avec un autre. Aujourd'hui, Jessie, sa fille dont il ignore l'existence, prendra contact avec lui. Ethan, Céline, Jessie. Un homme, une femme, une enfant, trois personnages au bord du gouffre qui vont se croiser, se détruire et s'aimer. C'est aujourd'hui leur deuxième chance. Il leur reste 24 heures pour tout changer.

Il était 9h03 quand un choc électrique permit au coeur d'Ethan de battre dans le corps de Céline.

Il a finit par accepter. Entre ses mains, j'en suis sûr Céline vivra. A présent, je peux disparaître. Autour de moi, des reflets brillants étincellent comme des cristaux. Je ne pèse plus rien, je m'évapore, je m'efface, happé par un brouillard laiteux. Avant de m'éclipser définitivement, je sens comme une gangue phosphorescente qui m'enveloppe de sa chaleur et de son éclat. Et dans un dernier souffle, je comprends tout:

que le temps n'existe pas, que la vie est notre seul bien, qu'il ne faut pas la mépriser, que nous sommes tous liés, et que l'essentiel nous échappera toujours.

"Le verbe aimer est difficile à conjuguer: son passé n'est pas simple, son présent n'est qu'indicatif, et son futur est toujours conditionnel." Jean COCTEAU