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http://www.unbrindelecture.com/2016/10/journal-dun-marchand-de-reves-de.html

Anthelme Hauchecorne nous entraine dans un univers onirique loufoque et déjanté avec brio et maîtrise. Pas aussi sombre que certains autres de ces ouvrages , cela reste une lecture intrigante et un peu inquiétante parfaitement adapté à cette période d'Halloween. On se laisse porter par cette aventure dont on ne sait jamais vraiment où elle nous mène . On s'attache à cet anti-héros haut en couleur qu'est Walter et à ses compères d'aventures tous plus déjantés ou loufoques les uns que les autres.....

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http://revesurpapier.blog4ever.com/journal-d-un-marchand-de-reves-de-anthelme-hauchecorne

Walter Krowley a fait des erreurs et a touché le fond. Il est perdu et ne sait pas quoi faire de sa vie. Dans ce journal, Walter nous partage ces idées noires, mais aussi et surtout sa drôle d'expérience. Tout a commencé avec des rêves étranges d'une réalité saisissante et inattendue ...

J'ai particulièrement aimé retrouver la plume de l'auteur que j'avais découvert dans le Carnaval aux Corbeaux, un roman ensorcelant que ma sœur m'avait conseillé pour l'Halloween. Anthelme Hauchecorne a réussi à me surprendre une nouvelle fois ici, avec une plume à la fois tourmentée et mélancolique. Cette plume qui devient au fil des pages fascinée et plus aventureuse. En fait, c'est une plume qui s'adapte au narrateur Walter Krowley, ce narrateur imparfait qui évolue tout au long du roman. J'ai vraiment pris le temps d'apprécier Walter, ce personnage vulnérable et peu audacieux, jusqu'à me laisser convaincre définitivement.

Dans l'Ever, dans ses songes, Walter n'a pas beaucoup de chance et n'est franchement pas en sécurité. Lorsqu'on pense que son adaptation ne se passe pas si mal, des événements qu'il ne peut contrôler, ou des rencontres, viennent le mettre en danger, ralentir puis enrichir son voyage. J'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir comment ce monde fonctionnait, à travers l'étonnant territoire sous contrôle qu'est Doowylloh, ou encore la découverte de Brumaire. Puis voir l'influence qu'ont ces rêves sur sa vie réelle, qui jusque là était sans saveur.

Les rencontres remplissent elles aussi leur part du marché. On ne sait absolument pas si il est bon pour Walter de se lier à Spleen, Banshee ou encore Poppy ou les Outlaws. Ces personnages imprévisibles qui lui permettent tout de même de vivre une grande aventure. Mais il y a quelque chose qui m'a séduit encore plus. Le "ça" des Rêveurs qui s'ajoute aux bizarreries de l'univers des rêves.

J'ai vraiment aimé mettre un pied dans l'univers des songes de cette manière et découvrir peu à peu le potentiel de rêveur de Walter. Que ce soit dans l'Ever ou dans l'Eveil, ces étonnants rêves laissent des traces et on ne sait pas bien où tout cela va nous mener. Je vais d'ailleurs vous faire part de mes soupçons. Il se pourrait que notre cher Anthelme Hauchecorne ... mette du sable dans son café!

En bref : Une exploration onirique remarquable !

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Or

http://lafetedesmots.blogspot.fr/2016/10/journal-dun-marchand-de-reves-de.html

Je n'ai pu résister à la tentation. Cela fait bien deux semaines que je voyais ce roman sur la bibliothèque qui hurlait "lis moi" mais que je ne pouvais lire sous peine d'une potentielle insomnie due à une nuit blanche remplie de lecture. Du coup, j'ai lu des romans courts avec ce roman dans un coin de ma tête. Je savais que j'allais me ruer dessus dès que les vacances commenceraient. Est-ce aussi bien que ce que j'ai pu en lire?

Je n'ai qu'une chose à dire : pourquoi est-ce que je n'ai découvert cet auteur que maintenant? Honte sur moi. Je le regrette vraiment. Les raisons de ce regret sont nombreuses notamment parce que j'ai appris que l'un de ses livres n'étaient plus disponibles. Tant pis pour moi. J'ai tout de même eu la chance de le rencontrer. J'ai vraiment apprécié l'échange. Il ne ment vraiment pas lorsqu'il présente ses romans. Je pense que le second sera lu prochainement également. Mais l'essentiel est que j'en ai deux de lui dont celui-ici. Je ne parlerais pas de l'objet livre qui est déjà un appel à l'achat ni du fait que c'est un steampunk ni du fait que Mieisis, cette merveilleuse illustratrice (que je n'ai pas pu rencontré aux halliennales) est derrière cette couverture magnifique.

Première chose qui m'a frappé : l'écriture. Je l'ai trouvé tellement belle. C'est tellement rare ce mélange d'élégance et de charme dans l'écriture. Merci milles fois. Certes, ce n'est pas tout le long du roman comme ça et tant mieux mais honnêtement, je l'ai savouré. Surtout certains passages que je me suis amusée à relire par moment tant ces phrases sonnent vrais. Je pourrais en faire des citations. elles sont fortes sans un mots de trop. Aussi, ayant rencontré l'auteur, je peux vous dire qu'il parle comme il écrit. En tout cas, c'est mon avis.

Deuxième chose : l'intrigue. Elle se passe majoritairement dans le monde des songes. Il y a tant à dire sur ce monde qu'il a créé. Il est si complexe. Pourtant, il nous semble normal. On le suit et on ne pose quasiment aucunes questions. Les faits sont admis. Les découvertes se font en même-temps que le personnage principal. On ne se rend compte qu'après que le peu de questions que l'on se pose ne sont pas bonnes. Typiquement humain. Et c'est là le tour de force. Il nous montre que l'humain est loin d'être le maître absolu. Le roman est très dense. Les informations sont données tout au long du roman. Les pauses figurent dans le monde réel. Mais justement le songe n'est-il réellement qu'un simple songe? Quels sont ses conséquences sur nous? C'est là le thème principal je pense. Et honnêtement, ça m'a fasciné.

Troisième chose : on apprend énormément de choses aussi bien d'un aspect culturel que philosophique. Les songes nous poussent à réfléchir sur leur importance sur la vie réelle. Le personnage nous apprend beaucoup sur le monde du cinéma. Certes, on s'en doute mais certains détails peuvent changer notre vision de ce monde-là. La musique y est abordée. Bref, tout ce qui fait la culture est évoqué et parfois dans le détail. J'ai vraiment appris des choses et pas qu'un peu.

Pour ce qui est des personnages, je ne me suis pas dit "lui je l'aime bien", "elle je ne l'aime pas". Je les ai accepté comme ils sont. Walter Krowley évolue tout au long de l'histoire. Il apprend réellement dans les rêves. Au début, on nous présente le stéréotype du fils de star mais au fur et à mesure il s'éloigne et prend son indépendance. Il commet des erreurs mais justement, c'est faisant ces erreurs qu'il apprend le plus. Il devient même un peu philosophe. Il a tout de même une fâcheuse tendance à se mettre dans des situations pas possible. Je crois qu'il remporte la palme d'or de la poisse mais c'est dans ces moments-là qu'il a le plus de chance. Banshee est une mécanicienne hors pair. Elle a une importance capitale dans l'histoire. Au bout d'un moment, j'avais trouvé le fin mot de l'histoire la concernant avant la fin mais l'auteur arrive à semer le doute et même à nous faire changer d'hypothèse. Hope est un personnage mystérieux. Bon ou mauvais. A vous de juger. Personnellement, je n'ai su tranché qu'à la fin. Et encore. Je ne suis pas sûre. J'aurais aimé voir un peu plus le Ça de Walter. Butch est touchant à sa manière peu importe ce qu'il peut faire. Quand à Spleen, je n'ai jamais su si elle aidait vraiment ou non le héros.

Enfin, j'ai lu les remerciements et j'ai adoré. Je vous recommande vivement de les lire. J'ai beaucoup aimé la façon dont c'est écrit. J'y ai découvert des influences musicales que je ne connais pas forcément mais je vais me renseigner.

En bref, c'est un roman très riche qui s'avère intéressant et possédant une écriture d'une finesse merveilleuse. Les mots choisis sont forts et justes. Rien que pour ça. Je vous invite fortement à le lire. Autant le dire, j'ai passé un excellent moment. Je comprends que Anthelme Hauchecorne fasse l'unanimité.

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Bronze

Je n'ai pas été déçue par le récit de Anthelme Hauchecorne. Il est bien ficelé, nous tient en haleine du début à la fin. Ses personnages sont attachants, attendrissants, exaspérants tout à la fois et on ne peut s'empêcher de tourner les pages et de s'enfoncer toujours un peu plus en Brumaire. Une histoire originale, car dans un univers et une "mythologie" assez peu exploitée en soi. Qui malgré tout m'a laissée un peu sur ma fin, notamment au niveau des oniromanciens, dont j'aurais aimé en savoir un peu plus. Peut-être l'auteur sera-t-il inspiré de faire un préquel au "Journal d'un marchand de rêves" pour nous évoquer les grandes épopées de ce peuple mystérieux. Il me manquait peut-être un peu de remise en question du héros aussi, notamment lorsqu'il découvre la véritable nature des automates... mais d'un autre côté, que demander à un enfant de star qui a grandit dans les paillettes d'Hollywood ? Pour ce qui est de Banshee, certainement mon personnage favori, la découverte de son "soi" dans l'Eveil ne m'a guère choquée, peut-être parce que j'avais visionné l'épisode "San Junipero" de Black Mirror quelques semaines avant ma lecture.

Le "Journal d'un marchand de rêves" reste malgré ces petits détails un livre que je recommande bien volontiers car il nous plonge dans ce monde oniriques aux saveurs de cauchemars. Avec une morale à tirer sur notre propre société.

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Bronze

La couverture à elle seule a réussi à me faire acheter ce livre.

Mais au niveau du contenu, j'en reste plutôt mitigée.

Alors oui, on est dans un cadre très original. L'auteur réadapte le monde des rêves à sa sauce. Il mêle à la fois Hollywood, la drogue, la psychiatrie, et les rêves. Bon point, vraiment, c'était très bien trouvé.

D'autant que l'univers développé reste atypique. On est dans un cadre steampunk avec de nombreuses trouvailles. Un monde qui tient debout tout en correspondant à l'univers onirique qu'on était en droit d'attendre.

Les personnages sont à l'image de l'univers inventé : un peu décalés, et atypiques. (j'ai beaucoup apprécié le personnage de Banshee d'ailleurs)

Mais je ne sais pas, il y a quelque chose qui n'a pas décollé. J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire. Problème de scénario, sûrement, parce que j'avais du mal à voir où l'auteur allait nous emmener. J'avais un peu l'impression d'être dans la description d'un nouveau monde, mais sans que l'histoire nous mène nulle part. On part dans de l'action, un peu inutiles à mon goût. Comme s'il fallait reprendre les codes des films hollywoodiens.

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Or

Ce livre est une perle !

Il est dense, oui, mais il en vaut la peine : l’univers et le scénario sont très créatifs. D’un côté, le monde des rêves ressemble à un western steampunk, peuplé de technologies à la limite du sensé, de sables aux pouvoirs affolants, d’ennemis cruels et d’alliés insoupçonnés. De l’autre, il y a le monde contemporain tel que nous le connaissons avec ses espoirs et ses déceptions. Chacun obéi à ses lois et Walter doit naviguer entre ces deux dimensions. Les aller-retours entre les deux permet à l’auteur d’instaurer un mystère : il nous cache des choses et force même le narrateur à nous mentir, la structure du récit est bien travaillée.

Si on ne déborde pas vraiment de sympathie pour les personnages, leurs aventures sont tout de même très intrigantes et on a plaisir à lire les multiples retournements de situations, trahisons, traquenards et guets-apens dans lesquels ils tombent sans cesse. On aime aussi les innombrables références au monde cinématographique et la plume très recherchée de l’auteur : le vocabulaire est riche sans être pompeux, les figures de styles sont savamment dosées, le talent est là.

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Lu aussi

https://leslecturesdecyrlight.home.blog/2023/01/24/journal-dun-marchand-de-reves-anthelme-hauchecorne/

Journal d’un marchand de rêve est un roman fantastique dans lequel Walter Krowley, fils de stars de cinéma et artiste lui-même, découvre lors d’un songe l’étrange univers de Doowylloh, reflet onirique de la célèbre Hollywood.

La curieuse atmosphère de ce livre et le ton cynique de son narrateur m’ont tout de suite happée entre ses pages. Je ne savais pas à quoi m’attendre, et à l’instar de Walt, j’étais intriguée par les découvertes que je faisais au fil des chapitres. Les Oniromanciens, qui n’étaient pas sans m’évoquer d’une certaine manière les Ingénieurs de Prometheus, m’ont particulièrement emballée.

Hélas, de Prometheus, cette œuvre me rappelle aussi le sentiment de frustration. De bonnes idées prometteuses, beaucoup de suspens, une civilisation antique et mystique… Et c’est tout. Si vous aimez les récits qui apportent des réponses aux questions que vous êtes susceptibles de vous poser tout du long, passez votre chemin.

Autant j’ai adoré l’aventure dans Brumaire, la rencontre avec Banshee et l’obsession de celle-ci pour les Oniromanciens, autant j’ai commencé à décrocher lorsque les Outlaws ont rejoint l’intrigue. C’est à ce moment-là que, pour moi, l’histoire est partie en quenouille.

Certes, c’est le monde des rêves, et le monde des rêves a le mérite de permettre un poknawak magistral sans que ce soit incohérent, mais si le côté fantastico-western-politico-steampunk n’est pas un problème en soi, j’ai été déçue par la tournure prise par le scénario.

Ça s’éparpille trop ! Je voulais explorer les ruines en détail avec Banshee et Walt, percer les secrets de Oniromanciens, au lieu de quoi brusquement, on se retrouve à tamiser du sable avec eux pour le compte des Outlaws. Et à côté de ça, il y a Spleen, Hope, le Gouverneur, Poppy qui disparaît aussi vite qu’elle est apparue, les automates, les Poltrouilles, les Ça, le monde de l’Éveil…

Au final, je ne suis pas sûre d’avoir saisi les motivations et les intentions de la plupart des personnages, auxquels je n’ai d’ailleurs pas réussi à m’attacher. Plus j’avançais dans le récit, plus j’avais l’impression d’en être éjectée par les rebondissements toujours plus nombreux, et un déroulement toujours plus rapide.

De même, les « règles » de l’Ever m’ont laissée perplexe. Parce que oui, malgré sa dimension très poknawak susmentionnée, cet univers a des règles. En tout cas, il essaie. Prenons la chaîne d’argent, par exemple. Elle est évoquée assez fréquemment pour qu’on devine qu’elle est en permanence attachée au pied de son propriétaire, pourtant la moitié du temps, je me suis demandé comment tous pourraient faire ce qu’ils font avec une entrave de cette nature.

L’imagination débordante de l’auteur est à mettre à son crédit, mais malheureusement, elle m’a perdue en cours de route, et cette histoire, pourtant captivante de prime abord, ne me laissera que peu de souvenirs, si ce n’est celui de ma déception à l’idée qu’elle ne se soit pas davantage concentrée sur les Oniromanciens. Dommage.

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Or

Walter Krowley jeune adulte gâté et irresponsable souffre d'être le pâle héritier de son père, acteur et réalisateur made in Hollywood. Après le drame d'un accident de voiture, Walter voit un nouveau monde qui s'offre à lui. La nuit, il explore une dimension qui pourrait bien métamorphoser la petite graine qui sommeille au plus profond de lui-même...

Ce livre est un bijou à l'état pur pour qui a envie de décoller un peu les pieds de Terre. Le voyage est merveilleux, étrange, mouvementé et O combien distrayant. On est happé par le récit de Walter qui passe de l'autre côté, celui du rêve, de l'inconscient.

L'auteur réussit à nous embarquer dans une aventure loufoquement baroque. L'écriture est fascinante, travaillée, sublime et totalement déroutante. L'univers est sombre, complexe et mystérieux. On avance avec Walt dans les brumes de ses rêves craints et fantasmés à tâtons et sans sourciller. Des influences western, steampunk donnent un caractère trempé et somme toute originale à cette intrigue. Une épopée fantastique pour cette traversée du désert, illustre les mécaniques insoupçonnables de l'esprit endormi.

On aime, l'extravagance, le charme des personnages et ce rythme soutenu qui nous emmène loin de notre petit quotidien. Il est question d'amour, de confiance, de trahison et de construction de soi.

Contre toute attente, le rêve est une base de communication à ne peut-être pas négliger. Suivez Walter, c'est lui seul qui détient la clef des songes. Entre deux mondes parallèles, l'énergie créatrice finira par parler. N'hésitez plus à flirter entre ces deux états de veille et de sommeil.

Vous n'en apprendrez peut-être jamais autant de vos capacités en vous-même !

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Argent

Les romans d’Anthelme Hauchecorne sont facilement différentiables des autres. J’avais déjà découvert Le Carnaval aux Corbeaux, qui est un livre absolument incroyable et Journal d’un marchand de rêves ne déroge pas à la règle. C’est un roman qui mélange le sombre et le magnifique, la beauté et l’horreur. Les personnages qu’invente Anthelme Hauchecorne ne sont jamais de véritables héros. Ils ne sont pas merveilleux, ils sont juste humains. Ils ont des défauts, beaucoup même, mais ils sont foncièrement bons. Ils vont tenter d’arranger les choses, et les aggraver parfois. Ils vont faire des erreurs, et apprendre beaucoup.

Ce roman est original et extrêmement intéressant. On est pris dans l’histoire, on veut connaître toutes les mésaventures de Walter Krowley et surtout, on veut savoir ce qui se cache derrière le mystère Banshee. Un livre addictif, bien pensé, bien écrit et véritablement surprenant !

http://www.avenuedelhorreur.fr/2016/11/critique-journal-d-un-marchand-de-reve-anthelme-hauchecorne.html

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Diamant

Anthelme Hauchecorne nous emmène avec ce livre au plus profond du monde des rêves, où le sable est le plus pur et les trahisons les plus douloureuses. Un gros coup de cœur pour l’univers, les personnages et l’histoire. Une oeuvre dreampunk originale que je vous recommande à 100% !

En savoir plus sur : https://livraisonslitteraires.wordpress.com/2016/12/06/journal-dun-marchand-de-reves/

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