Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 727
Membres
1 007 986

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Commentaires de livres faits par Ju_Books

Extraits de livres par Ju_Books

Commentaires de livres appréciés par Ju_Books

Extraits de livres appréciés par Ju_Books

date : 05-06-2023
— Oh allez fait pas la gueule Ivy. C’était une danse très... intéressante je te jure j’ai adoré.
Je suis appuyée de l’autre côté de la porte et je ferme les yeux en essayant de me dire que ce n’est pas vraiment arrivé, mais il continue de rire.
— Excuse-moi, mais je dormais tranquillement quand j’ai cru que tu te faisais agresser dans la salle de bain, mais en fait tu chantais !
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Hors de question que je partage ma couche avec qui que ce soit ! Comme on plante un drapeau, j'enfonce mon sac sur l'un des petits matelas.
Alix, le bohème, pénètre la pièce et fait de même sur le deuxième lit.
- On partage la chambre ? propose-t-il, l'air avenant.
- Si tu ne bouges pas, ne ronfle pas, ne parles pas pendant ton sommeil, n'es pas somnambule, ne chipotes pas sur ton téléphone dans le noir, ne respires pas trop fort, ne te lèves pas trop tôt le matin, ne te couches pas trop tard le soir, ne...
- Dégage, Alix, m'interrompt Ervin en investissant les lieux.
- Ah, non ! Toi, tu ne dors ici sous aucun prétexte !
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Fenella esquissa un sourire mystérieux.
- La mienne est la meilleure, dit-elle. Tenez, lisez vous-même.
Jane s'efforça de ne pas se laisser distraire par l'écriture nerveuse de Denford, plus facile à déchiffrer que son propriétaire.

"Très chère Fenella,
Ne pars pas seule faire de l'équitation. Ce serait une catastrophe si tu tombais et blessais ton cheval.
Bien à toi,
Denford."

- N'est-ce pas extraordinaire ? demanda Fenella, extatique.
Parfois, cette jeune personne était réellement une énigme, songea Jane.
- Comme le dit Shakespeare, déclara-t-elle, les plaisanteries les plus courtes sont les meilleures.
- Ma lettre est encore meilleure que meilleure, roucoula Laura. Il dit "Chère Laura, Obéis à tout ce que Mlle Grey t'ordonnera. Moi, je le fais toujours."
- Monsieur votre frère est fort aimable mais je peux vous assurer qu'il n'en fait qu'à sa tête.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
- Une fois de plus, vous feignez de vous méprendre sur mes paroles. Quand je vous ai dit hier soir que j'aimerais vous couvrir de cadeaux, j'étais sincère, et ce n'est pas parce que j'ai une dette envers vous. Je suis votre obligé, et ce n'est cependant qu'une goutte d'eau dans l'océan d'amour que j'éprouve pour vous.
Il s'immobilisa et lui prit les mains.
- Je vous aime, Jane. Je n'ai jamais su ce qu'était l'amour, mais je reconnais cette joie qui gonfle mon coeur, et la terreur qui s'empare de moi à l'idée que vous me quittiez. Bon sang, qu'il est difficile de parler de cela !
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
- Et alors ? L’avez-vous jamais … demanda Gregory en se penchant vers Phillip avec un air entendu.
- Gregory ! hurla Éloïse.
C’en était trop. Ses frères n’auraient jamais dû parler ainsi en sa présence, et s’il y avait bien une chose qu’elle ne souhaitait pas savoir, c’était si Sir Phillip avait culbuté une serveuse dont les seins étaient plus gros que des citrouilles.
- Elle est mariée. Et je l’étais aussi à l’époque, répondit Phillip.
- Il fera l’affaire, chuchota Anthony en se tournant vers sa soeur.
- Sache que je suis absolument ravie d’apprendre que tu décides de l’avenir de ta soeur adorée sur des bases aussi solides.
Avez vous apprécié cet extrait ? +5
- Vous laisserez-vous tenter par l’un de ces mets ? J’ai pris la liberté de demander à ce que l’on nous prépare un petit-déjeuner froid, lança Colin.
Phillip regarda le valet de pied : le pauvre homme semblait à deux doigts de s’effondrer sous le poids du plateau.
- Merci, c’est très aimable à vous, mais j’ai déjà déjeuné ce matin avant de quitter Romney Hall.
- Comment vas-tu ? demanda Anthony à sa soeur.
- Bien.
- Mais dis moi, te voilà bien enjouée, Éloïse.
- Rassure-toi, Anthony, si c’est le cas, tu n’y es pour rien.
- Tu as peut-être un peu faim ?
- Non.
Anthony se tourna vers Sir Phillip.
- Ne vous inquiétez pas, Phillip. D’ordinaire, Éloïse se montre beaucoup plus loquace.
Ce dernier se demandait si Éloïse allait gifler son frère, lorsque le valet de pied laissa soudain choir le plateau qui tomba sur la table avec fracas. Il fallait avouer qu’Hercule lui-même aurait eu du mal à transporter de quoi satisfaire l’appétit insatiable de Colin.
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
- Quelqu’un prendra-t-il un scone ? Non, personne ? s’enquit Colin, plus préoccupé par son estomac que par les épousailles de sa soeur. Tant mieux, car j’ai une faim de loup.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
Souvenez-vous que vous avez une mère et un père qui s’aiment tendrement et vous aiment tout autant.
Je sens que vous vous impatientez déjà. Votre père pousse d’étranges soupirs et il ne manquera pas de s’énerver si je n’abandonne pas mon écritoire pour le rejoindre sur sa couche.
Bienvenue en ce monde, ma petite. Nous sommes tous ravis de faire votre connaissance.
(Lettre d’Éloïse, Lady Crane, à sa fille Pénélope, le jour de sa naissance.)
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Son frère les rejoignit, prit la main de Callie et la porta à ses lèvres.
- Je vous cherchais, dit-il. Toutes les deux.
- Dites à votre soeur qu’elle est belle.
Ralston eut l’air surpris.
- Naturellement, qu’elle est belle ! Si elle était un tout petit peu plus grande, elle serait parfaite.
La plaisanterie fit rire Juliana. Elle était plus grande que la plupart des hommes à Londres.
- Gabriel, je suis sérieuse ! Elle est persuadée qu’elle ne peut pas trouver un mari.
- Pourquoi ? interrogea Ralston en fronçant les sourcils.
- Je ne sais pas ! Peut-être parce que vous êtes une famille d’entêtés ?
- C’est possible. Je ne pense pas non plus pouvoir trouver de mari.
- Parce que tu es trop grand, déclara Juliana.
- Sans doute.
- Oh vous êtes impossibles, tous les deux ! S’exclama Callie.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Se tournant vers eux, Callie déclara :
- C’est incroyable qu’avec une mère pareille vous soyez aussi normaux tous les deux.
- Je ne suis pas si normal que cela, princesse. Et Juliana non plus, je le crains.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
- Tu te rends compte que tu ne pourras pas y échapper, reprit Nick avec un sourire en coin.
- Échapper à quoi ?
- À ce qu’elle te fait ressentir.
- Et qui dit qu’elle me fait éprouver autre chose que de l’irritation ?
Nick s’esclaffa.
- Le fait que tu saches précisément de qui je parlais ! Tu découvriras que dans cette famille l’irritation est un précurseur à des sentiments autrement plus dangereux.
- J’ai déjà découvert beaucoup trop de choses sur votre famille, déclara Simon de son ton le plus hautain.
- Tu peux jouer au Duc Dédaigneux autant que tu veux, Leighton, cela ne fera pas la moindre différence.
Nick se leva, contourna son bureau et se dirigea vers la porte.
- Je suppose que c’est trop te demander de ne pas l’approcher ? lança-t-il depuis le seuil.
Oui. L’idée de rester loin de Juliana était incompréhensible. Cependant, il devrait le faire.
- Pas du tout.
Nick eut un petit ricanement éloquent.
- Tu ne me crois pas ?
- Non, Leighton, je ne te crois pas.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
- Vous m’avez dit un jour que vous me mettriez à genoux…
- Simon ! Amore… non, je vous en prie.
- Je suis là. Par amour, dit-il en lui en prenant les mains. Juliana, je vous en prie, devenez ma femme. Je passerai le reste de mes jours à vous prouver que je suis digne de vous. De votre amour.
Alors Juliana s’agenouilla à son tour et noua les bras autour de son cou.
- Oui, souffla-t-elle. Oui, Simon, oui. Je vous aime.
Ils demeurèrent de longues minutes ainsi, chuchotant des mots d’amour, échangeant des promesses, des caresses.
C’est ainsi que Ralston les découvrit.
Quand il ouvrit la porte de la bibliothèque, la lueur des chandelles se répandit dans le corridor, illuminant les amoureux.
- Vous avez intérêt à vous procurer d’urgence une dispense de bans, Leighton !
Simon se releva, le sourire aux lèvres.
- C’est déjà fait.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
- Impressionnant, lâcha Mal.
- Comment est-ce qu’il a fait ça ? demandais-je.
- Vous voulez connaître mon secret ? s'enquit Nikolai derrière nous.
Nous sursautâmes. Il se pencha vers nous, regarda à droite et à gauche, et chuchota :
- J’ai beaucoup d’argent.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
- C’est bon de te revoir, Oretsev.
Un sourire sincère se dessina sur le visage de Mal.
- Toi aussi. Merci de nous avoir sauvés.
- Chacun son hobby.
- Je croyais que le tien, c’était de te pomponner.
- Deux hobbies.
(Mal et Nikolai)
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
- Je devrais être vexé qu’il refuse de dîner avec nous ? demanda Nikolai. Mes repas sont toujours copieux et je ne bave que très rarement.
Avez vous apprécié cet extrait ? -1
Il m’embrassa de nouveau et, cette fois, il ne s’arrêta pas, jusqu’à ce que mes joues deviennent pivoine et que mon coeur batte à cent à l’heure, jusqu’à ce que j’oublie mon propre nom et celui de tous nos camarades, jusqu’à ce que j’entende de nouveau Harshaw chanter, Tolya grommeler et Zoya promettre sur un ton enjoué de tous nous assassiner.
Avez vous apprécié cet extrait ? -1
- Vous avez des enfants ? me demanda-t-elle.
- Non.
- Louise, vous auriez de la lotion hydro alcoolique, s'il vous plaît ? intervint Francis.
En fait si, j'avais un gosse. Âgé d'une trentaine d'années, avec une tendance à régresser à l'adolescence et au charisme inversement proportionnel à celui d'un bigorneau.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
- Dans votre réflexion sur le mariage, vous avez fait la liste des pour et des contre à mon sujet, n’est-ce-pas ?
Il hocha la tête.
- Puis-je connaître les contre ?
- Excentrique, championne de billard. À force de gagner, risque de provoquer des ulcères chez son époux.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
- Nous sommes de nouveau amis malgré mon comportement inqualifiable ? s’enquit Jeremy.
- Si vos méchantes humeurs vous reprennent, vous êtes prié de les garder pour vous.
Il cala le menton sur la tête de Betsy.
- Il vous avait touché.
Sa voix ne laissait transparaître aucun regret.
- Que ferez-vous si je l’épouse ? voulut-elle savoir.
- J’irai m’installer en Italie, j’imagine. Ou en Russie. C’est encore plus loin.
Il ne donnait pas l’impression de plaisanter et ses bras se resserrèrent autour d’elle avec possessivité. Betsy en ressentit une joie si intense qu’elle se blottit davantage contre lui.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
- Ai-je un rival ? voulut savoir le vicomte. Sinon, avec votre permission, je souhaiterais tenter de vous faire changer d’avis.
Pour l’heure, les invités sauraient qu’elle s’était éclipsée en compagnie d’un futur duc. Lord Greywick était la droiture incarnée. Jamais il ne s’isolerait avec une jeune fille sans avoir eu au préalable la permission de lui demander sa main.
Les gens s’étonneraient qu’elle l’ait éconduit, mais ne mettraient pas ce fait en doute.
Une bataille rondement menée. Affaire classée.
Comme sortie d’outre-tombe, une voix grave, un peu rocailleuse, lança :
- Pourquoi tant de manière ? Dites-lui donc oui.
Betsy retint de justesse un juron qui en aurait choqué plus d’un, à commencer par le vicomte.
- Pour l’amour du ciel, j’aurais dû deviner que vous vous cacheriez ici ! s’exclama-t-elle en s’écartant de Greywick qui lui bloquait la vue.
La plaie de son existence l’observait avec sa nonchalance coutumière depuis le recoin où il semblait avoir élu domicile.
- Je ne me cache nullement, se récria Jeremy Roden qui réussit à paraitre à moitié sobre et, plus surprenant encore, presque convaincant.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Bien entendu, après avoir pris congé, Betsy se rua dans la salle de billard.
- Je n’y crois pas ! s’écria-t-elle en s’immobilisant sur le seuil. Quel vermisseau misogyne vous êtes, Jeremy ! Comment osez-vous jouer avec lord Greywick alors que vous avez si souvent refusé de m’affronter ?
- Thaddeus, la reprit le vicomte. Pas de lord Greywick entre nous, du moins en privé. Et sachez que moi, je ne vous refuserai jamais une partie.
[…]
- J’aime autant me faire appeler lord Jeremy, déclara ce dernier, narquois, plutôt que d’être taxé de vermisseau misogyne.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Betsy allait poursuivre, quand elle fut interrompue par une exclamation à l’étage.
- Louisa, espèce de rate !
- Ma mère, dit Thaddeus.
- Elle vient de traiter tante Knowe de rate, souffla Betsy, sidérée.
Il lui sourit avec, dans les yeux, un pétillement très attirant.
- Si je suis une rate, vous êtes un loir ! riposta lady Knowe de sa voix de stentor. Plus vous vieillissez, plus votre truffe frétille, Emily.
- Une rate cruelle ! insista la duchesse.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Elle n’allait quand même pas oser confier son projet farfelu à Thaddeus, et encore moins à sa mère…
Si, elle allait oser.
- Je prévois d’assister à la vente déguisée en garçon et d’acheter une oeuvre d’art, déclara-t-elle en regardant la duchesse droit dans les yeux. J’aurais aussi aimé jouer au billard dans un club interdit aux femmes, mais lord Jeremy me l’a déconseillé.
Un silence de plomb s’abattit dans la voiture.
- Jouer au billard déguisée en garçon, précisa Betsy.
Pourquoi planter un seul clou dans son cercueil quand deux feraient davantage l’affaire ?
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
- Vous ressemblez à une oie farcie, prête pour Noël !
- Plutôt à un oeuf d’oie, pouffa Betsy. Ou alors un gros coussin rebondi !
- Personne ne risque de vous prendre pour une femme, assura Winnie;
- C’est l’heure du départ ! cria lady Knowe depuis le rez-de-chaussée.
- Heureusement que nous sommes les seuls clients de l’auberge, dit Betsy.
- Votre déguisement fait parfaitement illusion, la rassura sa femme de chambre. Évitez juste de vous pencher, car l’oeuf pourrait se craqueler.
Betsy hocha la tête, grisée par un parfum d’aventure. Elle prit un malin plaisir à descendre les marches d’un pas pesant. Rien à voir avec le claquements distingués de ses bottines ou de ses escarpins.
Le couloir de l’entrée était bondé. Elle repéra la duchesse, qui lui fit penser à un maire de village rondouillard. Le père de Jeremy paraissait contenir sa joie à grand-peine. Et tante Knowe ressemblait trait pour trait à son frère, le duc.
Quant à Jeremy…
Il la regarda comme si elle seule comptait.
- Ah ! Voici le gentleman que nous attendions tous ! S’exclama lady Knowe. Je me demandais si tu ferais un garçon séduisant. J’ai ma réponse !
Betsy s’avança vers elle.
- Et ?
- Tu ressembles à un navet, la taquina sa tante.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Betsy battit des cils.
- Alors, prêt à accompagner un navet en promenade, lord Jeremy ? minauda-t-elle.
- C’est une de mes ambitions les plus chères, répondit-il, sérieux comme un pape. Lady Knowe, je crois qu’avant toute chose, une réunion au salon serait la bienvenue.
- Pourquoi donc ? s’étonna celle-ci.
- Une leçon de virilité s’impose, dit-il avec un regard appuyé sur la mère de Thaddeus. Pour commencer, la duchesse est désormais un duc, vous ne devriez donc pas, me semble-t-il, vous promener bras dessus, bras dessous, n’est-ce-pas, Lord Knowe ?
- Dieu du ciel ! glapit la duchesse.
- Fort bien, céda lady Knowe d’un ton grincheux. Donnez-nous votre petite leçon. Quelle difficulté peut-il y avoir à être un homme ?
- Un gentleman, rectifia Jeremy avec malice. Une grande difficulté. Immense, même.
Lady Knowe arracha son chapeau et lui en flanqua un coup. Jeremy rit comme un gamin et se réfugia dans le salon.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
- Vous êtes le navet le plus érotique que j’ai jamais vu !
En guise de réponse, elle éclata de rire.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0


Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode