Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 422
Membres
1 006 157

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par partemps 2020-04-26T08:46:04+02:00

comparaison poétique. — L’Islande. — Dans les nuits de six mois, les longues nuits du pôle, un voyageur gravit une montagne et, de là, voit au loin le soleil et le jour, tandis que la nuit est à ses pieds : ainsi le poëte voit un soleil, un monde sublime et jette des cris d’extase sur ce monde délivré, tandis que les hommes sont plongés dans la nuit.

Afficher en entier
Extrait ajouté par partemps 2020-04-26T08:45:36+02:00

LE PORT

Une ancre sur le sable, un cordage fragile

Te retiennent au port et pourtant, beau vaisseau,

Deux fois l’onde en fuyant te laisse sur l’argile,

Et deux fois, ranimé, tu flottes plus agile

Chaque jour au retour de l’eau !

Comme toi, l’homme en vain fuit, se cache ou s’exile

La vie encor souvent le trouble au fond du port,

L’élève, puis l’abaisse, ou rebelle ou docile ;

Car la force n’est rien, car il n’est point d’asile

Contre l’onde et contre le sort.

Afficher en entier
Extrait ajouté par partemps 2020-04-26T08:45:15+02:00

passage de mer.> — Un beau vaisseau partit de Brest un jour. — Le capitaine fit connaissance avec un passager. Homme d’esprit, il lui dit : « Je n’ai jamais vu d’homme qui me fût aussi cher. » Arrivés à la hauteur de Taïti. — Sur la ligne. — Le passager lui dit : « Qu’avez-vous donc là ? — Une lettre que j’ai ordre de n’ouvrir qu’ici ; pour l’exécuter. » Il dit aux matelots d’armer leurs fusils et pâlit. « Feu ! » il le fait fusiller.[5]

Afficher en entier
Extrait ajouté par partemps 2020-04-26T08:44:56+02:00

élévation.> — Comme le petit Poucet, en partant, remplit sa main de grains de mil et les jeta sur sa route, nous partons et Dieu nous remplit la main de jours dont le nombre est compté, nous les semons sur notre route avec insouciance et sans nous effrayer d’en voir diminuer le nombre.

Afficher en entier
Extrait ajouté par partemps 2020-04-26T08:44:35+02:00

ma vie a deux ans. — L’imagination nous vieillit, et souvent il semble qu’on ait vu plus de temps en rêvant que dans sa vie. Des empires détruits, des femmes désirées, aimées, des passions usées, des talents acquis et perdus, des familles oubliées, ah ! combien j’ai vécu ! N’y a-t-il pas deux cents ans que cela est ainsi ? — Revue de ma vie entière.

Afficher en entier
Extrait ajouté par partemps 2020-04-26T08:44:12+02:00

La seule faculté que j’estime en moi est mon besoin éternel d’organisation. À peine une idée m’est venue, je lui donne dans la même minute sa forme et sa composition, son organisation complète.

Afficher en entier
Extrait ajouté par partemps 2020-04-26T08:43:53+02:00

JOURNAL D’UN POËTE

____

1824 le combat intellectuel. — Dieu a jeté — c’est ma croyance — la terre au milieu de l’air et de même l’homme au milieu de la destinée. La destinée l’enveloppe et l’emporte vers le but toujours voilé. — Le vulgaire est entraîné, les grands caractères sont ceux qui luttent. — Il y en a peu qui aient combattu toute leur vie ; lorsqu’ils se sont laissé emporter par le courant, ces nageurs ont été noyés. — Ainsi, Bonaparte s’affaiblissait en Russie, il était malade et ne luttait plus, la destinée l’a submergé. — Caton fut son maître jusqu’à la fin. — Le fort fait ses événements, le faible subit ceux que la destinée lui impose. — Une distraction entraîne sa perte quelquefois, il faut qu’il surveille toujours sa vie : rare qualité.

Afficher en entier
Extrait ajouté par beedonkadonks 2015-05-22T04:01:35+02:00

Comment ne pas éprouver le besoin d'aimer? Qui n'a senti manquer la terre sous ses pieds sitôt que l'amour semble menacer de rompre?

Afficher en entier
Extrait ajouté par beedonkadonks 2015-05-22T03:59:20+02:00

En poésie, en philosophie, en toute littérature, quand on n'a pas le temps de penser et d'écrire, on est perdu. Il faut avoir le temps de rêver.

Afficher en entier
Extrait ajouté par beedonkadonks 2015-05-22T03:32:24+02:00

Aimer, oui, car l'amour est une inépuisable source de réflexions, profondes comme l'éternité, hautes comme le ciel, vastes comme l'univers.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode