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Extrait ajouté par YesAgainOneMorePage 2018-04-09T20:31:47+02:00

Non ! Cria Jessie sans émettre le moindre son. Soudain elle sentit quelqu’un très certainement Bobonne, et nom de Dieu, qu’est-ce que Jessie avait pu sous-estimer les couilles de cette bonne femme- courir vers le disjoncteur logé dans son cerveau. Bobonne avait vu des volutes de fumée s’échapper des fissures lézardent les portes closes du compteur, avait comprit ce qu’elles signifiaient et faisait un dernier effort désespéré pour arrêter les machines avant que les moteurs ne surchauffent et que les rouages ne grippent.

La silhouette ricanante à l’autre bout de la pièce enfonça plus profond sa main dans la sacoche et en extirpa une poignée d’os et de bijoux en or qu’elle tendit à Jessie à la clarté de la lune.

Un éclaire aveuglant traversa la tête de Jessie, puis tout s’éteignit. Elle ne s’évanouit pas avec l’élégance d’une héroïne de mélo, mais fut brutalement projetée en arrière comme un meurtrier condamné à la chaise électrique après la première décharge. En tout cas, cela mit un terme à l’horreur, et pour l’instant, c’était tout ce qui comptait. Jessie Burlingame fut précipitée dans les ténèbres sans un murmures de protestation.

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Extrait ajouté par YesAgainOneMorePage 2018-04-09T20:31:16+02:00

L’Eclipse solaire total à duré un peu plus d’une minute ce jour-là , Jessie… Sauf dans ton esprit. Dans ton esprit, elle continue toujours… C’est bien ça ?

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Extrait ajouté par YesAgainOneMorePage 2018-04-09T20:30:51+02:00

Bon dieu que les gens peuvent être cons. Il devrait y avoir une loi qui oblige à passer un permis pour parler. Et si on a pas le permis, on la boucle. Ça résoudrait pas mal de problèmes.

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Extrait ajouté par YesAgainOneMorePage 2018-04-09T20:30:32+02:00

Tout est une question de perspectives et tout dépend des voix qui te décrivent le monde, j’imagine.

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Extrait ajouté par YesAgainOneMorePage 2018-04-09T20:30:14+02:00

Ses craintes qu’on l’a retrouve là, enchaînée et nue, son mari gisant mort par terre, ne lui effleuraient même plus l’esprit. Cette nouvelle crise de panique, sorte d’étrange éclipse mentale, occultait toute lueur de raison et d’espoir, pour ne laisser filtrer que les plus sombres éventualités : La faim et la soif entraîneraient la folies, les convulsions et la mort. Jessie n’était pas l’héroïne d’un téléfilm à suspens sur le câble : Il n’y avait ni projecteurs, ni metteur en scène pour crier : « Coupez! » c’était la réalité et, si les secours n’arrivaient pas, cette situation se prolongera jusqu’à ce que mort s’ensuive.

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Extrait ajouté par YesAgainOneMorePage 2018-04-09T20:29:51+02:00

Jessie devinait que certains cauchemars ne finissent jamais vraiment. Quelque part au plus profond de son esprit, les durs du lycée bousculaient encore Gerald dans la salle d’étude, riaient toujours de ses pompes de gonzesse au cours de gym, et certains mots, « stupide » ou « ridicule » par exemple, fessaient resurgir tout ça comme si c’était hier.

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Extrait ajouté par Sigel 2015-06-25T10:28:44+02:00

Tu l'as bien vu, Jessie. C'était la Mort et tu l'as vue, comme tous les gens qui meurent dans des lieux déserts. Bien sûr, qu'ils la voient; c'est imprimé sur leur visage convulsé, ça se lit dans leurs yeux exorbités. C'était le vieux cow-boy de la Mort, et ce soir quand le soleil se couchera, il reviendra te chercher.

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Extrait ajouté par Sigel 2015-06-25T10:08:12+02:00

"Au secours!" hurla Jessie. Une partie de son esprit voulut l'avertir qu'elle avait tort, qu'elle réussirait seulement à s'enrouer et à aggraver sa soif, mais cette voix de la raison n'avait pas la moindre chance de se faire entendre. Jessie avait flairé les relents de sa propre peur, et cette odeur, aussi forte et irrésistible pour elle que celle des restes d'un sandwich pour le chien, l'entraîna aussitôt au-delà de la panique, dans un accès passager de quasi-démence. " AU SECOURS! AIDEZ-MOI! AU SECOURS! A MOI! AU SECOUOUOURS!"

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Extrait ajouté par anonyme 2015-05-19T17:48:41+02:00

Une aube chaude et mite se leva sur le jour de l'Eclipse, dans un ciel relativement dégagé. La météo avait annoncé que des nuages bas risquaient de masquer le phénomène, mais ces prévisions semblaient devoir se révéler non fondées, du moins dans l'ouest du Maine.

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Extrait ajouté par dadotiste 2014-09-05T02:40:16+02:00

Le Livre de Poche, p. 12

«Cruel, mais pas complètement faux. Seulement, comment dire à un homme avec lequel on vit depuis presque vingt ans qu'à chaque fois qu'il ricane, il a l'air d'un arriéré mental ? Très simple : on ne lui dit pas.»

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