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Elena : -Je viens chercher mon Damon et Stefan ne fait que m'accompagner !

Bonnie fronça les sourcils mais ne dit rien .

Elena : -J'ai bien dit ce que je crois avoir dit là ?

Bonnie : - Oui !

Elena : Va chercher le médecin je crois que je suis encore malade !

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N'ayant plus de volonté, elle (Elena) savoura simplement cet élan de tendresse, de proximité, d'amour et d'attention, avec une intensité troublante.

Et quand Elena s'abandonnait, elle ne le faisait jamais à moitié. presque sans le vouloir, elle renversa la tête en arrière pour mettre sa gorge à nu, et ferma les yeux.

Avec douceur, Damon inclina son visage, la soutenant d'une main, et l'embrassa.

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_ Un jour, je reviendrais avec toi pour ces esclaves, dit-il. Tu le sais, n'est ce pas ?

_ Oui.

Le baiser qu'elle lui donna se prolongea. Elle n'avait pas trop compris ce qu'il avait raconté sur la suppression de la douleur, et elle estimait avoir au moins droit à un baiser étant donné ce qu'elle était sur le point de subir. Damon lui caressa les cheveux et le temps s'arrêta... jusqu'à ce que Meredith frappe à la porte.

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Un instant plus tard, lorsque la porte s'ouvrit sans bruit, le domestique découvrit un couple étroitement enlacé qui ne sembla même pas remarquer son intrusion ; Elena le sentit presque indigné. Il était tout à fait compréhensible qu'un couple d'invités ait envie de s'embrasser dans l'intimité des nombreuses salles ouvertes au public, mais cette section du palais était privée [...]

-Cette pièce est interdite au public, dit le domestique.

Damon se contenta de serrer Elena un peu plus contre lui. Il semblait determiné à donner le change. Mais au fond... avaient-ils vraiment fait semblant ?

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" Je sais qu'elle a perdu la boule, mais j'aimerai quand même connaître le nom de ce petit garçon à qui j'aurai fait du mal. Pourquoi ça la perturbe, d'ailleurs ?

D'autres voix qui bourdonnent, puis encore Damon :

- Mais pourquoi je ne pourrai pas lui poser la question ? Que je prouve au moins mon innocence !

Son ton monta d'un cran :

- Elena ? Qui est ce gosse que j'ai soi-disant torturé ?

Elle était vraiment à bout. Malgré tout, elle répondit à voix haute, lentement :

- C'est Damon, bien sûr.

Meredith poussa un soupir d'épuisement.

- Mon Dieu. Elle était prête à mourir pour une métaphore. "

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Damon la prit dans ses bras tandis qu'elle glissait les siens sous sa veste pour s'imprégner de sa chaleur et de son assurance. Elle ne fut pas surprise de sentir deux dents pointues transpercer sa gorge lorsqu'elle renversa la tête en arrière. Son adorable panthère était loin d'être parfaitement apprivoisée, et il lui faudrait encore apprendre quelques règles d'usage sur les rapport amoureux, telles que : avant de mordre, on embrasse.

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Elle avait conscience que cette promesse l'engageait à vie. "Ne t'inquiète pas, pensa-t-elle en s'apercevant qu'elle transmettait ses pensées à Damon depuis un certain temps. "Je sais ce que je fais. J'en prend la responsabilité."

"Tu es sûr de toi ? lui répondit-il avec une hésitation qui ne lui ressemblait pas. Parce que je t'assure que ce n'est pas moi qui m'occuperai de ta sorcière quand tu te seras lassée d'elle. Le meurtre de son tyran ne sera pas sans conséquences, et je ne suis même pas sûr de pouvoir les assumer"

Elena se tourna brusquement vers lui. Il était très sérieux.

"Mais pourquoi tu l'as tué, alors ?"

"Tu plaisantes ou quoi ?"

La violence de sa réponse causa un choc à Elena.

"Tu as vu le MAL qu'il t'a fait ? J'aurais dû le tuer à petit feu", ajouta-t-il, ignorant l'un des porteurs qui s'agenouillait devant lui. Ses yeux étaient rivés sur le visage d'Elena, où le sang continuer de couler. "Il figlio de cafone" fulmina-t-il en silence, les crocs bien visibles, en jetant un regard haineux au cadavre. (L)

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Je suis à toi pour toujours, disait-il. Chacun de tes rêves nous réunit.

Je serai à toi pour toujours, répondait Elena en silence, persuadée que sa réponse lui parviendrait. Même quand je ne rêve pas, je suis à tes côtés.

Je sais, mon ange. Je t'attends.

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[Début de la page 235 "Damon soigne les blessures d'Elena"]

En relevant timidement la tête, elle constata qu'il était penché sur elle et lui caressait, non,lui touchait les cheveux, si légerement qu'elle n'avaiit rien senti.

- Les vampires savent comment soigner les plaies.

Ses grands yeux noirs, ces yeux qui semblaient contenir des galaxies d'étoiles, la saisirent et ne la lâchèrent plus.

- On peut les nettoyer. Les rouvrir. . . ou les refermer.

[…]

- Montre-moi, murmura Elena.

Elle savait qu'elle n'était plus tout à fait elle-même, et que les mots qu'elle murmurait n'étaient plus tout à fait la siens. Des mots qu'elle n'aurait jamais prononcés si elles'était un seul instant considérée comme une véritable esclave.

Je suis à toi. . ., disait ce murmure.

C'est alors qu'elle sentit la bouche de Damon effleurer la sienne.

Oh, non, Damon. . .

Sa langue, douce comme de la soie, caressa doucement sa joue tandis qu'il nettoyait l'entaille et purifiait son sang pour arrêter le saignement eet refermer la plaie. Elle sentit son pouvoir, cette force mystérieuse dont il s'étaitt servi au cours d'un millier de combats pour infliger des blessures mortelles, qu''il contenait rigoureusement pour se concentrer sur cette tâche simple et sans attrait consistant à effacer une marque de fouet sur la joue d'une fille. Pour Elena, c'était comme lorsqu'il lui avait caressé le visage avec cette rose, quand ses pétales doux et frais avaient chassé la douleur jusqu'à ce qu'elle frissonne de plaisir.

Tout s'arrêta d'un coup. Elena savait qu'elle avait une fois bu trop de vin. Ce breuvage, plus fort qu'il n'y paraissait, lui était monté à la tête et l'avait un peu éméchée. Tout avait pris une dimension irréelle, onirique.

- Ca va cicatriser tout seul, maintenant.

Damon lui toucha encore les cheveux très doucement. Cette fois, elle utilisa une petite part de sa nouvelle force pour capter cette sensation et en savourer chaque instant. Et une fois de plus il l'embrassa d'un frôlement de lèvres.

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Alors, un des hommes du général a soulevé une sorte de noix de coco avec une très longue crinière sur le dessus, qui était tressée. Il la faisait osciller avec désinvolture ... et tout à coup j'ai compris ce que c'était réellement : la tête décapitée de ma mère."

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