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Liste des extraits

- Je t'aime, murmura Stefan.

Elena, tout à l'ivresse de leur étreinte, mit quelques seconde à réaliser le sens de ses paroles. L'émotion lui serra la gorge. Il l'aimait ! Quelle joie d'entendre de sa bouche la déclaration qu'elle attendait depuis si longtemps !

- Moi aussi, je t'aime, répondit-elle.

Elle s'étonna de le voir aussitôt s'écarter d'elle pour porter les mains son col t en sortir sa chaîne. Un magnifique anneau d'or orné d'un lapis-lazulis y pendait. La bague de Katherine !

- Quand Katherine est morte, j'ai crue que je ne pourrais jamais aimer quelqu'un d'autre. Je sais pourtant que c'est ce qu'elle aurait voulu. Cet anneau, c'était le symbole de mon amour pour elle, continua-t-il d'une voix hésitante. Maintenant, j'aimerais qu'il prenne une autre signification. Vu la situation, je n'ai pas vraiment le droit de te demander ça, mais...

Stefan se méprit sur le silence d'Elena, restée sans voix. La lueur d'espoir s'éteignit dans ses yeux.

- Tu as raison, c'est impossible. Il y a bien d'autres obstacles... Quelqu'un comme moi ne peut pas te proposer de...

Stefan...

- … alors, fais comme si je n'avais rien dit.

- Stefan, regarde-moi !

Il leva lentement les yeux vers elle, et son désespoir s'évanouit en un instant. Elena tendait la main vers lui dans un geste qui lui ôta toute hésitation : il lui passa l'anneau au doigt. On aurait dit qu'il avait été fait pour elle.

- Il faudra garder ça pour nous un bout de temps, (...)

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- Bon, vous aurez peut être plus de chance avec la Renaissance (…) Pouvez-vous nous dire à quoi s'occupaient les gens de votre âge, à cette époque ?

L'élève déglutit péniblement et, avec un petit sourire gêné, répondit :

- Ils jouaient au foot ?

La classe entière éclata de rire, alors que le professeur prenait un air furieux.

- Taisez-vous, ordonna-t-il. Vous vous trouvez drôle ? Figurez-vous qu'en ce temps là, les élèves de votre âge parlaient couramment plusieurs langues. Ils maîtrisaient parfaitement la logique, les mathématiques, l'astronomie, la philosophie et la grammaire. Ils avaient tous le niveau pour entrer à l'université, où les cours se faisaient en latin. Le football était la dernière chose...

- Excusez-moi.

Tous les élèves se tournèrent vers la voix calme qui avait interrompu le professeur en pleine harangue.

- Pardon ?

- Excusez-moi, répéta Stefan en se levant après avoir ôté ses lunettes. Vous vous trompez. Pendant la Renaissance, les étudiants étaient vivement encouragés à pratiquer divers jeux, surtout les sports collectifs, car on leur apprenait qu'il fallait un esprit sain dans un corps sain. Ils jouaient ainsi beaucoup au cricket, au tennis... et même au football.

Il se tourna en souriant vers la petite rousse, qui lui retourna en regard reconnaissant, avant d'ajouter, à l'adresse du professeur :

- Mais le cœur de leur enseignement était consacré à la courtoisie et aux bonnes manières. Je suis sûr que c'est écrit dans votre manuel.

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- Bon, vous aurez peut être plus de chance avec la Renaissance (…) Pouvez-vous nous dire à quoi s'occupaient les gens de votre âge, à cette époque ?

L'élève déglutit péniblement et, avec un petit sourire gêné, répondit :

- Ils jouaient au foot ?

La classe entière éclata de rire, alors que le professeur prenait un air furieux.

- Taisez-vous, ordonna-t-il. Vous vous trouvez drôle ? Figurez-vous qu'en ce temps là, les élèves de votre âge parlaient couramment plusieurs langues. Ils maîtrisaient parfaitement la logique, les mathématiques, l'astronomie, la philosophie et la grammaire. Ils avaient tous le niveau pour entrer à l'université, où les cours se faisaient en latin. Le football était la dernière chose...

- Excusez-moi.

Tous les élèves se tournèrent vers la voix calme qui avait interrompu le professeur en pleine harangue.

- Pardon ?

- Excusez-moi, répéta Stefan en se levant après avoir ôté ses lunettes. Vous vous trompez. Pendant la Renaissance, les étudiants étaient vivement encouragés à pratiquer divers jeux, surtout les sports collectifs, car on leur apprenait qu'il fallait un esprit sain dans un corps sain. Ils jouaient ainsi beaucoup au cricket, au tennis... et même au football.

Il se tourna en souriant vers la petite rousse, qui lui retourna en regard reconnaissant, avant d'ajouter, à l'adresse du professeur :

- Mais le cœur de leur enseignement était consacré à la courtoisie et aux bonnes manières. Je suis sûr que c'est écrit dans votre manuel.

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Dès l’arrivée de Stefan Salvatore à Fell’s Church, Elena, la reine du lycée, se jure de le séduire. D’abord distant, le garçon aux allures d’ange rebelle finit par céder à sa passion dévorante… et à lui révéler son terrible secret. Quelques siècles plus tôt, la femme qu’il aimait l’a transformé en vampire, avant de le trahir avec son frère ennemi, Damon. Des événements tragiques se succèdent bientôt dans la région. Tout accuse Stefan mais Elena est convaincue de son innocence. Et si Damon, vampire cruel et assoiffé de sang, était derrière tout cela ? L’histoire est-elle amenée à se répéter ?

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page 116 à 118

-Je ne te déteste pas,répéta-t-il doucement.

-Reconnais-le au moins:depuis le début, tu m'évites comme la peste.J'ai pourtant essayé d'être sympas avec toi...C'est comme ça qu'un gentleman se conduit quand quelqu'un lui souhaite la bienvenue?

Il voulut l'interrompre, mais elle reprit de plus belle:

-À chaque fois, tu m'as ignorée devant tout le monde...Tu m'as humiliée devant mes amis...Et tu m'as adressé la parole ce soir uniquement par ce que j'était en danger de mort.Il fallait que je me fasse assassiner pour que tu daignes me parler,c'est ça? Même maintenant,je ne peux pas te frôler sans que tu fasses un bond en arrière...C'est quoi ton problème,à la fin?Qu'est-ce qui t'empêche de te confier ?Réponds-moi!Qu'est-ce que tu as?

Le visage de Dtefan était plus fermé que jamais.Elena inspire profondément,essayant de lutter contre les larmes qui lui montaient aux yeux.Elle ajouta d'un ton moins dur:

- Pourquoi tu ne m'adresses pas un regard alors que tu laisses Caroline te mener par le bout du nez?J'ai quand même le droit de comprendre ça,non?...Quand tu m'auras répondu, je te laisserai tranquille,promis.Si tu veux,je te parlerai plus.Alors pourquoi tu me détestes à ce point, Stefan?

Il leva les yeux .La souffrance qu'elle y lut la bouleversa.Son aveu était-il difficile?

-C'est vrai, tuas le droit de savoir,dit-il enfin d'une voix mal assurée,où perçait une vive émotion.Je ne te déteste pas...je ne t'ai jamais détesté...Mais,tu me rappelles...quelqu'un...

Elena était stupéfaite.Elle n'aurait jamais imaginé pareille réponce.

-Je te rappelle quelqu'un?

-Oui,quelqu'un que j'ai connu.Mais...en fait,tu ne lui ressembles que physiquement.Elle était vulnérable et fragile,ce que tu n'es pas.

-Ah bon?

-Toi,au contraire,tu es une battante.Tu es...unique.

Pendant un instant,elle chercha en vain une réplique.

Sa colère s'était évanouie devant la douleur de Stenfan.

-Tu était très proche d'elle?

-Oui.

-Et que s'est-il passé?

Le silence qui suivit fut si long qu'elle crut ne jamais recevoir de réponse.Enfin,il laissa échapper ces mots:

-Elle est morte.

Elena pensa aussitôt à la tombe de ses parents.

-Oh,je suis désolée...

Il resta muet,la même froideur imprimée sur le visage.Perdu dans la contemplation du vide,ses traits ne trahissaient pas seulement le chagrin: Elena y décela une insupportable culpabilité, qui lui fit oublier tous ses griefs.Elle s'approcha de lui.

-Stefan,murmura-t-elle.

Mais il ne semblait pas l'entendre.Sans y penser,elle lui posa une main sur le bras.

-Stefan,reprit-elle,je comprends ce que tu ressens,tu sais...

-Tu ne peux pas comprendre!

Sa colère avait éclaté avec violence terrible.

Baissant les yeux sur la main d'Elena, il découvrit que la jeune fille avait osé le toucher.Il la repoussa sans ménagement et ,à l'aide de son bras levé,il para même une nouvelle tentative d'approche.

Alors, sans comprendre comment la chose s'était produite,il se rendit compte, stupéfait,que leurs doigts s'était entrelacés...Sa main serrait maintenant celle d'Elena comme si sa vie en dépendait...

-Elena...,dit-il dans un murmure qui ressemblait à un cri de grace.

Elle vit une ombre d'angoisse passer dans son regard,comme si elle était un puissant adversaire contre lequel il renonçait à lutter.Vaincu,il approcha ses lèvres des siennes.

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Il regarda l’animal se hisser sur ses pattes et disparaître  dans les taillis en se disant qu’il avait absorbé suffisamment de  sang : la pointe  de ses canines était devenue hypersensible,  comme à chaque fois qu’il s’abreuvait longuement. Il était  toutefois de plus en plus difficile de savoir quand il devait  s’arrêter. Depuis le soir où il était entré dans l’église, il n’avait  qu’une peur, celle d’éprouver un malaise identique et d’en faire  subir les conséquences à quelqu’un d’autre...En réalité, il vivait surtout dans la hantise de se réveiller un  jour, le corps gracile d’Elena dans ses bras, sa gorge délicate  percée de deux petits trous rouges, et son cœur au repos pour  l’éternité

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Il s’était rapproché d’elle, si bien qu’elle distinguait ses yeux : ils étaient d’un noir sans fond où brillait une étrange lueur. Elena se rendit compte qu’elle était en train de le dévisager. Pourquoi la lumière ne revenait-elle pas ? Elle en avait assez d’attendre ! Tout ce qu’elle voulait, à présent, c’était sortir d’ici. Elle s’écarta de lui, mettant quelques sièges entre eux, et se mit à ranger les derniers dossiers dans le carton. Tant pis pour la déco 

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Le jour était en train de se lever. Il avait tant besoin d’aide !  Si seulement un de ses semblables pouvait lui donner le  remède à ses pulsions... Mais c’est en vain qu’il sonda le  cimetière à la recherche d’une âme secourable. Tout resta  silencieux. Lorsque Elena ouvrit les yeux, les rayons du soleil filtraient  à travers les rideaux de sa chambre : elle devina, d’après leur  inclinaison, qu’il était très tard. Elle avait l’impression d’être en  convalescence, ou bien le matin de Noël. Elle s’assit sur son lit,  et poussa un cri de douleur

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Pourtant non... Ils avaient dit que la fille allait s’en sortir.  Mais sa prochaine victime ? Il se rappelait juste l’extrême faiblesse qui l’avait envahi en même temps qu’une soif  irrésistible. Ses souvenirs s’arrêtaient après le clocher de  l’église qu’il avait franchi en titubant. Ensuite, rien... Lorsqu’il  était revenu à lui, il était dehors, l’appel au secours d’Elena  résonnant à ses oreilles : il s’était précipité sans plus réfléchir

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"Ce que tu veux c'est que tout le monde tourne autours d'Elena Gilbert [...] Tu convoites ce que tu n'as pas encore".

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