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« Damon connaissait la vérité. Stefan était bel et bien mort – c’était déjà le cas depuis des centaines d’années. Et, effectivement, c’était un vampire, mais de là à le qualifier de démon : autant dire que la fée Clochette était armée et dangereuse. »

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Et je n'ai aucune idée de ce qui va se passer demain.

Elena

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Et Damon. Je sais maintenant qu'il y a un être de chair sous cette carapace de Pierre dont il a enrobé son âme. Cet être est bien caché, mais il existe. Pour être tout à fait honnête avec moi-même, je dois reconnaître que quelque part je suis touchée quand je le vois, au pont d'en avoir des frissons ; ne me demande pas pourquoi, même moi je n'y comprends rien.

Elena

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Extrait ajouté par anonyme 2016-07-24T01:41:25+02:00

Elena vit des grains de poussière s'envoler et scintiller comme des opales sous le soleil doré. Elle savait qu'elle n'était pas au mieux de sa forme, pas aussi vive que d'habitude. Finalement, quand elle fut certaine que sa voix serait ferme, elle répondit :

-Qu'est-ce que tu veux, Damon ?

-Un baiser.

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- Eh bien, mon petit-fils Tyrone regardait la télé quand je suis partie. Je vais l'appeler.

- Tyronne ? s'étonna Bonnie sans le vouloir. L'attaquant de l'équipe de foot ? J'ai entendu dire qu'on l'appelait Tyrminator.

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Ah, Stefan et ses "je vaux mieux que toi parce que je ne bois pas de sang humain"! Damon adorait plus que tout voir ce prétentieux moralisateur s'attirer des ennuis.

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Elena, elle, avait d'autres projets. Elle n'avait pas sommeil et elle ne se lassait jamais de leur duo solitaire. Dès que le bruit de moteur de leurs invités s'évanouit au loin, elle fit ce qu'elle faisait toujours quand elle était dans cet état d'esprit : elle flotta jusqu'à lui et pencha la tête en arrière, les yeux fermés et les lèvres légèrement pincées. Puis elle attendit.

Stefan se précipita vers la fenêtre pour baisser le store en pensant à d'éventuels voyageurs, du genre corbeau indésirable, puis retourna vers Elena. Les joues un peu rouges mais les yeux toujours clos, elle n'avait pas bougé d'un centimètre. Parfois, Stefan se disait qu'elle pourrait attendre comme ça pendant des heures pour obtenir son baiser.

- Ce n'est pas juste, je profite trop de toi, dit-il dans un soupir.

Il se pencha et l'embrassa simplement, en douceur.

Elena manifesta sa déception par un petit bruit semblable au ronronnement d'un chaton, ponctué d'une pointe d'étonnement. Elle lui donna un petit coup de nez sous le menton.

Alors il se blottit dans la chaleur de son cou, impuissant. Une vague douleur montait déjà vers sa mâchoire supérieure.

Elena réclama encore, d'un petit coup de nez. Stefan l'embrassa un peu plus longuement. Il avait beau savoir qu'elle était nettement plus expérimentée que neuf mois auparavant, lorsqu'ils s'étaient perdus dans une étreinte passionnée, la culpabilité ne le laissait jamais longtemps en paix. Sans consentement concret de sa part, il ne pouvait s'empêcher de s'en vouloir.

Cette fois, le ronron trahit un agacement. Elena en avait assez. Elle se laissa tomber de tout son poids sur lui, l'obligeant à faire face à son regard suppliant.

S'il te plaît?

C'était l'un des premiers mots qu'elle avait appris quand elle s'était réveillée, muette et légère comme l'air. Ange ou non, elle savait parfaitement quel effet il produisait sur lui.

- Mon tendre amour..., gémit Stefan avant de l'embrasser.

Il y eut un long silence pendant lequel il sentit son cœur battre de plus en plus vite. Dans ses bras, le corps d'Elena – elle qui avait un jour donné sa vie pour lui – était chaud et lourd de sommeil. Elle était à lui et à lui seul, et c'est ainsi qu'ils partageaient leur amour. À cet instant, il souhaita que jamais rien ne change. Même la douleur de plus en plus lancinante dans ses crocs était délectable. Face à la bouche brûlante d'Elena, ce mal se transformait en plaisir sous les baisers taquins qu'elle lui soufflait.

C'était toujours elle l'instigatrice et, quels que soient ses désirs, il lui obéissait, inexorablement. La seule fois où il avait refusé et interrompu leur baiser, elle avait cessé net toute communication et elle était partie pleurer dans un angle du plafond, parmi la poussière et les toiles d'araignée. Bien qu'il se soit agenouillé, qu'il l'ait suppliée, cajolée, et qu'il ait même versé quelques larmes, elle avait été inconsolable... jusqu'à ce qu'il la reprenne dans ses bras.

Il s'était juré de ne jamais refaire cette erreur. Mais sa culpabilité continuait de la tourmenter... Soudain, Elena l'embrassa plus fort, ébranlant ses certitudes. Stefan dut reculer et se retrouva assis sur son lit. Ses pensées se morcelèrent. Il ne voyait plus qu'Elena, si vivante. Une douce explosion s'opéra en lui, et il n'eut plus besoin de se forcer.

Il comprit qu'elle appréciait autant que lui le délicieux supplice de ses crocs endoloris.

Il était tard pour réfléchir ou inutile de le faire. Elena l'attendrissait ; sa chevelure était d'une douceur harmonieuse sous la caresse. Leurs esprits communiaient déjà. L'élancement dans sa mâchoire supérieure engendra finalement l'inévitable : des canines plus longues, plus aiguisées. Au contact des lèvres d'Elena, elles provoquèrent une étincelle de douleur qui lui coupa le souffle de plaisir.

Elena eut alors une geste inattendu : avec délicatesse et précaution, elle captura un des crocs de Stefan entre ses lèvres.

Stefan en eut le vertige.

Ce fut par la seule grâce de son amour pour elle qu'il se retint de lui transpercer la bouche. Ses vieilles pulsions de vampire, à jamais indomptables, lui criaient pourtant tout le contraire.

Il était transi de plaisir. Ses dents n'avaient jamais été si longue, si pointues, et, malgré lui, leurs extrémités tranchantes s'étaient plantées dans la lèvre pulpeuse d'Elena. Un filet de sang coula très lentement le long de sa gorge : le sang d'Elena. Son goût avait changé depuis qu'elle était revenue de l'Au-delà. Autrefois, il était extraordinaire, plein de vitalité, de l'essence même de sa vie.

Pour un vampire, une gorge dégoulinante de sang procurait un plaisir aussi vif que n'importe quel bonheur intense pour un humain.

Stefan sentit son cœur cogner dans sa poitrine.

Elena jouait délicatement avec la dent qu'elle tenait prisonnière entre ses lèvres.

Il sentit chez elle une satisfaction bien réelle à mesure que ce petit sacrifice se muait en plaisir. Liée à lui, elle appartenait désormais à l'une des plus rares espèces de l'humanité : un être qui se plaisait à nourrir un vampire, qui adorait cette sensation de l'assouvir et de lui être indispensable. Elle faisait partie de l'élite.

Des sueurs chaudes parcoururent le corps de Stefan, encore vacillant au contact du sang d'Elena.

Elle lâcha sa canine, passant la langue sur ses lèvres. Puis elle renversa la tête en arrière, exposant son cou.

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- Je te laisse encore une chance, répondit le vampire, cette fois sans sourire. Je veux vous voir vous embrasser. Et vous avez intérêt à le faire!

Elena se contorsionna dans l'espace restreint. Son regard chercha celui de Matt. Après tout, ils étaient sortis ensemble un bon moment l'an dernier. À la lueur de ses yeux, elle comprit que Matt avait envie de l'embrasser, plus que tout, après toute cette souffrance. Et lui réalisa qu'elle avait dû en passer par toutes ces manœuvres compliquées pour le protéger de Damon.

«Je ne sais pas comment, mais on va s'en tirer, lui fit comprendre Elena. Maintenant, tu veux bien coopérer?» Certains garçons étaient d'un égoïsme inébranlable. D'autres, comme Matt, avaient deux points sensibles : l'honneur et le sentiment de la culpabilité.

Lorsqu'elle prit son visage et l'inclina vers elle pour l'embrasser en se dressant sur la pointe des pieds, Matt resta immobile. Elena repensa à leur premier vrai baiser, dans sa vieille voiture, au retour d'un bal du lycée. Il avait tremblé comme une feuille, terrifié et les mains moites. Elle s'était montrée détendue, expérimentée, douce.

Comment à cet instant, alors que, du bout de sa langue chaude, elle forçait les lèvres figées à s'entrouvrir. Et, au cas où Damon écouterait aux portes, elle axa toutes ses pensées sur Matt, sur sa beauté lumineuse, la chaleur de son amitié, la galanterie et la politesse dont il avait toujours fait preuve envers elle, même quand elle avait rompu avec lui. Elle n'eut pas conscience du fait que ses bras lui enveloppaient soudain les épaules ni qu'il prenait peu à peu le contrôle du baiser, comme un voyageur assoiffé qui finit par trouver une oasis. Elle le perçut clairement dans son esprit : jamais Matt n'aurait imaginé qu'il embrasserait de nouveau Elena Gilbert de cette façon.

Elena ignorait combien de temps leur baiser avait duré. Finalement, elle écarta les bras et recula.

C'est là qu'elle comprit. Ce n'était pas un hasard si Damon avait eu cet air de metteur en scène. Une mini-caméra à la main, il regardait dans le viseur. Il avait tout filmé!

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"Bonnie et Damon, assis dans un arbre,

En train de S'E-M-B-R-A-S-S-E-R.

C'est d'abord le grand amour, puis arrive le mariage ;

Et voilà un vampire dans le landau."

Chapitre XIX, page 251

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