Commentaires de livres faits par justinelab13
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p.439
--Lila, page 261
--Lila
Page 346
page 323
p.164
Vous découvrirez que certaines amitiés doivent être oubliées, et que d'autres valent la peine de prendre des risques.
J'ai appris à l'aimer, cette piaule.
page 152
Page 539
Page 365
Page 306
Page 281
pencha pour caresser la tête chaude, les longues oreilles et le museau effilé du chien, mais la question persistait dans ses yeux.
Mais le chien attendait toujours.
[Zila, page 512]
Ça ne suffit toujours pas. Jamais je ne la vaincrai.
Je ne suis pas certaine de dormir, mais je suis sûre de rêver.
- Tu sais, réplique-t-il en s'accrochant à moi, cette petite phrase est censée rassurer. Mais, dans la bouche des mortels, ça ne veut pas dire la même chose que dans celle du Peuple. Pour vous, c'est comme une incantation. L'espoir mêlé à la magie. Tu dis que ça va aller parce que tu redoutes le contraire, justement.
-Sûrement pas...
-Hild... Il y a beaucoup de colère dans ton cœur. La colère obscurcit les yeux et les oreilles. Il n'y a pas que la montagne, tu ne verras plus rien du monde. Les bêtes ont de la chance : qu'elles dévorent ou soient dévorées... Elles n'éprouvent ni colère ni ressentiment. Libère-toi de ta colère, Hild ! Tu n'en as pas besoin dans la montagne.
Pages 132-133
Mais oublier, ne serait-ce qu'une seconde, c'est impossible.
Il y a de l'amertume dans mon ton mais pas dans mon cœur. Je veux réellement connaître la réponse à cette question.
Elle reste muette pendant un long moment. Ce n'est que quand j'ai perdu tout espoir d'obtenir une explication qu'elle parle d'une voix basse, apaisée -si peu semblable à l'Artemisia que j'ai appris à connaître, bravache, arrogante.
-Parce que c'est ainsi que l'eau fait son travail, Theo. Le fleuve coule et pousse la pierre, même s'il sait qu'il ne pourra pas la bouger. Mais ce n'est pas grave. Le fleuve continue à couler; il a tout son temps. Le roc le plus solide finit toujours par céder sous l'effet du courant. Ca peut prendre le temps d'une vie, parfois même plus, mais le fleuve n'abandonne jamais.
- Vas-y !
J'aimais tant le voir de cette humeur-là.
- Je vais être le premier.
Il prit ma paume dans la sienne, puis continua.
- Jure-le !
- Pourquoi moi ?
- Parce que c'est à cause de toi. Jure-le !
-Je le jure ! répondis-je, hypnotisé par ses joues cramoisies et la flamme qui dansait dans son regard.
-Je le jure! répéta-t-il tel un écho. ''
Pages 137-138