Extraits

(jim)

- tu es à moi. Rien qu'a moi. je t'ai toujours aimée, même quand j'ai cru t'avoir perdue.

- je t'aime aussi, ai-je répondu en lui carressant le visage.Ces mots avaient un écho étrange, je ne les avais jaimais prononcés à voix haute et ils signifiaient tant pour moi.

- c'est en arrivant à paris que j'ai cessé de te considérer comme un simple béguin...

Jim a reppoussé une mèche de mon visage.

- On n'est pas obligé si tu n'en a pas envie.

J'ai posé un doigt sur ses lèvres.

- Si, mais, tu sais, je suis toujours...C'est la première fois. Je ne l'ai jamais fait, même pas avec Hugues.

Je crois que j'ai toujours voulu que ce soit toi.

Jim a souri.

- Moi aussi, je voulais que ce soit moi. Je serai doux, promis.

En me glissant sous les couvertures, je me suis demandée pourquoi je ne paniquai pas comme avec Hugues, et j'ai compris: c'était le bon endroit, le bon moment, et, sans doute, la bonne personne.

J'ai essayé de dormir. Mission impossible. Lentement mais sûrement, nos corps se raprochaient. Puis nos mains se sont frôlées et j'ai ressenti comme une décharge électrique. Alors je me suis jetée dans ses bras. Ils m'a laissée me blottir contre son épaule; j'aurais voulu me fondre en lui. Je l'ai couvert de baisers : sont front, ses paupières, ses joues, puis sa lèvre inférieurr que j'ai commencé à mordiller. Là, il a réagi. Soudain, il étais sur moi et m'embrassait à pleine bouche. On a échangé des long baisers langoureux comme des après-midi d'été. Mais bientôt, la tendresse a fait place à qulque chose de très différent. D'un coup, tout allait plus vite, plus fort. On s'est retrouvés par terre et on s'est débarrassées de nos vêtements en essayant de ne pas se décoller l'un de l'autre. Jim a promené sa mains sur mon corps.

- Tu es à moi. Rien qu'a moi. Je t'ai toujours aimée, même quand je croyais t'avoir perdue.

- Je t'aime aussi, ai-je répondu en lui caressant le visage.

Ces mots avaient un échos étrange, je ne les avaient jamais prononcés à voix haute ils signifiaient tant pour moi.

- J'ai envie d'être avec toi, mais parfois, t'aimer, ça me fait peur, Jim.

Il me tenait toujours le menton et quand mes larmes ont commencé à couler, il les a effacées du bout des doigts.

- Peut-être que ce n'est jamais simple, d'aimer quelqu'un, a-t-il murmuré.

Peut-être que c'est forcément effrayant, byzarre et déstabilisant, vu que rien n'est jamais acquis dans ce domaine, pas vrai ?