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Tu es ce que tu décides d'être. C'est la seule chose au monde qu'on ne pourra jamais te prendre.

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Croire en l'humanité, c'est croire qu'elle habite tous les hommes, sans exception. Chez certains, elle est juste... en sommeil. Et ce n'est pas la violence qui risque de la réveiller.

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[...] la liberté, c'est de pouvoir choisir celui dont on sera l'esclave.

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Si vous autres imbéciles romantiques n'existiez pas, les histoires d'amour qu'on raconterait à nos enfants ressembleraient à des bilans comptables.

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Le plus inquiétant, c'était qu'une part de lui s'était presque sentie apaisée, comme si cette violence pure lui avait pour un temps tenu lieu de refuge. La douleur elle-même, il l'avait constaté plusieurs décennies auparavant, était tout à fait apte à constituer un asile. Parce qu'il n'y avait pas matériau plus solide que la souffrance quand on voulait ériger un mur entre soi et le monde.

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Et la violence. Parce que, s'il est une chose sur laquelle on pourra toujours compter en ce monde, c'est sur sa capacité à recycler la souffrance. À perpétuer une tradition du désespoir et de la cruauté, comme on se transmet de génération en génération la recette de la pâte à crêpes de l'arrière-arrière-grand-mère.

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La maison et ses fantômes. Le monstre sous le lit. La fillette et sa chemise de nuit imbibée de sang.

Il ne dormirait pas. Il ne dormirait plus jamais.

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Extrait ajouté par Arbre7 2023-12-24T10:06:06+01:00

Ce qu'il ressentait n'avait pas de prix. Et s'il fallait qu'un incendie se déclare pour qu'il ait droit à une étreinte de sa maman, alors qu'on brûle toutes les maisons. Tous les musées et toutes les églises. Qu'on crame le monde entier jusqu'à ce qu'il n'en reste rien.

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Extrait ajouté par Arbre7 2023-12-24T09:57:07+01:00

Un être était venu au monde, un autre l'avait quitté. Dans les deux cas, du sang et des larmes. Dans les deux cas, des cris et de la souffrance. L'existence commençait et s'interrompait de la manière la plus brutale, comme s'il fallait payer deux fois le prix fort pour acquérir le droit de vivre.

Le deuxième passage à la caisse avait un goût salement amer.

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Les détracteurs de la psychanalyse arguaient du fait que le passé était le passé, et qu'il n'avait pas forcément d'incidence sur le présent. Mais Caranne, à ce propos, adhérait au discours freudien : le passé est toujours du passé présent, et n'a jamais fini d’être à l'œuvre aujourd'hui. Que vous ayez réglé vos problèmes avec lui ou pas.

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