Ce roman m’intriguait beaucoup depuis que je l’avais repéré en préparant ma vidéo des sorties littéraires. Je l’ai commencé sans grandes attentes et j’ai bien fait ! Si vous cherchez une intrigue : il n’y en a quasiment pas. On est dans un roman bit-lit avec beaucoup de scènes olé-olé. D’ailleurs, le prologue annonce tout de suite la couleur ! L’ensemble parait irréaliste et cela m’a beaucoup fait rire. J’étais pliée tout au long de ma lecture. Bien que l’histoire ne se veut pas comique. On est sur une romance où les personnages laissent parler leurs instincts animaliers. Le récit se résume en deux mots : tension sexuelle !
Ce premier tome permet de mettre en avant les protagonistes principaux et leurs places au sein de la meute. Des indices sur l’intrigue principale de la saga se glissent dans cet opus. De ce fait, la fin ne m’a absolument pas surprise. Toutefois, je suis curieuse de voir enfin la trame principale de la saga s’installer.
En résumé, ils ne se passent rien d’intéressant dans le roman. Le spicy m’a beaucoup fait rire et même si rien ne va : j’ai passé un trop bon moment lecture. Le livre se dévore et j’ai hâte de découvrir la suite. Comme quoi un livre peut être pas terrible et pourtant addictif.

Le premier tome de la trilogie nous relatait l’histoire d’Ella, le second portait sur la grande sœur de celle-ci : Circé. Et le petit dernier, nous permet d’apprendre à mieux connaître Méroé. C’est un personnage pour lequel j’avais beaucoup d’attente. Malheureusement, je l’ai trouvé un peu fade par rapport au deux premier. Comme si les interactions de ce personnage dans les opus précédents n’étaient pas en adéquation avec ce que l’on voit dans ce tome.
Comme pour les romans précédents, on découvre de nouveaux lieux ainsi que de nouvelles divinités. J’adore cela ! La mythologie a une place importante sans pour autant occulter la romance. L’équilibre est parfait et chaque volumes de la saga apportent des éléments importants sur la dualité entre Zeus et les sorcières.
Je ne peux pas vous en dire plus sans spoiler, si ce n’est que ce tome 3 est pour moi une petite déception même si je l’ai dévoré. Il ne correspondait tout simplement pas à mes attentes. Toutefois, l’univers et la plume sont toujours exquis.

Après l’histoire de Li et Matthew puis June et Derek, voici celle d’Ava et Travis. On les a aperçus dans les opus précédents, pourtant le mystère entoure encore Travis : ce policier ronchon que l’on adore !
Travis est le personnage de Palisades Park qui m’intriguait le plus depuis le 1er tome. Découvrir son histoire a été un véritable plaisir. Son histoire de vie ne ressemble pas du tout à l’idée que j’avais en tête. Découvrir celle-ci était particulièrement intéressant et donne du relief au personnage.
Ava est telle que je me l’étais imaginée. Elle est solaire et son amour pour les fleurs renforce la douceur qu’elle dégage.
Malgré une intrigue qui se veut sombre, de part l’enquête liée aux différents cambriolages qui ont lieu à Los Angeles : l’histoire se veut douce et bienveillante. Le récit se déguste et apporte du bien-être en mettant en avant un amour naissant, de belles amitiés et les relations familiales.
Il y a toujours l’intrigue qui relie les différents opus de Palisades Park. Celle-ci est divertissante et apporte une touche d’originalité à la trilogie.
J’ai adoré cette romance doudou qui est parfaite pour un moment détente. Avec les beaux jours qui arrivent, c’est le moment pour sortir Palisades Park de vos Pal.

Cela faisait un long moment que je n’avais pas lu de romance historique. Pourtant, c’est un genre littéraire que j’adore. Ce titre étant inclus dans l’abonnement audible, sachant qu’il m’avait été conseillé de nombreuses fois : je me suis lancée. Et j’ai passé un très chouette moment. En une journée c’était plié !
La plume est très immersive. On découvre la vie dans les Highland et on plonge dans une atmosphère familiale soupoudrée de dangers. On a un bel aperçu des guerres claniques et de la rudesse de ce mode de vie.
J’ai adoré les protagonistes. Ils ont du caractère. Cela entraîne des dialogues avec du répondant. Je trouve cela très drôle et distrayant.
Adrastée est une femme aux mœurs moderne pour l’époque. Cela rend la romance accessible au public qui n’est pas accoutumé aux romances historiques.
Darren est un personnage bourru avec du cœur. Le suivre à travers ses pensées et ses craintes m’a beaucoup touché.
Ce roman se dévore. Je le conseille aux personnes qui aiment la romance, l’écosse et l’ambiance clanique.

J’ai écouté ce premier tome en audio et j’ai passé un très chouette moment. On a un récit qui prend son temps. On suit principalement la jeunesse de Fitz et son éducation, bien que quelques intrigues de royaume se développent au fil des pages.
La plume de Robin Hobb est très douce et nous plonge dans un univers médiéval qui contient un certain nombre de descriptions. Il y a de nombreux détails qui rendent l’ensemble du récit très immersif. Le récit est lent mais passionnant. La mise en place de cette saga est vraiment sympathique. Toutefois, le scénario reste empreint de mystère. J’ai envie d’en apprendre plus sur l’art (une sorte de magie) mais aussi sur les pirates rouges qui menacent le royaume.
Fitz est un personnage très attachant. Sa vie est loin d’être facile et pourtant il ne manque pas de ressources. Sa personnalité transmet beaucoup d’émotions notamment lorsqu’il est près des animaux. Ce sont d’ailleurs mes passages préférés.
Ce premier opus est très prometteur pour la suite de la saga. Je vous en parle bientôt. Je suis actuellement en pleine écoute du tome 2.

Cet opus m’a énormément touché. J’avais passé un bon moment avec le tome précédent mais sans plus. Par contre, celui-ci est une petite pépite. L’histoire se veut plus mature. On va au-delà de la période du lycée. La romance se développe et la trame narrative met en avant la complexité des sentiments que ressentent les protagonistes. C’est fort et intense.
Le passé laisse des cicatrices qui ne peuvent pas s’effacer en clin d’œil. La relation amoureuse entre Nick et Ella est tumultueuse. La psychologie est superbement travaillée et les sentiments ne balaient pas la cruauté qu’il y a eu par le passé.
Toute une partie du récit met en avant le processus de guérison, qui se veut long et difficile. Le parcours de notre héroïne est empreint de réalisme.
Vous l’aurez compris, j’ai clairement préféré ce tome 2. Déjà parce que l’histoire va au-delà de la période lycéenne. Aujourd’hui, j’ai besoin de lire des romances avec des personnages plus âgés. Mais aussi parce que la santé mentale est abordée avec justesse tant au niveau de l’impact du harcèlement jusqu’aux étapes qui permettent de se reconstruire. Cela permet aussi de mieux comprendre les réactions de Nick et Ella dans le premier opus.
Je ne regrette absolument pas d’avoir la suite de cette duologie et je ne peux que vous la conseiller.

Ce livre m’a été conseillé par beaucoup de monde. S’il a été une lecture sympathique, ce n’est pas le coup de cœur escompte. Dans l’ensemble j’ai été assez déçue.
Le début du récit est très divertissant. Il y a un gros clin d’œil à Mulan et j’ai adoré. Mais après, cela s’est gâté ! J’ai trouvé l’histoire lente et l’univers trop peu développé. L’ensemble de la narration met en avant des complots politiques, des mensonges et de la manipulation. Malheureusement, l’autrice reste en surface. J’aurai aimé en savoir plus. Toutefois, nous sommes dans de la fantasy Young Adult. Plus le temps passe et moins je me reconnais dans ce style littéraire. Aujourd’hui, je recherche des univers riches alors forcément les déceptions sont de plus en plus nombreuses en YA. Même si certaines sagas me happent toujours autant.
Si je mets de côté l’univers, je n’ai pas accroché avec les personnages. Les différentes relations qui se tissent ne m’ont pas convaincues et je n’ai pas ressenti d’émotion.
Je ne pense pas lire la suite de cette trilogie. Le roman a énormément de potentiel mais il n’est tout simplement pas fait pour moi.

Ce roman graphique est très émouvant. Entre le présent et les souvenirs de nos protagonistes, on nous montre l’évolution inévitable du corps humain. Les planches sont criantes de vérité avec des images parlantes : la perte d’un proche, la solitude, le corps qui se flétrit et le regard des autres.
Le corps humain est montré sous toutes ses formes pour mettre en avant les affres du temps. Mais ce n’est pas tout, l’intimité d’un point de vue sexuel est représentée à certains moments clés de la vie.
La fin de cette bande dessinée est très surprenante et manque de réalisme sur certains aspects. Toutefois, cela est un message porteur d’espoir.

Si j’ai bien aimé Allunia, j’ai préféré son Spin off. Elvira est une femme incroyable qui souffre de sa condition. On est plongé dans une course poursuite contre la montre. La Kee’vah doit faire des choix impossibles.
Le récit est embarquant. Il n’y a aucun temps mort. On est plongé au cœur de l’action. Il y a quelques flashbacks qui permettent d’approfondir le personnage d’Elvira avec des éléments sur son éducation mais aussi sur le rôle de Kee’vah. Je me suis attachée à sa personnalité. C’est un personnage qui ne laisse pas insensible. Elle est aussi forte que fragile. Ce paradoxe fait d’elle une protagoniste incroyable qui ne cesse d’évoluer.
J’ai adoré découvrir de nouveaux modes de vie à travers les clans dissidents. Cela permet de marquer le néant qui les séparent d’Allunia et d’Arshka avec un côté Fantasy plus développer, en laissant la technologie de côté. Pour en connaître plus sur cette mystérieuse technologie, je vous conseille de lire Allunia.
La dernière partie du roman m’a pas mal retournée. J’ai été surprise et tenue en haleine par les différents éléments qui composent l’histoire. La fin est d’autant plus surprenante. Je ne vous dirai pas si c’est en positif ou négatif, afin de vous laisser la surprise la plus totale. Ce qui est sûr, c’est qu’elle m’a laissé une trace indélébile.
J’ai passé un très bon moment avec ce roman addictif. Je ne peux que vous le conseiller si vous aimez la fantasy Young Adult.

En commençant cette lecture, j’ai été déstabilisée. Je pensais lire une romance avec des personnages à la Fac et non au lycée. J’ai souvent beaucoup de difficultés à m’immerger dans une histoire avec des protagonistes si jeunes. Surement parce que je ne m’identifie plus à eux depuis longtemps. Les premières lignes m’ont donc fait lever les yeux au ciel, puis au fur et à mesure du récit j’ai commencé à m’attacher à Ella. Son vécu, son évolution et les évènements du présent m’ont touché.
Retourner dans un lieu de souffrance n’est pas facile. J’ai été frappée par la grossophobie qu’elle subit. C’est violent. Ce qui l’est encore plus c’est l’inaction des personnes autours. J’avais envie de pouvoir agir afin qu’elle ne soit pas seule et lui montrer qu’elle est belle et que personne ne devrait la juger sur son apparence.

Ce 1er opus ne met pas la romance en avant tout de suite. C’est appréciable. La relation entre Nick et Ella se veut complexe et prend son temps au travers du développement. Le point de vue masculin va montrer les remords de Nick. J’ai apprécié qu’ils ne soient pas rapidement balayés et que ses actes aient des conséquences.

Le récit dans son ensemble se veut complexe. La fin m’a mis les larmes aux yeux. Je vous parle très vite de la suite qui est un cran au-dessus et plus mature.

Cet album graphique jeunesse a une ambiance assez sombre. J’ai beaucoup aimé cette histoire teintée d’amitié, d’amour, d’entraide et de valeurs familiales.
La magie a une place importante dans le récit. Celle-ci est teintée d’originalité et met en avant le partage.
Concernant les illustrations, on a majoritairement des couleurs sombres teintées par moment de quelques éclaircies. Cela accentue l’effet de la malédiction.
Le trait graphique est fin. Personnellement, je ne suis pas fan du tracé des visages. Cela est simplement lié à mes goûts personnels. Je ne doute pas du fait que celui-ci plaira à beaucoup de monde.
Si vous aimez la magie et les valeurs fortes touchant à la diversité : ce roman graphique pourrait vous plaire.

Dés le départ j’ai été intriguée par ce roman. La narration, la magie, la société Alexandrienne et les personnages attisent le mystère.
On suit les 6 élus dans leurs quotidiens au sein de la société. Ils doivent vivre ensemble, coopérer et mettre en place une stratégie pour réussir les épreuves. Tout cela en ce dévoilant le moins possible.
Du début à la fin, de nombreuses interrogations m’ont assaillies. Tout est mis en place pour rendre fou le lecteur.
Concernant les personnages, je me suis attachée à deux d’entre eux. Les autres m’irritaient où me laissaient dans l’indifférence.
Le suspense est se qui caractérisent ce roman.
J’ai très envie de lire la suite pour comprendre certains éléments notamment la magie et l’histoire respective des personnages.
La compétition continue et je veux en être.
Il faut savoir que ce roman a un rythme lent. Il est assez contemplatif et il ne conviendra pas à tous le monde. Le mystère et le besoin de comprendre est ce qui m’a personnellement tenue en haleine.

L’univers est accrocheur, on découvre un monde de piraterie très différent de ce que l’on connaît. J’ai beaucoup aimé vivre l’aventure palpitante dans laquelle nous emmène Jeanne mais aussi découvrir le folklore de l’océan avec certains mythes qui prennent vie.
Jeanne m’a paru plus humaine. Au travers des différentes intrigues les sentiments et les réflexions de l’héroïne prennent un nouveau sens.
Certains protagonistes m’ont manqué dans ce tome. Je comprends leur absence pour les besoins du récit et j’espère les revoir dans la suite de la saga.
La fin de ce premier cycle est pour moi assez inattendue. Je m’attendais à autre chose. J’ai un sentiment d’inachevé comme si l’histoire de Jeanne n’était pas terminée. Toutefois, ce personnage a une belle évolution et j’espère le recroiser.
C’est une saga que je ne peux que vous recommander pour l’ambiance et l’originalité qui s’en dégage.

Le pont des tempêtes c’est un univers de fantasy intrigant avec une romance Slow-Burn. Personnellement, il n’en fallait pas plus pour que je tombe amoureuse de la saga.
Ce livre a tout pour lui : une édition reliée avec une jaquette de dingue qui contient une carte essentielle pour appréhender la position du pont et des différents royaumes, une mise en page hyper agréable à la lecture et des personnages attachants avec une psychologie bien travaillée.
Dés le premier chapitre on rentre dans le vif de l’histoire. Lara nous montre tout de suite de quoi elle est capable. La suivre dans son parcours et ses différentes découvertes était un véritable plaisir. C’est un personnage en constante évolution qui n’a pas peur de se remettre en question.
Aren, le protagoniste masculin et roi d’Ithicana, est incroyable. Il a des valeurs très fortes. C’est un des bookboyfriends les plus respectueux que j’ai pu croiser en fantasy.
La relation qui se tisse entre les protagonistes principaux est profonde. Elle prend le temps de se construire. C’est un Slow-Burn comme je les aime !
Le monde créé par Danielle L. Jensen est parfaitement compréhensible malgré l’absence de longues descriptions. A travers l’action et les dialogues on voit l’ampleur des conflits socio-politiques et l’importance du pont se dessine devant les yeux du lecteur. De plus, la carte permet de comprendre la configuration des différents éléments.
Vous l’aurez compris, entre action, romance et révélation : j’ai succombé à ce premier tome. On est sur un coup de cœur. L’attente du tome 2 se fait donc attendre avec impatience.

J’ai été bluffé par la beauté de l’ouvrage. Dès les premières pages, on est transporté dans une ambiance bleu nuit avec des reflets blancs phosphorescents qui illumines les planches. Le trait graphique est particulièrement fin et représente la diversité des espèces dans sa globalité.
L’histoire en elle-même est sombre. Après une introduction qui permet de présenter nos héroïnes, le drame arrive. On ressent l’angoisse de la population suite aux débris de la lune qui s’éparpillent. Ce monde aux airs paradisiaque s’effrite et laisse place à la terreur. Le paradis devient l’enfer.
En fonction des évènements, la colorisation évolue entre chaleur et noirceur. Au travers des différentes scènes, j’ai eu l’impression de voir des inspirations japonaises mais aussi un coté Tim Burton avec « L’étrange Noel de Mr Jack ».
Vous l’aurez compris, j’ai adoré cette bande dessinée et je veux la suite.

J’ai eu le coup de cœur pour cette BD remplie d’émotions. L’album permet d’en apprendre plus sur le Xeroderma Pigmentosum, qui est une maladie génétique liée au soleil. La peau n’arrive pas à regénérer les cellules ayant été en contact avec les UV et cela peut causer des cancers et autres problématiques très graves.

Le scénario met en avant une famille comme les autres jusqu’au moment où Morgane trouve le journal intime de Maxime. La vie de l’adolescente va prendre une nouvelle tournure. Entre enquête et émotions, mon petit cœur a succombé à l’histoire.

Les illustrations apportent beaucoup de plus-value au récit. Les couleurs mettent l’accent sur la peau des protagonistes afin de marquer la différence. Le trait graphique est fin tout en marquant les traits du visage.

C’est une bande dessinée juste incroyable et très intéressante pour en apprendre plus sur le Xeroderma Pigmentosum.

J’ai passé un super moment avec cette douce romance. Dés le premier opus, on avait un aperçu de la tension qui régnait entre nos héros. J’ai donc été ravie d’en apprendre plus sur eux et de les suivre dans leurs quotidiens respectifs.

Dans ce tome, on explore le métier de pompier avec les différents risques auxquels ils sont confrontés. On a un aperçu de l’inquiétude perçu par les proches de nos soldats du feu mais aussi des marques que laissent le métier.

A travers June, son vécu et sa vision de la vie : il y a de belles valeurs véhiculées. L’ensemble va bien au-delà des apparences.

L’histoire de June et Derek est une évidence. L’attraction, les joutes verbales et l’ensemble de leurs interactions depuis le tome 1 le démontre.

Si j’ai adoré l’histoire et les personnages, j’ai trouvé certaines réactions un peu exagérées et enfantines sur la fin. Mais c’est vraiment pour chipoter.

A présent, j’ai hâte d’en apprendre plus sur le mystérieux Travis dans le tome 3.

En commençant cette saga, j’avais beaucoup d’attentes. Le tome 1 était une bonne lecture mais sans plus. L’engouement était tellement fort, de ce fait j’avais des attentes assez conséquentes concernant la mythologie et la romance. Par contre, la suite de cette saga se bonifie.

Circé est une héroïne avec un caractère Badasse : j’adore ça ! Le côté mythologique est quant à lui beaucoup plus développé. On a un aperçu de la richesse du monde divin et des mésententes existantes entre les différents protagonistes.

Ce tome nous fait voyager dans un nouveau monde. Celui-ci est parfaitement décrit. Je visualisais parfaitement les différents rouages le composant comme si j’y était.

Si j’ai adoré ma lecture, l’intervention d’un personnage ne m’a cependant pas convaincu. Je ne peux pas vous en dire plus en omettant les spoilers.

Vous l’aurez compris, Witch & God est une super lecture et à présent j’ai hâte de lire l’histoire de Méroé.

J’ai été absorbée par cette nouvelle en même pas quelques mots. La plume de Magali Lefebvre se veut poétique tout en nous dépeignant une ambiance sombre.

A travers l’histoire de Melie qui mêle réalité et cauchemar, on vogue entre le réel et l’irréel. La barrière est tellement fine, en tant que lectrice je ne savais pas ou me situer.

Avec ce court texte, Magali Lefebvre percute le lecteur via une approche mystérieuse qui touche à la psychologie et aux émotions de notre héroïne. Cela amène un questionnement sur la santé mentale.

Le roman se veut court mais intense. J’ai ressenti la détresse et le désarroi de Melie. Son besoin de vérité devient plus fort que tout.

C’est une histoire que je vous conseille fortement si vous aimez le folklore lié à l’océan. Vous plongerez dans une sombre ambiance qui ne laisse pas insensible et qui porte à réflexion.

Avant d’être connu comme le prince cruel, Cardan était un enfant curieux aux airs insensibles. Petit dernier d’une fratrie et maudit, peu de personnes s’occupaient de lui.

Quel bel ouvrage ! C’était un véritable plaisir de replonger quelques instants dans l’univers du peuple de l’air. Attention, ne lisez pas ces petites nouvelles si vous n’avez pas lu la trilogie principale : ce petit recueil dévoile des éléments de l’intrigue.

Chaque petite histoire nous amène a un moment clé de la vie de Cardan. On nous conte des petites histoires ayant forgées la vie du prince. Ces petits instants nous ramène a certains passages de la trilogie. Cela permet d’apporter le point de vue de Cardan et enrichir certaines scènes. Cet ensemble m’a permis de mieux saisir le comportement et les sentiments de notre Fae.

Ce petit livre m’a plongé dans un monde enchanteur bien que trompeur. Des illustrations féériques et de toute beautés accompagnent le lecteur. C’est agréable et parfait pour un moment cocooning.

Quel livre enchanteur ! J’ai pris un réel plaisir en plongeant au cœur des royaumes immobiles. Le roman a une prose incroyable qui rend la magie encore plus mystérieuse qu’elle ne l’est déjà. Oui, j’abuse un peu des superlatifs, mais quand un livre est génial il faut le dire !

J’ai apprécié découvrir la cour en même temps qu’Ivy, cette jeune femme « belle à mourir » suite à une malédiction. Son histoire est remplie de zone d’ombre et j’ai envie d’en savoir plus.

La narration nous plonge dans une ambiance farfelue remplie de chimères. L’ensemble m’a fait penser à Nevermoor de Jessica Townsend, mais en plus mature. Autant vous dire que j’ai été charmée.

Le récit en lui-même se concentre sur le trône vacant et les épreuves de nos candidates. Ariel Holzl en dévoile très peu sur le monde dans sa globalité. Et c’est le petit moins du roman. J’espère que la suite me permettra d’en découvrir plus.

Vous l’aurez surement compris, mais ce roman m’a fait frôler le coup de cœur.

J’ai de nombreuses fois entendu parler de cette saga sans jamais craquer. Au vu des éloges, j’avais peur de ne pas apprécier ma lecture. Heureusement, cela n’a pas été le cas et j’ai passé un bon moment.

L’histoire est vraiment sympa mais c’est du déjà-vu. En même temps, j’arrive après la guerre et depuis les récits d’Urban fantasy fleurissent.

Il y a de l’action, de la romance, une héroïne badasse et de nombreux secrets. Tout est là pour captiver le lecteur. L’ensemble de ses ingrédients combinés à un récit dynamique rendent le tout addictif.

Nous avons un ensemble de personnages qui reflète la diversité des créatures surnaturelles. Cela permet de mettre en avant un univers riche et découvrir des protagonistes aux caractères très différents et superbement travaillés.

A l’heure actuelle, je ne sais pas si je lirai la saga dans son entièreté parce que j’ai envie de nouveauté. Cependant, si j’avais lu ses romans quelques années auparavant : la saga aurait certainement pu faire partie de mes préférées.

J’ai lu « Romancez-moi » de JC Staignier qui est une comédie romantique incroyable.

Quand la communication n’est plus là, rien ne va plus ! Claudie et Romain sont mariés depuis un long moment. Ils ont deux enfants, lui est avocat et elle : femme au foyer. Si vu de l’extérieur ils ne manquent de rien et forment la famille parfaite, Claudie s’ennuie et souhaite autre chose. Suite à un concours de circonstances, elle ouvrit un livre de littérature érotique et décide d’en écrire à son tour pour réaliser son rêve : devenir écrivain. Mais cela va créer de nombreux problèmes au sein de sa vie de famille.

J’ai découvert la plume de JC avec une saga historique palpitante qui m’avait tenue en haleine. Depuis, je suis tombée amoureuse de ses écrits.

Aujourd’hui, je l’ai redécouverte dans un tout nouveau registre et j’ai adoré ! La plume est piquante, fluide et remplie d’humour. Lors de ma lecture je suis passée du rire aux larmes et des larmes aux rire. L’émotion est présente du début à la fin.

A travers ce roman, JC laisse son empreinte sur son roman. Son humour est parfaitement reconnaissable. Pour autant, cette romance fait réfléchir et démontre que sans communication tout peut partir en sucette.

Les protagonistes de ce livre paraissent totalement réels. Claudie et Romain ont des qualités et des défauts bien visible. On est loin du cliché des personnages parfaits. C’est un aspect que j’apprécie beaucoup.

Ce roman a un petit plus qui devrait beaucoup plaire aux addicts de la lecture : une immersion dans le monde de l’édition.

Si vous avez envie de vous changer les idées, si vous êtes adeptes de romance : je ne peux que vous conseiller « Romancez-moi ».

J’ai lu « Sommes-nous si différents ? » de Nina Leroy.

Livia rêve de devenir tatoueuse. Pour réaliser son rêve, elle quitte l’Angleterre afin de s’éloigner de la renommée de ses parents et s’installe chez son frère en France. Là-bas, elle fera la connaissance d’Aaron, le voisin bougon qui vit reclus dans l’appartement d’à côté. Depuis une rupture compliquée et avec sa renommé sur les réseaux sociaux, il cherche à faire profil bas. L’univers de ses deux êtres est très différent, pourtant, la renommée et les scandales les rassemblent.

Ce roman avait tout pour me plaire : le scénario, le caractère des personnages, la double narration,…. Mais ça ne l’a pas fait. Je n’ai pas accroché avec le rythme du récit. Pour moi, tout allait trop vite : même si les ellipses de temps montraient le contraire.

J’aime voir la relation entre les personnages se construire et l’alchimie opérer via les descriptions de jeux de regards, gestuelles et joutes verbales. De ce fait, ça m’a donné l’illusion que tout était trop facile, irréel.

La plume de Nina Leroy est douce. Elle se lit facilement et le roman a du potentiel. Je pense qu’il saura trouver son lectorat.

Avez-vous lu ce livre ? Est-ce qu’il vous tente ?

L’histoire reprend quelques mois après la fin du premier opus. J’ai beaucoup aimé retrouver la rébellion. Tout s’organise avec minutie. L’intrigue continue de se développer et les rebondissements ne manquent pas.

J’ai particulièrement apprécié les passages mentionnant Elvira. Son personnage a l’air plus mature et il m’intrigue. Faire sa rencontre a permit de voir l’ampleur de l’univers créé par Tiphs. Celui_ci est bien plus grand qu’Allunia et j’ai envie d’en voir plus.

Allunia m’a fait passer un bon moment mais j’ai ressenti quelques longueurs au milieu du livre.

Ce roman Young Adult est vraiment top. Mais comme vous le savez, en ce moment j’ai une préférence pour la Fantasy plus adulte. C’est pour cela qu’il me tardait de terminer cette duologie pour entamer prochainement Elvira.

J’ai lu « Gio » de Jean Dardi publié aux éditions Inceptio.

Plusieurs cadavres sont retrouvés. Il s’agit de femmes travaillant dans le milieu du sexe en tant que danseuse, vendeuse de sexe shop etc… La gent féminine ne se sent plus en sécurité. De plus, certaines preuves semblent accuser le commissaire Delle’Orso qui est chargé de l’enquête…

Avec ce roman, je suis complètement sortie de ma zone de confort. De base, je ne suis pas fan des romans centrés sur une enquête policière. Mais Jean Dardi mène les mots d’une main de maître. Ses récits sont addictifs. Comme pour ma lecture de « Le voleur d’âme », j’ai eu mal au ventre et mes nuits ont été agitées. Il faut savoir que je suis une grosse froussarde. Mais comment peut il en être autrement, lorsque vous êtes dans la tête du tueur ? On assiste à des scènes difficiles et cela est d’autant plus fort en tant que femme. Il m’a fallu sauter certains passages. C’était trop dur pour mon petit cœur.

Entre suspense et ambiance glauque, Jean Dardi est le maître incontesté.

Je conseille ce livre aux habitués du genre. Si vous êtes comme moi, je vous conseille un thriller plus doux qui ne vous mettra pas dans tous vos états.

Trigger Warning : Viol, éventration, meurtre