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bon d'accord, elle devrait y aller. et après, elle retournerait se reposer. quand elle l'aurait vu.

ça y est! ça lui revenait! c'était celui qui la comprenait, qui l'aimait. celui avec qui elle voulait vivre pour toujours. son visage lui apparut au milieu des brumes qui obscurcissaient son esprit. elle le contempla avec amour, et se décida à affronter cet atroce blizzard. elle devait trouver la clairière pour le rejoindre.

elle sentait le feu qui brûlait enlui. il ressemblait à celui qui couvait en elle. mais ses appels désespérés étaient sans équivoque. il était en danger. elles les entendait vraiment à présent. ils devenaient de plus en plus distinct à son oreille à mesure qu'elle progressait à travers la forêt.

là-bas, sous le chêne centenaire. c'était bien lui. elle reconnaissait son REGARD NOIR PROFOND et son SOURIRE ÉNIGMATIQUE.

elena secoua les cristaux de glace accrochés à ses cheveux et s'avança dans la clairière.

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Extrait ajouté par Lyli 2010-10-31T17:55:50+01:00

"- Monsieur Tanner? Sa va? Monsieur Tanner!

Pas un mouvement, pas un bruit. La lumière des stroboscopes décompose chacun des mouvements de Bonnie: elle avance sa main par à-coup, la pose sur l'épaule de monsieur Tanner, le secoue... Elle voit rouler sa tête, les yeux toujours ouverts. Puis son regard se pose sur sa gorge. Et Bonnie pousse un hurlement strident."

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Extrait ajouté par dyci 2010-06-13T21:09:10+02:00

Liste des personnages du Journal d'un vampire.

* Elena : héroïne et Reine du Lycée, elle sort avec Stefan Salvatore, vampire italien. Elle sera elle-même vampire, puis mourra et reviendra à la vie en tant qu'être pur et incapable de mentir (c'est un ange). Elle redeviendra ensuite une simple humaine mais dotée de pouvoirs immenses. Blonde aux yeux bleus, elle est courageuse mais obstinée.

* Bonnie : amie d'Elena, elle a des ancêtres druides et est une sorcière. Elle a souvent des sortes de prémonitions, surtout dans des moments imprévus. Elle n'est pas très courageuse au début mais son caractère se forge au fil du temps. Elle a un faible pour Matt. Dans le troisième livre, une relation trouble s'installe entre elle et Damon, que Bonnie ne voie plus tout à fait de la même façon. Elle est décrite comme ayant "de longs cheveux roux" et des veines "formant des estuaires et des fjords sous sa peau translucide".

* Meredith : amie d'Elena, elle est assez renfermée et ne parle jamais d'elle et de sa famille. On finira par apprendre que son grand-père a été mordu par un vampire. Elle a toujours l'air de contrôler la situation et elle garde son calme en toute circonstance. Bonnie et Elena s'appuie souvent sur elle pour qu'elle les aide en cas de danger. Elle sort avec Alaric Saltzman.

* Stefan : vampire italien, il est amoureux d'Elena. Il commence par l'éviter puis finit par sortir avec elle. Il fut transformé en vampire par Katherine, une fille ressemblant trait pour trait à Elena. Il a un frère, Damon, avec qui il ne s'entend pas trop. Il se nourrit de sang animal autant qu'il peut.

* Damon : frère de Stefan, il est sauvage et adore s'abreuver de sang humain. Il est amoureux d'Elena et essaie plusieurs fois de la séduire à sa façon mais celle-ci est très amoureuse de Stefan. Dans le tome 3, il lui dit clairement qu'il a voulu piéger Stefan pour la changer en sa princesse des ténèbres. Elena, de son côté, voit bien qu'il est gentil au fond mais qu'il s'est forgé une carapace pour ne pas le montrer. Il peut se transformer en corbeau et en loup.

* Alaric : nouveau professeur d'histoire après M.Tanner, tué par Damon lors de la fête d'Halloween. C'est en faite un historien de vampire. Il est mis au courant pour Stefan et Damon par Meredith, avec qui il sortira plus tard.

* Matt : petit ami d'Elena qu'elle finira par quitter après les vacances. Il est toujours amoureux d'elle mais restera amical avec Stefan.

* Tyler : caïd de service, il complote contre Stefan pour le faire accuser de tous les meurtres ayant eu lieu en ville. Il se transformera en loup-garou dans le deuxième tome et aidera Klaus.

* Caroline : D'abord très amie avec Elena, elle finira par la jalouser et voudra la détrôner. Elle veut absolument sortir avec Stefan. C'est elle qui vole le journal intime d'Elena et essaye de la ridiculiser en s'en servant à la fête du fondateur. Dans le tome 3 on la découvre très rancunière. Elle complote avec Misao (mais elle croit que c'est Shinichi) car elle veut un "mari", pour tuer Elena et avoir Stefan pour elle. Elle n'arrive pas à comprendre pourquoi tous les garçons qu'elle veut pour elle tombent tous amoureux d'Elena.

* Katherine : Vampire très belle et ressemblant de manière troublante à Elena, qui a vécu à l'époque Italienne avec Damon et Stefan, qui étaient tous deux amoureux fous d'elle. Ils ont trouvé la mort suite à un duel pour le coeur de la demoiselle.

* Klaus: Vampire originel, il a longtemps été le compagnon du Diable. C'est lui qui a transformé Katherine en vampire. Plus tard, il sera l'un des ennemis des héros et tentera plusieurs fois de tuer Stephan. Il sera épris d'Elena et l'empêchera de communiquer avec les autres.

* Margaret : Petite sœur d'Elena, se fait attaquer par Katherine.

* Vicky : Jeune fille, ayant dans le premier livre été attaquée par quelqu'un, devient très bizarre... Cependant, elle va plus où moins revivre au début du 2e tome, puis va revivre un traumatisme et finira morte assassinée par Klaus.

* Judith : Tante d'Elena, elle s'occupe beaucoup des deux soeurs. Elle est fiancée avec Robert, mais le quitte au début du tome 2. Ils se remettront ensemble a la fin. Elle aime beaucoup les deux enfants et les considèrent comme les siens. Cependant, elle s'entend mal avec Elena et n'approuve pas qu'elle sorte avec Stefan, préférant qu'elle côtoie Damon.

* Shinishi : Demon renard (kitsune) qui se nourri des souffrance des autres il apparait dans le tome 3, il manipule les malach et la foret. il a lui aussi succomber à la beauté d'Eléna.Il a créé le site Internet "Shi No Shi" qui veut dire "La mort des morts",seulement visible par les vampires.

* Misao : C'est la soeur jumelle de Shinishi, c'est aussi un Kitsune, elle pactise avec Caroline et grace à celle ci contamine les filles de la ville avec ses malachs en leur faisant faire ceux qu'elle veut.

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La bouche de Stefan avait rencontré celle d'Elena. Tout se déroula ensuite comme dans un rêve. Les questions, les peurs et les doutes de la jeune fille s'étaient envolés, laissant place à un sentiments qui s'élevait bien au-delà de la simple passion. C'était un amour véritable, si intense que tout son être en frissonnait. En d'autres circonstances, elle en aurait été effrayée. Mais Stefan lui ôtait toute appréhension. Elle avait une confiance absolue en lui tout à coup, goûtant enfin à la paix qu'elle avait désespéré d'atteindre. Car elle savait où se trouvait sa place dorénavant. Auprès de Stephan.

Il se redressa légèrement, et elle le sentit trembler.

- Oh, Elena, murmura-t-il. Nous ne pouvons pas...

- Trop tard..., répondit-elle en l'attirant.

L'osmose entre eux était si parfaite qu'ils se sentaient vibrer du même plaisir. Elena avait l'impression de percevoir très nettement les pensées de Stephan à travers son étreinte : il la serrait comme s'il voulait la protéger pour l'éternité, et unir sa vie à la sienne. La douceur voluptueuse de ses lèvres était presque insupportable. « Moi aussi, je veux être à toi pour toujours », pensa-t-elle. L'amour du jeune homme réchauffait toutes les zones d'ombre de son âme, et un incroyable bien-être l'avait envahie.

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Extrait ajouté par Lily70 2012-01-14T19:13:44+01:00

4 septembre

Je sens qu'il va se passer quelque chose d'horrible aujourd'hui.

Mais pourquoi est-ce que j'ai écrit ça ? Je n'ai aucune raison d'être inquiète, après tout... même si je viens de me réveiller avec une trouille affreuse... Il est 5 h 30 du matin. Je ne sais absolument pas d'où me vient cette peur... C'est sans doute le décalage horaire avec la France qui m'a complètement chamboulée. Mais pourquoi est-ce que je me sens si angoissée, et surtout, comme une étrangère ici ?

Ça a commencé avant-hier, en rentrant de l'aéroport avec tante Judith et Margaret. Je me sentais déjà toute bizarre, et quand la voiture s'est engagée dans notre rue, j'étais persuadée que papa et maman nous attendaient à la maison, qu'ils étaient sur le perron, ou dans le salon, à nous guetter. Je devais leur avoir tellement manqué !

Je sais, ça paraît dingue. Même après avoir découvert le perron désert, je restais convaincue qu'ils étaient là. J'ai couru à la porte et frappé jusqu'à ce que tante Judith l'ouvre. Je me suis précipitée dans l'entrée, puis je me suis arrêtée pour guetter le bruit des pas de maman dans l'escalier et la voix de papa depuis son bureau.

Tout ce que j'ai entendu, c'est le bruit sourd de la valise de tante Judith, derrière moi. « Enfin à la maison ! » a-t-elle soupiré. Margaret s'est mise à rire alors que moi, je ne m'étais jamais sentie aussi mal de toute ma vie. J'avais l'impression d'être une étrangère dans ma propre maison, et c'était horrible.

Désormais, l'expression « être à la maison » ne veut plus rien dire pour moi, et le pire, c'est que j'ignore pourquoi. C'est ici que je suis née, à Fell's Church, et j'ai toujours habité dans cette maison. Il y a encore, sur le plancher de ma chambre, les traces de brûlure du jour où Caroline et moi avons essayé de fumer, à dix ans, et nous sommes à moitié étouffées. De ma fenêtre, j'aperçois le grand cognassier dans lequel, il y a deux ans, Matt et ses copains ont grimpé pour nous espionner, mes copines et moi, quand nous dormions toutes dans ma chambre, le soir de mon anniversaire. C'est bien mon lit, mon fauteuil, ma coiffeuse et pourtant, tous ces objets qui devraient m'être familiers me sont étrangers. J'ai l'impression que je n'ai rien à faire ici. Le plus angoissant, c'est que je ne sais absolument pas où je pourrais me sentir à ma place.

J'étais trop crevée hier pour aller au lycée, même si c'était la rentrée. Meredith a appelé à la maison pour me donner mon emploi du temps, mais je n'avais envie de parler à personne. Tante Judith a expliqué à tous ceux qui ont téléphoné pour prendre de mes nouvelles que je dormais à cause du décalage horaire. Pendant le dîner, j'ai surpris son regard inquiet.

Aujourd'hui, il faut que j'aille au lycée : on doit tous se retrouver sur le parking avant les cours. Peut-être que c'est ce qui m'angoisse... Peut-être que ce sont les autres qui me font peur...

Elena Gilbert posa son stylo et relut la dernière ligne. Soudain, elle balaya son bureau du revers de la main : le petit carnet à couverture de velours bleu ainsi que le stylo allèrent heurter la fenêtre. Toute cette histoire était complètement ridicule. Depuis quand, elle, Elena Gilbert, avait-elle peur de rencontrer des gens ? Ou de quoi que ce soit, d'ailleurs ?

Elle se leva et passa fébrilement un kimono de soie rouge, sans même se regarder dans le miroir de sa jolie coiffeuse en merisier. Elle ne savait que trop ce qu'elle y verrait : la fille de terminale, blonde, mince, à la pointe de la mode, avec qui tous les garçons rêvaient de sortir et que toutes les lycéennes essayaient de copier... et dont le visage reflétait à cet instant une expression inhabituelle de malaise.

« Après un bon bain et un café, ça ira mieux », se dit-elle. Elle se trouva effectivement un peu calmée une fois sa toilette achevée. Elle prit même un certain plaisir à passer en revue les vêtements achetés à Paris. Son choix s'arrêta sur un haut rose et un short blanc cassé qui lui donnaient l'air d'un appétissant sundae à la fraise. Cette idée parvint à la faire sourire. Ses craintes semblaient définitivement envolées.

— Elena, qu'est-ce que tu fais ? Tu vas être en retard !

La voix, étouffée, montait de la cuisine. Elena brossa une dernière fois ses cheveux soyeux et les attacha avec un ruban rose. Puis elle attrapa son sac et descendit.

Dans la cuisine, sa sœur Margaret, âgée de quatre ans, mangeait des céréales, tandis que tante Judith faisait brûler une casserole. Celle-ci était toujours nerveuse. Elle avait un visage fin, des traits doux et des cheveux vaporeux souvent attachés à la va-vite. Elena lui colla un baiser sur la joue.

— Bonjour tout le monde ! Désolée, j'ai pas le temps de déjeuner.

— Mais, Elena, tu ne peux pas partir sans rien avaler...

— J'achèterai un beignet en route, répondit-elle en embrassant sa sœur.

— Mais enfin...

— Et j'irai sans doute chez Bonnie ou Meredith après les cours. Ne m'attendez pas pour dîner. Salut !

— Elena...

Elle avait déjà refermé la porte, sourde aux protestations de tante Judith.

Dehors, elle s'arrêta net. Le malaise du matin la submergeait de nouveau : elle avait la certitude que quelque chose de terrible était sur le point de se produire. La rue était déserte. Les grandes maisons bordant Maple Street avaient l'air étrangement vides, abandonnées. Le plus étrange était qu'en dépit du calme, Elena se sentait épiée. Quelque chose l'observait, elle en était sûre. Peut-être que cette impression lui venait simplement du ciel bas et de l'air étouffant...

Dans les branches du vieux cognassier, devant la maison, elle aperçut une forme. C'était un corbeau, posé tranquillement au milieu des feuilles jaunes. Il la regardait ! Elle tenta de se raisonner, de se dire que c'était ridicule. Pourtant, elle ne parvint pas à se débarrasser de cette idée. Elle n'en avait jamais vu de si gros. Il avait un plumage noir aux reflets irisés, des serres ainsi qu'un bec acérés, et un œil noir étincelant. Il était immobile au point qu'on aurait pu le croire empaillé. En l'examinant, Elena sentit le feu lui monter au visage : il l'observait, effectivement, d'un regard qui lui rappelait celui des garçons lorsqu'elle portait un maillot de bain ou un chemisier transparent...

Sans réfléchir, elle lâcha son sac et ramassa un caillou.

— Va-t'en de là ! dit-elle d'une voix que la colère faisait trembler. Fous le camp !

Elle lança son projectile. Des feuilles volèrent, mais le corbeau s'éleva dans les airs sans que la pierre l'ait atteint. Ses ailes immenses se déployèrent si bruyamment qu'on l'aurait cru accompagné de plusieurs oiseaux. Il passa juste au-dessus d'Elena, qui se baissa, paniquée. Ses cheveux blonds se soulevèrent sous l'effet du mouvement. L'oiseau prit de l'altitude et s'éloigna avec un croassement sinistre en direction de la forêt.

Se redressant avec précaution, Elena lança un coup d'œil à la ronde, gênée à l'idée que quelqu'un ait pu la voir. Tout semblait normal : elle se rendit compte à quel point son geste de défense avait été démesuré. Une petite brise vint agiter les feuilles, et elle respira de nouveau. Un peu plus loin dans la rue, une porte s'ouvrit et des enfants sortirent en riant. Elle leur sourit, inspira une nouvelle fois profondément. Un grand soulagement l'envahit. Pourquoi avait-elle réagi aussi bêtement ? C'était le début d'une belle journée, rien de désagréable ne pouvait survenir.

Elle avait simplement réussi à se mettre en retard au lycée, avec cette histoire ! Tout le monde lui demanderait pourquoi elle avait tant tardé. Elle leur dirait qu'un voyeur l'avait importunée et qu'elle s'était arrêtée pour lui lancer un caillou... Ça leur ferait un sujet de discussion ! Oubliant le volatile, elle s'éloigna d'un pas vif.

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Extrait ajouté par x-Key 2010-11-11T00:44:29+01:00

Elle se pencha au-dessus de lui et ferma les yeux. La bouche froide et desséchée de Stefan chercha contre sa gorge la morsure qu'il avait déjà faite. Lorsque ses canines s'enfonçèrent dans la chair de la jeune fille, elle s'efforça de ne pas tressaillir.

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Je me suis encore réveillée en pleine nuit, mais cette fois à cause d'un hurlement. Pourtant, après avoir tendu l'oreille, j'ai constaté que tout était calme dans la maison. Il s'est passé tellement de trucks bizarres ce soir que je dois être un peu sur les nerfs.

Au moins, un élément positif : la solution m'est venue d'un seul coup pour Stefan. Le plan B, phase 1, commence demain.

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Il n'avait plus la force de lutter contre la tentation du sang humain -l'élixir par excellence, ce vin interdit, plus enivrant que n'importe quel alcool, l'essence même de la vie.

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« La voie du mal permet parfois d'arriver à ses fins mais pas de trouver la paix. »

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Elena s'était levée. Elle était folle de joie à la pensée que cette atroce nuit s'était conclue de manière si merveilleuse.

-Alors, c'est pour ça que tu étais si distant avec moi! reprit-elle en lui tendant les mains. Tu avais peur de ce que tu pouvais me faire... Mais tu n'as plus rien à craindre, maintenant!

-Tu en est bien sûre? répondit Stefan, qui fixait avec méfiances les paumes tendues d'Elena. Tu penses que tu n'as plus aucune raison de me craindre? Peut-être que Damon a effectivement attaqué ces gens. Mais ça ne change rien au fait que je peux être dangereux, et que j'ai été tenté par de terribles pulsions. Même envers toi...

-Je suis sûre que tu n'as jamais voulu me faire de mal.

-Tu crois ça! Mais tu ignores qu'à la seule vue de ta gorge, j'ai envie plus d'une fois de me jeter sur toi devant tout le monde...

La façon dont il regardait son cou lui faisait tant penser à Damon qu'elle sentit les battements de son coeur s'accélérer.

-Tu sais, Stefan, tu n'as pas besoin de m'y forcer... J'ai bien réfléchi, et , en fin de compte, c'est ce que je veux.

-Tu ne sais pas de quoi tu parles..., dit-il d'un air bouleversé.

-Je crois que si... Tu m'as expliqué ce que tu as ressenti quand Katherine a bu ton sang. Je veux que tu fasses la même chose avec moi. Je ne te demande pas de me changer, tu sais... Je sais à quel point tu aimais Katherine. Mais elle n'est plus là. Moi, si. Et je t'aime Stefan. Je veux tout partager avec toi.

-Il n'en est pas question!

Il s'était levé, furieux qu'elle veuille courir un tel risque.

-personne ne sait de quoi je suis capable, lorsque ma passion se déchaîne... Peut-être que j'en arriverai à te transformer! Ou même, à te tuer! Tu n'as pas encore compris qui j'étais et jusqu'où je pouvais aller?

Le visage d'Elena était resté impassible, ce qui fit de nouveau enrager Stefan.

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