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Défaillances systèmes, la première des quatre novellas qui forment « Journal d’un AssaSynth », a reçu les prix Hugo, Nebula, Alex et Locus.
« J’aurais pu faire un carnage dès l’instant où j’ai piraté mon module superviseur ; en tout cas, si je n’avais pas découvert un accès au bouquet de chaînes de divertissement relayées par les satellites de la compagnie. 35 000 heures plus tard, aucun meurtre à signaler, mais, à vue de nez, un peu moins de 35 000 heures de films, de séries, de lectures, de jeux et de musique consommés. Comme impitoyable machine à tuer, on peut difficilement faire pire. »
Et quand notre androïde de sécurité met au jour un complot visant à éliminer les clients qu’il est censé protéger, il ne recule ni devant le sabotage ni devant l’assassinat ; il s’interpose même face au danger, quitte à y laisser des morceaux.
Martha Wells signe avec cette série un récit tout en ironie et en sensibilité sur l’éveil à la conscience et l’exercice du libre arbitre.
Nouveau petit bijou à rajouter à ma longue liste de séries en cours !
Une équipe de chercheurs partent sur une planète inconnue pour effectuer des prélèvements. Ils ont loué les navettes, fournitures et tout ce dont ils ont besoin à une entreprise pas vraiment fiable qui tire sur les budgets pour se faire le plus de bénéfices. Un robot de protection leur est fourni en supplément, et quel robot ? Il va vous faire fondre petit à petit tous vos engrenages tellement on craque pour lui ou elle, puisqu'il est asexué.
Après avoir piraté son Hubsystème il se retrouve avec une sacré liberté, celle de ne pas écouter un ordre ou de les différer, d'avoir son libre arbitre dans des situations à risques et surtout continuer sa passion, le visionnage de séries TV qu'il avale à vitesse pharaonique.
Le point fort du bouquin c'est comment est traité différemment la façon de penser et les sentiments de notre robot par rapport aux humains qu'il accompagne dans cette mission, si notre geek préféré fait tout ce qui est en son pouvoir pour les protéger, il les fuit comme la peste car ils lui prêtent sans arrêt des émotions humaines qu'il ne ressent pas, ce qui provoque des moments vraiment cocasses.
Je n'en dis pas plus sauf que le 1er tome est beaucoup trop court et qu'il serait vraiment dommage de passer à côté....
Iel, AssaSynth dans le privé de la confession, est vraiment très cool, j’adore son mood « flemme », « asociable » et « on ne me donne pas d’ordre ».
Vous voulez passer un bon moment sur une planète dans l’univers Star Wars avec des rebondissements assez sanguinolents et des dialogues si .. percutants. Let’s go, vous êtes dans la bonne lecture !
Une courte novella assez sympathique. Format oblige, on n'est pas sur une intrigue super complexe, mais on a quand même une intrigue secondaire de fond avec le libre arbitre, et le fait de pouvoir choisir de ne rien faire.
Une vraie pépite. Je le recommande vivement. Un humanoïde appelé AssaSynth travaille avec un équipage de scientifiques. Après avoir piraté son Hubsystème, il peut continuer sa passion pour le visionnage de séries TV, qu’il avale à très grande vitesse. Il obtient une grande liberté : celle d’exercer son libre arbitre dans des situations à risque. Cependant, un grand rebondissement survient lors d'une attaque, où l’AssaSynth joue un rôle primordial pour sauver les membres de son équipe. C'est excellent.
J’avoue que je n’étais pas dans les meilleures dispositions au moment de ma lecture, et c’est sûrement ce qui a fait que je ne l’ai pas beaucoup appréciée – malgré sa popularité et ses nombreuses récompenses. J’ai trouvé la narration très froide et le format trop bref pour tout ce que contient l’histoire. On est directement propulsé dans l’univers et son vocabulaire spécifique (dont j’ai compris les grandes lignes, mais qui sont restés beaucoup trop opaques), on n’a pas le temps de s’attacher aux personnages que j’ai trouvés trop nombreux – et pas beaucoup plus au héros de l’histoire qui possède certes un humour assez appréciable et se pose des questions pertinentes… Mais la vérité est que tout ça m’aura globalement laissée de marbre. Je ne pense donc pas découvrir la suite un jour (à moins que je tente l’expérience en audio).
Il y a l’intrigue: efficace, soutenue… ça se lit d’une traite!
Et il y a le ressort du livre: l’être (semi) artificiel doué de conscience confronté aux humains et à leurs limites. La personnalité de cet androïde (Assasynth) est originale, attachante. On est plutôt dans le registre « Libration » de Becky Chambers. Assasynth, conçu pour tuer, est plutôt sympa, au fond! Cela dit, je trouve ça un peu léger pour un prix Hugo.
Un roman court de science fiction découvert totalement par hasard. La lecture était sympathique et j'ai trouvé le personnage principal assez drôle. Je suis plutôt curieux de lire la suite.
AssaSynth est un Android qui s'est affranchi de son logiciel de contrôle, que fait-il de son libre arbitre ? Il garde ce secret et profite de sa liberté pour être pleinement asocial, préférant regarder des séries plutôt qu'être en compagnie des humains. Ainsi, nous suivons l'une de ses expéditions, l'escorte d'une équipe de scientifiques, teintée d'humour et de cynisme. Au fil de cette courte Novella, AssaSynth devient de plus en plus humain et fini par s'attacher à eux (au risque de sa vie).
Malheureusement, les personnages secondaires sont assez plats et peinent à se démarquer. Hormis la cheffe du vaisseau et l'humain augmenté, j'avais du mal à différencier qui est qui.
C'était bien sympathique (même si je ne comprends pas l'avalanche de prix qu'il a pu recevoir), un bon divertissement, et entendre la voix française de Tan de Queer Eyes m'a fait rire.
Cependant, je ne suis pas assez convaincue pour poursuivre la série.
Je poursuis mes découvertes de livres audio sur Netgalley. J’adore ce format, et j’ai pu recevoir le Journal d’AssaSynth de Martha Wells par ce biais ! J’avais beaucoup entendu parler de cette saga lauréate de plusieurs prix littéraires (Hugo, Locus, Nebula…), mais le prix des livres par rapport au nombre de pages m’avait refroidie. Alors, là, autant dire que j’ai sauté sur l’occasion. Merci aux éditions Lizzie pour leur confiance !
Dans un futur très lointain, des androïdes moitié machine/moitié humain sont créés en laboratoire pour devenir des assassins à la solde des entreprises. Ce sont les AssaSynth. Nous suivons l’un deux qui est un peu différent de ses “collègues”. En effet, il a piraté sa base de données pour pouvoir désobéir aux ordres, réfléchir par lui-même… et se mater des tonnes de séries sur internet ! Il est chargé actuellement de la sécurité d’une équipe de scientifiques en prospection sur une planète à l’autre bout de l’univers. Une mission plutôt tranquille. Jusqu’à ce que plusieurs incidents tragiques lui ouvrent les yeux sur un complot visant à tuer les humains dont il a la charge. Il ne laissera jamais faire ça, d’autant qu’à son corps défendant, il se prend de sympathie pour “ses” humains.
J’ai beaucoup aimé ce tout petit roman que j’ai dévoré dans ma voiture. Les premières minutes sont déroutantes car l’univers est particulier, comme bon univers de science fiction qui se respecte, et j’ai mis un petit temps à comprendre les pensées de l’AssaSynth. Mais une fois que j’ai remis mes pensées en ordre, j’ai adoré ! Le narrateur a un humour de dingue, j’ai adoré ses réflexions. J’ai beaucoup ri.
En plus, le lecteur, Thibaut Delmotte a donné une vraie plus value au récit avec son timbre de voix et ses intonations. J’ai beaucoup aimé son travail d’acteur. Il a une voix très agréable et arrive parfaitement à retranscrire les pensées de l’AssaSynth avec un brin d’humour et de dérision dans la voix.
L’histoire en elle-même était passionnante, j’ai adoré les aventures des protagonistes, notamment la cheffe de la mission Mensah.
Je préfère ne pas trop en dire car comme je l’ai dit, c’est un tout petit livre, à peine 3h30 en audio. Mais je vous le conseille à 100 %, à tel point que je pense m’acheter la saga en papier, pour pouvoir les lire et les relire à l’envie !
+ Le narrateur qui colle merveilleusement bien à AssaSynth
+ L’univers SF/Cyberpunk
+ Un rythme sans repos
+ Une envie de découvrir les séries favorites d’AssaSynth
Ce que j’ai moins aimé :
- … rien j’ai tout aimé !
MON AVIS EN RÉSUMÉ
Pour la petite histoire :
AssaSynth est une SecUnit, soit une unité de sécurité louée à une équipe scientifique déployé pour des recherches sur une planète destinée à la colonisation. Après un incident avec un élément de la faune non répertorié, l’androïde et l’équipe de recherche met à jour un complot visant à éliminer les scientifiques.
AssaSynth va devoir sauver ses clients, déjouer un complot, rester en vie et tenter de cacher qu’il n’est plus sous le contrôle de son module superviseur et le tout en regardant sa série préférée !
Une chose est sûre ce ne sera pas de tout repos.
Mon avis :
Adorer est un faible mot, je suis tombée autant sous le charme du narrateur qui colle à la perfection à l’image que j’ai d’AssaSynth, que sur l’androïde qui possède un humour et un caractère à faire griller n’importe quel module superviseur.
L’histoire nous est contée du point de vue de la SecUnit (qui n’a pas de genre je précise) nous offrant le plaisir de sa compagnie unique et étonnante. On pourrait croire qu’un androïde n’a pas de sentiments, mais on découvre que lui non plus ne le pensait pas. Il a un ton assez particulier, il fait dans le sarcasme et rien ne peux lui faire plus plaisir que de regarder des séries. Peut-être que ces grâce à ses 35000 heures de visionnages qu’il commence à mieux appréhender l’humain, oui je dis appréhender, car apprécier est une conception difficile pour lui à assimiler aux humains, mais au fur et à mesure, il va se rendre compte qu’il les aime bien ses clients à qui il doit sauver les miches.
Je suis encore étonnée de voir qu’il y a moins de 100 pages à la version broché, c’est court et pourtant on ne s’ennuie pas une seconde, le rythme est prenant, l’histoire captivante et l’univers riche est facile à assimiler, ne donnant qu’une envie : se balader aux côtés d’AssaSynth pour le découvrir, ce que je vais faire sans hésiter car je ne pourrais pas me reposer complétement sans lire les 5 prochains tomes (j’ai hâte de m’y mettre !).
Résumé
Défaillances systèmes, la première des quatre novellas qui forment « Journal d’un AssaSynth », a reçu les prix Hugo, Nebula, Alex et Locus.
« J’aurais pu faire un carnage dès l’instant où j’ai piraté mon module superviseur ; en tout cas, si je n’avais pas découvert un accès au bouquet de chaînes de divertissement relayées par les satellites de la compagnie. 35 000 heures plus tard, aucun meurtre à signaler, mais, à vue de nez, un peu moins de 35 000 heures de films, de séries, de lectures, de jeux et de musique consommés. Comme impitoyable machine à tuer, on peut difficilement faire pire. »
Et quand notre androïde de sécurité met au jour un complot visant à éliminer les clients qu’il est censé protéger, il ne recule ni devant le sabotage ni devant l’assassinat ; il s’interpose même face au danger, quitte à y laisser des morceaux.
Martha Wells signe avec cette série un récit tout en ironie et en sensibilité sur l’éveil à la conscience et l’exercice du libre arbitre.
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