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Extrait ajouté par PANDORE88 2021-07-14T17:12:01+02:00

Avec Xavier, les choses ont avancé. Pas grâce à lui, j'ai pris les devants. Ce trouillard n'aurait jamais osé faire autre chose que me mettre la main à la culotte pendant mon sommeil.

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Extrait ajouté par Chrichrilecture 2017-10-08T04:17:09+02:00

Peut heurter les plus sensibles

Si mon cul peut me sortir de la misère, je n'hésiterai pas à m'en servir. Avoir le choix des moyens est un privilège de riche, et je ne le suis pas encore. Mais ce que je n'ai pas eu par la naissance, je l'obtiendrai autrement.

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Extrait ajouté par Chrichrilecture 2017-10-08T04:16:38+02:00

Peut heurter les plus sensibles

Je n'y croyais pas, et pourtant, Monsieur a donné son accord ! Madame aussi. Enfin, elle a dû accepter la décision de son mari, ce qui revient au même. Pour une fois, je me suis réjouie de ce que les femmes n'ont pas plus droit à la parole dans ce pays. Il a suffi d'une journée pour que le père de Victor prenne sa décision. Je sais qu'il en a parlé avec sa femme, on l'a entendue crier, hurler, et sortir de son bureau en claquant la porte. Les murs en ont tremblé, sa manière à elle de faire part de son désaccord à tout le voisinage. Monsieur a convoqué Victor dans son bureau, et lui a annoncé que le mariage aurait lieu un mois plus tard. Il n'a pas jugé utile de me le dire en personne, c'est Victor qui me l'a annoncé. Il a voulu fêter ça au champagne. Enfin, avec son champagne à lui . . . Il m'a agenouillée à ses pieds, a sorti son chibre, et m'a forcé à le sucer jusqu'à ce qu'il jaillisse dans ma bouche, en m'interdisant d'en laisser échapper une goutte. Ça ne m'a pas plu, mais j'étais tellement heureuse que j'aurais pu le refaire dix fois.

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Extrait ajouté par Chrichrilecture 2017-10-08T04:16:11+02:00

Peut heurter les plus sensibles

Je ne comprends pas qu'on puisse naître pauvre et se résigner à une vie dictée par les cuisses d'où l'on est sorti ! Les riches ne savent pas ce que c'est que de se lever chaque matin en se demandant si le soir venu on aura encore un toit et un peu de soupe, ou si le peu que l'on a aura été confisqué par un de leurs caprices. Hors de question que je passe ma vie à laver le linge des autres et à torcher le cul de leurs gamins par crainte d'être à la rue. J'ai déjà essayé d'en parler à ma mère. Peine perdue, à chaque fois elle manque s’étouffer. Elle parle de démence, crie que je gaspille ma chance, que je devrais regarder davantage les miséreux sous nos fenêtres qui sont chaque jour plus nombreux à venir tambouriner à notre porte pour un quignon de pain rassis. Et qu'avec des idées pareilles, ce n'est pas à la rue que je vais finir, mais dans un bordel des bas quartiers. Peut - être . . . Mais j'aurai au moins essayé d'avoir mieux, elle ne peut pas en dire autant.

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