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Commentaires de livres faits par joersaflo

Extraits de livres par joersaflo

Commentaires de livres appréciés par joersaflo

Extraits de livres appréciés par joersaflo

Autant le dire d'emblée, le marathon qui se prépare ne va pas être de tout repos. Afin d'atteindre chancelant - mais debout- le poteau d'arrivée, je vous propose de commencer par une sorte de tour de chauffe, coaché dans cette démarche par ce qui deviendra peut être un jour la célèbre Méthode CC initialement conçue par moi, pour moi, mais que je vous livre bien volontiers pour vous accompagner dans vos premiers tâtonnements tant que votre énergie est encore intacte malgré un moral en voie de délabrement. Des auteurs autrement plus renommées et compétents, dont le regretté David Servan-Schreiber mettent à votre disposition des kilos de livres qui aident à manger anti-cancer, respirer anti-cancer, méditer anti-cancer et vivre après-cancer. Je ne peux que vous conseiller de les lire, car ils enseignent des tas de chose que vous négligiez du temps ou vous pétiez la forme ! Mais aucun jamais ne vante les mérites d'une méthode qui aiderait à encaisser les chocs et à maintenir le moral dans une sorte d'équilibre mêle de bon sens et de totale irrationalité. La mienne si !
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date : 20-09-2015
Une plongée dans l'intimité de Nantes à travers ses odeurs : celles de son port, de ses chantiers, de ses rues et ses marchés. Dans Le parfum de Nantes, les auteurs Aude Cassayre, Christine Grillo, Patrice Allain, André-Alain Morello et Xavier Armange invitent les lecteurs à se laisser guider, le nez au vent, pour humer les parfums perdus de la ville. - See more at: http://www.terristoires.info/sommaires/le-parfum-de-nantes-1855.html#.dpuf
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date : 11-05-2015
Je viens de regarder dans mon dictionnaire et j'apprends que même vient de mémère, une vielle et grosse dame disent ils, ça me fait de la pein, alors braves gens comme dirait PIerre Perret je vais vous dire la mienne, je vais tenter une définition de même ou plutôt une recette. Pour faire une même il vous faut de l'ancien temps et de la constance....
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date : 10-05-2015
Je trouvais ta pierre tombale trop neuve. Ça ne lui allait pas. Il aurait fallu que sa tombe fut déjà mousseuse et licheneuse, une tombe à l'ancienne, une tombe à la main polie comme un manche d'outil. Celle ci était brillante, neuv, en marbre noir.
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Elle ne voyait apparemment pas les choses du même œil. "Mon Dieu ! Qu'est ce que tu fais toute la journée ? " je ne lui avais pas parlé de l'écriture du livre. (En fait, j'avais décidé des son arrivée de ne pas lui en parler). "A part écouter ces maudits thé Archers".
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C'est bien lui, c'est mon fils. Je n'ai pas le droit de le toucher pour cause d'investigations médico-légales. Je vois trouble. Cette attente prolongée sur le parvis des urgences m'a achevée. Je brûle d'envie de me jeter sur lui, de le secouer pour m'assurer qu'il est sans vie, de crier ma douleur. De me coller à lui. Je n'en ferai rien, retenue par je ne sais quelle force contraire.
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"Vous êtes la maman de Kévin ?
- Oui madame.
- Votre fils est mort."

Le ton employé est si neutre, si froid, si détaché. Elle aurait dit : "Votre fils dort", ou bien : "il arrive, nous terminons un platre... des points de sutures", ou même, "il va bien"; elle aurait dit "vous voulez un chocolat chaud ? .... Cela m'aurait fait aucune différence. C'était une annonce comme une autre.
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date : 14-04-2015
Depuis toujours, il avait été décidé que tu devais être enterrée avec nos père et mère dans la tombe du cimetière de Saint-Florent, où nous allions visiter notre frère, à chaque Toussaint. Je le savais ; ce n'était pas une nouveauté. Il y avait quatre places dans le caveau, et vous y seriez quatre, étendus dans vos couchettes, comme dans un compartiment de première classe. Bien. Et alors ? Alors, ma mère avait toujours dit que les filles n'auraient qu'à se faire enterrer dans la familles de leurs maris. Bien. Et alors ? Alors, ma soeur cadette, en se mariant, venait de trouver une tombe. Bien. Chic, une de casée. Et Alors ? Alors, moi l'ainée, célibataire, je n'avais pas de tombe.
Donc, moralité, tu devais me laisser la place qui me revenait de droit, quitte à devenir, toi, une âme errante, une sans-abri posthume...
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Quand il est seul, un peu avant l'entrée de la ville, il s'arrête devant une borne kilométrique, indiquant sur la droite, DAMPIERRE. 5 KILOMETRES.Il regarde dans cette direction, non pas que le petit village de Dampierre l'attire particulièrement, mais parce que mon futur père sait qu'après Dampierre il y a Niort, à 60 kilomètres, puis Poitiers, Tours, Chartres, et tout à fait au bout, à 480 kilomètres ... Paris !
Paris sur Seine ... Paris sur scène ... Paris, son triomphe, lui aussi "s'y voyant déjà". Cette vision, ce mirage accompagnait alors sa marche et le protégeait contre toutes les défaillances possibles. Il irait à Paris. C'était son rêve à lui. A lui tout seul.
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En outre, mon père avait cette facilité merveilleuse de prendre les réalités pour ses rêves ... et non le contraire, comme beaucoup ! Ce qui lui a évité toute sa vie les affres de l'envie et les aigreurs de la jalousie.
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J'ai souvent rencontré des comédiens qui connaissaient la fragilité des réactions du public et qui cherchaient désespérément à comprendre pourquoi et comment quelquefois on provoquait son rire ou son émotion, et quelquefois son indifférence ou son ennui.
- Ça ... c'est la glorieuse incertitude de l'art du comédien ... et des artistes en général.
- Et oui, cette incertitude qui faisait dire au bien regretté Raymond Devos : "Un succès, c'est un bide auquel on vient d'échapper !"
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date : 29-12-2014
Alexandre Sénéchal est un forain, admirateur de Fregoli. Jusqu’à un tragique accident au cours d’une représentation, il recréait, avec sa troupe, des faits divers, sanglants et frappants de préférence, pour la plus grande satisfaction du public. Lâché par tous après le drame, il se réfugie dans son Nord natal, où il est attendu par Julius, le curé qui l’a pris sous son aile lorsqu’il était un môme maltraité par ses parents adoptifs – aujourd’hui décédés.
De retour sur les lieux de son enfance, il est rattrapé par son passé. Julius lui annonce qu’il lui révélera l’identité de sa mère une fois montés les deux spectacles promis – notamment celui retraçant la visite d’Elizabeth II dans l’usine de Lainière sur le point de fermer. Il rencontre à cette occasion la belle Marion, héritière de la filature. Alex tombe immédiatement sous le charme, mais sait l’union impossible. Il se console avec Léonore, elle aussi, amochée par la vie. Pour l’aider à faire le deuil de son père, Alex décide de mettre en scène l’événement déclencheur du drame - un vol de liquidités dans le tramway. Ils découvrent montant leur production que l’accident était en réalité un complot… Parallèlement, Alex se décide enfin à rendre visite à sa mère, sans se douter des terribles révélations sur son adoption qui vont s’en suivre.

Affranchi des entraves du passé, Alex arrivera-t-il enfin à vivre sa propre vie et ne plus se cacher derrière les nombreux masques qu’il a jusqu’alors arborés ?

Michel Quint avec ses mots drus et drôles joue des niveaux de langues et des patois. Il laisse planer le danger sur son texte et fait surgir des histoires riches des couleurs et des saveurs du nord.
Profondément attaché au Nord-Pas-de-Calais, Michel Quint dépeint à loisir cette région dans ses romans. En 1989, il obtient le Grand Prix de littérature policière pour Billard à l’étage. Il se consacre entièrement à la littérature après le succès d’Effroyables Jardins (paru en 2000, vendu à plusieurs millions d’exemplaires et porté à l’écran par Jean Becker). En dépit des étoiles est paru aux EHO en 2013.
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Voici le dernier sms que j'ai reçu de Kevin, le jour même de son anniversaire, le 21 septembre 2012. Juste après la soutenance de son mémoire, je lui demandais si tout allait bien ; il m'a répondu : "Ça va, mais un peu déçu. J'ai eu une sale note au mémoire, ça va bousille ma moyenne.... Mais diplôme, 21 ans, en forme, louange à Dieu et qu'il continue à me guider... Voilà."
Je garde précieusement ce texto dans mon portable, comme l'un. Des derniers liens, comme si j'entendais sa voix.
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Ni tout à fait le même, ni tout à fait un autre, comment le carriériste qui n’empruntait que les autoroutes, s’aventure désormais sur des chemins de traverse, construit une nouvelle existence dans l’industrie, mais laisse désormais du temps au temps pour nourrir ses passions. L’avant AVC et le sentiment de toute puissance. L’après AVC, la rééducation jamais finie et l’apprentissage de l’humilité.

Christian Streiff raconte son long coma, sa résolution de s’accepter diminué pour vaincre les séquelles de la maladie et retrouver une vie normale. Pour celui qui fut l’un des plus puissants patrons de France, cela signifie une vie sans temps mort. Le capitaine d’industrie ne renonce jamais aux projets d’avenir. L’homme confronté à son handicap est beaucoup moins résolu pour tracer son chemin personnel, avec une seule ambition : ne pas rater sa vie et accomplir ses rêves en se donnant les moyens du temps. Découvrir le monde à pied, sur l’eau, satisfaire sa curiosité de nature en solitaire... La question qui reste en suspens étant le paradoxe de l’homme pressé dans son métier et contemplatif dans ses passions. C’est un récit hanté par la perte d’une partie de soi et la nécessité de retrouver un chemin.
La fascination d’un vécu de l’intérieur quand l’homme est confronté à sa mort alors que rien ne l’y préparait, qu’il se croyait au sommet de sa vie, intouchable. L’AVC est devenu une maladie commune qui touche plus de 130 000 personnes en France chaque année, dont environ 50 000 en meurent. Le plus souvent, celles qui en réchappent demeurent handicapées. L’AVC peut frapper n’importe qui, les grands comme les miséreux.
Le témoignage de Christian Streiff est d’autant plus passionnant qu’il entre dans la catégorie de ceux qui semblent invincibles. Dans un premier temps, se raconter a semblé pour l’auteur presque humiliant. Avouer sa maladie, c’était avouer être descendu de son piédestal. Un homme puissant n’est pas plus combatif et philosophe que le citoyen lambda. L’expérience de la maladie, le handicap et la confrontation avec la mort abroge les distances entre les hommes. Les questions de l’auteur sont celles de chacun.
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"En disant non, toute désarmée que j'étais, je restais en phase avec moi-même. Je ne cherchais nullement à être une citoyenne modèle, moi que la loi excluait du droit de vote, ainsi que de la liberté de boire à n'importe quelle fontaine, de m'asseoir à la place libre qui me faisait face, de me soulager dans les toilettes publiques..."
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date : 12-04-2014
« Je retiendrai de cette expérience la rencontre avec une femme extraordinaire. Patricia Lefranc dégage une force, a un mental incroyable. Et a gardé de l’humour malgré ce qui lui est arrivé. » Le Verviétois Sébastien Yernaux a écrit la biographie de la Bruxelloise, devenue célèbre malgré elle après que son compagnon l’a aspergée de vitriol en décembre 2009. Ce livre arrive maintenant dans les librairies et sera présenté officiellement le 26 mars prochain.
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J'ai tout consigne sur un carnet violet à spirale... C'est trois ans après l'accident que je commence à écrire, le vécu me rattrape et les nuits d'insomnie ne me laisse pas de répit. C'est à l'heure bleue que je trouve l'inspiration, que je me délivre de mes chimères. C'est l'heure ou je prends mon vol de nuit, départ pour un voyage intérieur. C'est l'heure ou tout dort, ou tout est calme, ou la lune rayonne. C'est le moment ou je trouve la sérénité.

C'est seulement neuf jours après l'accouchement que l'issue fatale arrive. Mais pourquoi ? Pourquoi moi ?
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