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Commentaires de livres faits par Justanotherbookishperson

Extraits de livres par Justanotherbookishperson

Commentaires de livres appréciés par Justanotherbookishperson

Extraits de livres appréciés par Justanotherbookishperson

Le poivrot de l'histoire 165 m'a saoulé tout de long (pun intended) - un homme aigri qui devient bon à la minute où quelqu'un croit en lui (ok...) mais en attendant ce dénouement, il utilise une sorte de potion qui anime les objets et les rend assez agressifs.
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Mais apparemment, il est gentil depuis le début puisqu'il fait ça, pour créer un symbole de fraternité envers tous les pays en faisant s'emboîter des ponts les uns sur les autres jusqu'aux nuages... Gosh, que c'est cul-cul !
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date : 02-03
Dommage qu'il n'y avait que le point de vue de l'héroïne, car il était d'un ennui... C'est bourré de clichés digne d'une fanfiction de seconde catégorie : l'héroïne qui emménage à NY et quitte son chez soi à cause d'une tragédie, son entourage : un frère qui est soi-disant proche et dont on ne voit l'ombre qu'une ou deux fois, une nouvelle amie libraire - la seule et l'unique qui ne sert que de dévidoir à émotions et à l'amener vers le monde extérieur !, la soirée qui finit en blackout, mais où elle rencontre Anderson, oui, oui, le patron pour lequel elle rêve de travailler, le jour de l'entretien où "elle n'est pas comme les autres filles" qui sont grandes, blondes et coiffées... Beuh... cliiiiché, clichéééé, et CLI-CHE ! (et re-cliché lourd et sexiste). La seule chose qui faisait sens pour moi, était Becky, la maladie neurodégénérative dont souffre Emma, qui est un moteur pour elle. Y'en a d'autres encore de clichés
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le pote mec super soutien avec humour fun et beaucoup de sous-entendus sexuels, le mec bien sur soi mais qui ne l'intéresse pas, le bad boy narquois avec un sourire de merde, la tension sexuelle qu'on ne comprend pas, le triangle amoureux...[/spoiler] L'auteure a essayé d'amener des twists là-dedans [spoiler]mais vraiment mauvais car pas crédible pour deux sous ! Sa pote libraire, en fait, c'est la sœur des deux autres et elle devient une méchante pourrie qui veut faire mal à son frère en le faisant tomber amoureux d'Emma[/spoiler] On a tendance à l'oublier mais il y a aussi des vampiiiires - et oui, il tue, et zéro dilemme moral par rapport aux femmes qu'il a tuées. Sexisme bonjour ! C'est ok, c'était après tout d'autres femmes, de grandes belles blondes vous savez, notre héroïne pas comme les autres, elle ne risque rien ! Après toutes ces critiques, je dois dire que je suis contente d'avoir été jusqu'à la fin. Qui faisait sens, elle se voulait [spoiler]tragique, moi je l'ai trouvée bien méritée.
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Une lecture de quelques hauts et beaucoup de bas – une lecture yoyo, quoi. Il m’a bien fallu les 100 premières pages pour enfin m’intéresser à l’intrigue et comprendre où ce bouquin voulait nous faire aller, mais vraiment, il y avait beaucoup de digressions longues (les discussions entre Sakti et Muna, le périple à Malacca…) et qui n’amènent pas grand-chose dans ce monde qu’on comprend à peine (mind you, rien n’indiquait dans mon édition que c’était un deuxième tome… peut-être le monde était-il mieux planté et décrit dans le premier, mais ce tome peut être lu de manière autonome, donc, la faute à l’auteure qui n’a pas vraiment – même maintenant que je tourne la dernière page – réussi à rendre son monde attrayant). Par contre, une fois que cela se met en place, que l’on voit Muna tant bien que mal réussir sans magie à l’école tout en continuant à essayer de retrouver sa sœur, cela commence à prendre. L’intrigue avance et devient confuse, jusqu’à être hasardeuse – on dirait que les événements n’ont rien d’organiques, ils arrivent parce qu’il faut bien faire avancer l’histoire. Avant la moitié du livre, on comprend ce qu’il en retourne, le twist est évident. Eh bien, malgré que ce soit écrit noir sur blanc, que notre protagoniste a toutes les infos en main, nope, il lui faudra encore une centaine de pages pour réaliser l’évidence. Le début est lent et ennuyeux, le milieu nous rend impatient et un peu confus dans l’engrenage des événements, mais alors la fin est juste mauvaise… Qu’ai-je le plus détesté ? Le fait que notre héroïne ne se confie pas à tous les gens qui auraient pu l’aider plus rapidement (des personnes plus capables et plus au courant des faits qu’elle – et qui ont l’air plus intéressants : j’ai appris par après que le tome 1 était justement sur le couple Wythe – mais je ne sais pas si j’oserais jamais le lire) ? Le fait qu’elle décide de jeter un sort qu’elle sait dangereux
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car elle pense convoquer la Reine des Fées qui veut sa mort[/spoiler] et qui accepte dans un même temps une invitation à un bal ? Elle ne voit pas ce qui peut déraper, là, non ? [spoiler]La même Reine des Fées qui dévorent ses ennemis et qui déteste justement tous les anglais… Elle l’invoque en plein milieu d’un bal pour l’avènement en société de la petite sœur de son amie…[/spoiler] Je ne sais pas si c’est de la stupidité ou de l’indifférence à ce point-là. Mais ce n’est pas le seul moment qu’elle agit comme la petite égoïste stupide qu’elle est, cette amie, elle l’a met carrément en danger [spoiler]de se faire dévorer par la Reine bien plus tôt, en aidant un dragon à les kidnapper. Elle l'a pousse presque à de l'autosacrifice.[/spoiler] Tout ça pour arriver jusqu’au palais, où elle pense qu’est sa sœur… à quoi bon, t’y retrouver si c’est pour mourir dans la minute de ton arrivée… ? Mais bien évidemment, notre protagoniste en tant que telle est immunisée de tout réel danger.
Le pire arrive de manière très étrange et inattendue. J’aime bien habituellement les romances quand elles sont amenées naturellement et que ce n'est pas le centre de l’histoire. Mais dans ce livre, la romance [spoiler]lesbienne[/spoiler] est forcée comme jamais : [spoiler]Muna rencontre à l’école Henrietta, gentille et jolie professeure de magie. Il y a un rapport de force inégal, même si elles ont presque le même âge. On nous dit également qu’Henrietta est amoureuse de Mr. Wythe, amour impossible puisque sa meilleure amie Prunella est mariée à celui-ci. Au fil de leur aventure (où Muna sans beaucoup de considération met Henrietta en danger, c'est l'amie dont je parlais plus haut), une amitié se crée, mais il y a toujours l’idée que Muna est protégée par sa professeure. Mais dans les 30 dernières pages, de petits indices bizarres émergent, alors que rien ne laissait présager de l’intérêt auparavant… et on veut nous faire croire qu’elles s’aiment mutuellement depuis le début… Erk ! Elles avaient une relation professeure-étudiante !
Très peu pour moi.
Je crois que je suis encore plus déçue parce qu’il y a vraiment eu un moment où l’histoire commençait à me plaire, mais ce fut assez bref et puis frustrant. J’ai encore deux griefs contre ce livre : l’écriture rigide sans âme pour imiter un phrasé de régence anglaise et la comparaison non cachée avec Jane Austen en quatrième de couverture – as if… "Jane Austen rencontre Tolkien", disent-ils : laissez-moi rire. Ce n’est pas en reprenant l’époque anglaise sous la Régence et quelques personnages de fantasy que cela en fait quelque chose de comparable ou de potable… Ces deux auteurs ne se réduisent pas à si peu. Je suis tombée dans le panneau, mais on ne m’y reprendra plus.
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Petit livre, poétique et absurde, sur un libraire un peu spécial dont les livres sont les compagnons quotidiens. Je ne peux pas dire que j’ai adoré, mais c’était une petite lecture pas antipathique non plus.
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Livre vraiment pas casse-tête d'une centaine de pages où j'ai retrouvé des lectures déjà faites, mais j'ai aussi pu découvrir d'autres auteurs avec un angle : "la lecture". Avoir des extraits ainsi, me donne envie d'aller lire le livre en entier... celui qui m'a rendu la plus curieuse est Index de Camille Laurens.
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Bien aimé ma lecture dont je dois avouer que les 6 premiers Césars me sont mieux restés en tête que les derniers... la façon dont s'y prend Suétone est assez moderne : à chaque César, on est centré sur lui, il est le personnage principal et tout le reste, n'est que secondaire - ça se lit comme un roman plutôt que de l'histoire. Donc, ne pas s'attendre à des passages longs sur Cléopâtre ou sur Brutus par exemple... Par contre, il essaie de dire tout ce qui dit de mémorable sur eux : le bon comme le mauvais. Et on ne se rend pas compte à quel point les mesquineries dites sur Jules César ou Auguste sont bénignes, excepté quand on en arrive à Tibère, puis Caligula... et tout le reste, jusqu'à Vespasien qui change la donne. Comme le positif est présenté en premier, je me disais : "oh ben ça va, pourquoi j'avais une aussi mauvaise idée de Caligula, j'ai dû lire des exagérations,..." et puis Suétone, posément : "je vous ai parlé du prince, maintenant, je vais vous présenter le monstre"... Et ok, c'est le cas : 10 chapitres entiers sur ses cruautés... J'ai bien aimé le fait qu'il essaie de rapporter des dires, des mimiques, des traits de personnalité et physique - tout joue à donner une meilleure idée de qui ils étaient.
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Benjamin vient en aide au loup, qui me fichait un peu la trouille quand j'étais petite - mais j'avais pitié du loup aussi à la fin ^^
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Je me souviens de manière très détaillée de cet album : le patchwork sur le lit, le gâteau au chocolat... Adorable.
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Gag classique du pêcheur avec une vieille bottine et amitié de Benjamin avec un petit poisson. Vraiment mignon. Me rappelle des souvenirs.
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Le grand-père apprend à Martine tout ce qu'il y a à faire autour d'un vélo : le nettoyer, le regonfler, et bien sûr rouler avec ! Mais plus calmement que ses débuts, et alors, elle apprend un petit peu le code de la route. De belles vues de villages.
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Album qui me rend nostalgique d'une époque que je n'ai pas réellement connue, mais très beau comme d'habitude.
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date : 29-02
Livre d'éveil autour des couleurs, vraiment bien foutu : les couleurs de la nature, dans l'histoire, dans d'autres cultures, dans les livres... Ce n'est absolument pas un livre où à chaque page, il y a une couleur avec des éléments dans celle-ci. Nope. Il y a des explications sur les significations des couleurs, leur fabrication, etc.
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Histoire mignonette qui aide les enfants à ne pas se décourager au premier obstacle, mais aussi à réfléchir à un plan B.
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date : 29-02
J'adorais le style de celui-ci comme pour "Galopin le lapin" surtout les fleurs et la nature, qui m'obnubilaient^^ dont la moralité me plait bien toujours maintenant.
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date : 29-02
Petite leçon sur le fait d'aider son prochain, même sans rien en retour. La moralité de l'histoire est un peu plus sèche, car elle ajoute "Ne refuse pas d'aider un ami, tu risques d'avoir besoin de lui.". Pas ma préférée, même enfant.
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date : 29-02
Marrant comme certains albums marquent plus que d'autre. Celui-ci, petite, j'était bluffé par le style. Surtout par les maisons des animaux qui étaient anthropomorphisées comme celles d'humain, mais avec en prime des petites touches qui renvoyaient à l'animal qu'elle hébergeait.
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Un petit album tout mignon qui apprend la méfiance et la confiance aux enfants, mais aussi un brin de discrimination.
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On est dépaysé : l'histoire débute le jour de la fêtes des morts en Indonésie - malgré ça, elle est très classique dans son déroulement. Une BD ok, mais sans plus.
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BD sous forme de course-poursuite, pas trop mal. Lorsque le professeur Barabas a un accident de voiture, un dossier top-secret Aruba tombe entre ses mains et tout démarre de là.
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J'ai été agréablement surprise où vers la moitié du livre de voir apparaître, ma petite Marple que j'adore - je savais qu'elle était dedans, puisque je lisais cette série exprès pour ce challenge. Mais j'étais sincèrement déjà si prise dans l'intrigue, que ça m'est sorti de la tête. L'enquêteur n'était pas un enquiquineur, et sa façon d'être très directe, me plaisait, mais rien à faire une fois que Marple apparaît, c'est comme si ça décuplait le plaisir que j'avais à le lire. J'ai dû voir la résolution de l'énigme dans une série TV de la BBC, mais honnêtement, je ne m'en souvenais pas - et j'ai adoré voir qui était le coupable (je l'ai deviné pour une fois) - et j'en étais très heureuse, car le personnage m'irritait particulièrement.
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Plus court que le précédent, avec une Marple bien plus présente, ce qui ne gâche rien, car elle sait se faire discrète et oublier le long des pages. Cette fois-ci le meurtre s'est passé il y a 18 ans, et nos enquêteurs amateurs s'y prennent comme ils peuvent... heureusement guidés par Miss Marple. Je me souvenais du coupable, par contre cette fois-ci de cette même série BBC (sans être 100% sûre) - elle m'avait frappée certainement parce que l'histoire aurait pu m'être plus personnel
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ce n'est pas le cas pour moi : mais des membres de la famille contrôleurs et sectaires, qui n'en connait pas ?
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Peu de choses à ajouter par rapport au précédent, car je pense que c'est la suite directe d'Associés contre le crime - un de mes moments préférés est lorsqu'elle s'auto-parodie, quand ils incarnent Poirot - j'aurais beaucoup aimé qu'elle fasse aussi la parodie de cette chère Miss Marple ;)
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Très vite lu, et apprécié tout autant. C'est une suite de petites nouvelles, où à chaque chapitre, nos héros parodient un détective de roman policier. Jeunes, ils ouvrent une agence de détective. Pour une raison bien particulière - et c'est le fil rouge de l'histoire, mais qui est assez léger.
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Pour ce dernier tome qui clôt la série Souvenirs d’enfance, je ne peux m’empêcher de regretter que l’auteur n’était plus là pour recomposer l’ensemble de ses textes. Bien sûr, la plupart était dans leur forme définitive, mais on ne saura jamais à quel point le dernier polissage de l’auteur aurait pu les rendre encore meilleurs. Car il faut avouer que cela manque parfois d’un rien de contexte ou de liens – comme l’épisode des Pestiférés qui malgré le très beau récit, m’a juste fait dire : « c’est tout ? Et la suite ? ». Je suis tout de même très reconnaissante d’une suite au troisième tome, ne serait-ce que pour le dernier récit sur les vacances aux Bellons, où le père a droit à une nouvelle gloire à une partie de boules. L’école qu’il nous raconte me semble terrible mais ingénieuse, alors que les vacances dans ses chères collines, un endroit rêvé.
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J’ai beaucoup aimé cette suite, qui fait un peu moins rêvé, mais renvoie vraiment à des sentiments puissants : les premiers jeux sentimentaux et ses émois, les premières classes de secondaires : ses nouvelles règles, les cours, les récrés. Cela me rend nostalgique et je crois que cela touche tout le monde, même si ce n’est pas de la même manière, car beaucoup de choses ont changé et/ou que la culture est différente.
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J'ai beaucoup apprécié ce tome avec sa narration plus complexe. On retrouve Gerald des débuts, puisque chronologiquement le livre pourrait se situer bien plus tôt dans le récit de la série. Je ne le savais pas quand j'ai commencé la série, alors je l'ai lu plutôt vers la fin... mais ça ne m'a pas gâché mon plaisir, au contraire, je crois avoir mieux compris le clin d'œil avec Nimue. Bref, l'intrigue part dans tous les sens, certains n'apprécient pas, perso, je trouve ça plus réaliste, dans la vie, c'est rare que ton premier problème s'achève avant que le deuxième arrive pour que tu puisses le gérer à son tour, donc, voir Gerald s'en sortir aussi difficilement aussi, rassure un peu. Et là, l'adage "une merde n'arrive jamais seule" prend tout son sens : il n'arrive pas à protéger totalement une famille contre un monstre un peu spécial
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avec une plaque d'identification,[/spoiler] arrivé dans une ville pour manger, il se fait arrêter sous un motif obscur, puis relâché tout aussi soudainement, pendant ce laps de temps, on lui vole ses épées, une magicienne rousse le contacte pour d'autres magiciens qui ont besoin d'un sorceleur, et la prison est la pression mise sur lui pour qu'il soit obligé d'accepter - ce qu'il fait, et c'est un imbroglio de politique et de puissance magique qui débute [spoiler]l'hypocrisie des magiciens est répugnante - on aurait envie de tous les massacrer sans distinction : ce sont eux les constructeurs de monstres - et parmi eux, se cachent un tueur pur et dur, ils savent qui c'est et décident de ne pas s'en occuper pour remettre la faute sur Gerald si ça dérape,[/spoiler] entre temps, il traque toujours la piste de son voleur, jusqu'à une autre ville où a lieu d'autres fumisteries politiques [spoiler]pour un coup d'état[/spoiler] - il s'engage à y revenir une fois les épées retrouvées - en chemin, vers l'autre ville, où ses épées seraient [spoiler]vendues aux enchères,[/spoiler] il est "engagé" par un équipage poursuivi par une [spoiler]Aguera, femme-renarde à qui l'enfant a été enlevée
etc. On est fort ballotté - et j'ai fort aimé, mais chacune des histoires arrivent à une conclusion, pas toujours convaincante, mais je suis habituée au style d'Andrzej Sapkowski, nous sommes rarement satisfaits, car la justice triomphante, très peu pour lui...
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