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Commentaires de livres faits par Kairosplaton

Extraits de livres par Kairosplaton

Commentaires de livres appréciés par Kairosplaton

Extraits de livres appréciés par Kairosplaton

J'étais prêt à la jeter par-dessus mon épaule et la ramener dans mes appartements à proximité du palais. Et puis elle m'avait fait des propositions. A nous deux. Une Terrienne célibataire pleine d'audace avait demandé à Sambor et moi de la faire jouir.
Comme si cela coulait de source. Puis, elle nous avait entraînés dans sa chambre en tirant sur des chaînes invisibles, comme si nous étions des femmes Trion soumises. Nous lui avions prouvé des heures durant que nous étions loin d'être des femmes, nous avions exactement ce qu'il fallait pour la satisfaire. Inlassablement.
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« Je vous ai proposé un siège par politesse, ma chère, mais vous pouvez rester debout si vous préférez. » La voix d'Astra était suave. Presque agréable. Mensongère.
« Je sais. Merci. » Je savais que ses paroles n'étaient elles aussi que pur mensonge. Elle se fichait de sa politesse. Elle se montrait docile, pour l'instant. De l'hypocrisie réciproque
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– Notre petit Alpha est déjà en train de tester les limites de son père. (Je tapotai le nez de mon petit en lui souriant.) Bonne chance, petit loup.
En réponse, il essaya de me mordre le doigt en poussant un autre grognement.
– Tu es si protecteur envers ta mère, m’amusai-je, fier de lui. Tu feras un très bon Alpha un jour.
– Et je vais être envahie de testostérone, marmonna Katriana.
– On peut toujours essayer d’avoir une fille la prochaine fois, proposai-je.
– N’y pense même pas, rétorqua-t-elle en me pointant du doigt. Je ne suis pas du tout prête pour ça. Et tu me dois au moins un an d’orgasmes avant ça
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— Elle a causé sa perte, me dit-elle. À Gatsby. Un néant de décrépitude morale. Une enveloppe vide uniquement intéressée par le matérialisme et le statut social.
— Scarlett.
Parfois, ses énigmes sont charmantes. Mais dans des moments comme celui-ci, elles m’agacent atrocement.
— Tu devrais lire le livre.
Sur ce, elle s’écarte. Elle ne le fait pas pour elle, mais pour moi.
Avant que je puisse la contredire, elle est partie.
Comme toujours.
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- Comment va Smithy ? je lui demande.
Il cille, comme si ma question était ridicule. Je parle sa langue ou quoi ? Je suis bien certaine que oui.
Puis un sourire illumine son beau visage, étirant ses lèvres comme un croissant de lune, et je comprends – avec une bonne dose de mélancolie – que je suis amoureuse de la bête cruelle qu’est mon mari. Que pour un autre de ces sourires rayonnants, je serais prête à en découdre avec mon père, à abattre des dragons et à lui tendre ma fierté sur un plateau. C’est déprimant à admettre, y compris à moi-même, mais je suis bel et bien sous sa coupe.
– C’est la première question que tu poses après avoir été prise en chasse et poussée dans un fossé par des mafieux ? Comment se porte le domestique ?
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Mona. Joli prénom. Je m'appelle Colton...
Il avait vu son nom sur son badge, et s'était adressé à elle avec un accent du Sud, mais il s'interrompit en sentant une main d'homme sur son épaule.
— Est-ce que tu racontes encore des bobards, fiston? lui
demanda Elias, l'air amusé.
Xavier se raidit et se retourna à moitié sur son siège pour regarder l'Alpha debout derrière lui.
— Ne m'appelle pas « fiston », lâcha-t-il en lui décochant un regard assassin.
- Tu n'arrêtes pas de faire des bêtises. Mais ce n'est pas grave. Papa se fera un plaisir de te donner une fessée, lui chuchota-t-il à l'oreille.
Xavier le dévisagea comme s'il était fou.
—Tu es défoncé, là, non? Cela expliquerait beaucoup de choses.
Elias gloussa, serra l'épaule de Xavier, fit un petit clin d'œil discret à Wynter et s'éloigna en compagnie de membres de sa meute.
— Est-ce que je peux le buter maintenant? demanda-t-il
—Il essaie juste de te faire sortir de tes gonds. Tu n'as qu’à arrêter de réagir.
Hattie se tapota le menton.
—Je me demande s'il se sert d'une règle pour taper sur Les fesses... Vous pensez qu'il aime vraiment jouer au papa dominateur? Il n'a pourtant pas l'air du genre à apprécier les jeux de rôle.
— Qu'est-ce que tu sais de ces jeux? demanda Delilah.
—J'ai beaucoup lu sur la question, répondit Hattie. Je trouve ce mode de vie fascinant. Je comprends qu'on puisse avoir envie d'y participer.
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« — N’essaie pas de prendre le mauvais rôle, m’arrêta-t-il. J’aurais pu te résister. Tous les alcooliques apprennent à refuser le verre qu’on leur offre.
— Mais j’ai insisté, lui rappelai-je. Je t’ai même… piégé.
Un sourire étira ses lèvres.
— J’ai aimé ce piège, avoua-t-il tout bas.
La tension monta dans sa voiture et il s’empressa de retrouver un ton plus enthousiaste :
— Et puis, on dira que je l’ai mérité. Après tout, j’ai déjà fait de ta vie un enfer.
La gorge nouée, je chuchotai :
— Ce n’était pas une vengeance.
— Je sais, et on va surmonter tout ça. Vois un peu comment tu te remets de ton deuil, depuis quelques semaines. Ça ne peut pas être plus difficile que ça ! »
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« Havana se surprit à sourire malgré elle.
— D’accord. À tout de suite.
— Ouais, fit-il en raccrochant.
— C’était Tate, je suppose, dit Aspen. Tes traits ne s’adoucissent que lorsque tu lui parles.
Havana fronça les sourcils.
— Mes traits ne s’adoucissent jamais, voyons ! Et, oui, c’était Tate. Il m’a demandé de vous inviter toutes les deux chez lui ce soir. Avec Camden. Sa famille veut célébrer le fait qu’on se soit trouvés. On va commander des plats chinois. Mon mec me connaît bien !
— Je viens, lança Bailey.
— Moi aussi, dit Aspen en sortant son téléphone. Je fais un SMS à Camden pour voir s’il est libre.
— D’accord. Tate termine le boulot et passe me prendre. Juste comme ça. »
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« — On le retrouvera, lâcha Leah. On le retrouvera et on fera payer ses ravisseurs.
Finn croisa son regard, son loup dans les yeux.
— Bordel, ouais. On ne prend pas ce qui nous appartient, putain.
— On va devoir suivre cette piste, intervint Bram, avant de se tourner vers Leah. Comment est ton lien d’union ?
Leah secoua la tête.
— Je ne sais pas comment m’en servir, mais je finirai bien par le découvrir.
Parce qu’il le fallait. On avait enlevé son compagnon, son Ryder. Et hors de question qu’elle reste sans rien faire. Elle le retrouverait comme il l’avait déjà retrouvée une fois avant. Ils étaient destinés à être ensemble pour l’éternité, et qu’elle soit damnée si elle laissait cette éternité se terminer là.
Elle le retrouverait.
Il le fallait. »
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Constance avait repéré deux ou trois proies potentielles - restait à vérifier s’ils n’étaient pas venus accompagnés - quand son regard glissa de
nouveau vers le coin VIP et son cœur manqua un battement. Ils étaient là, tous les trois, accoudés à une table-bar, une pinte dans la main, les yeux rivés sur elle. Depuis combien de temps étaient-ils arrivés ? Depuis combien de temps l’avaient-ils repérée ? Pétrifiée et hypnotisée Constance déglutit sans réussir à détacher ses yeux d’eux. Elle savait ce qu’ils désiraient et ils savaient qu’elle le savait. La soirée allait prendre une tournure très intéressante à n’en pas douter. Elle releva légèrement le menton en guise de provocation, prolongea son regard avec chacun d’eux durant plusieurs secondes. Elle se surprit à songer qu’elle aimerait bien que Gabriel soit celui du milieu. Il avait une expression impénétrable et une épaisse chevelure faussement décoiffée dans laquelle elle aimerait bien mettre un peu le chantier. C’était celui qui l’observait avec le plus d’effronterie, elle ressentait un besoin viscéral de se confronter à lui. Elle détourna les yeux avec un dédain feint, le cœur affolé.
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« — Mon Dieu, gémit-elle.
Il arrêta sa succion et releva la tête.
— Tu es très croyante, décidément. Tu veux qu’on se marie à l’église ? Ça te gênerait moins pour le sexe ensuite ?
Elle éclata de rire.
— Mais non. Enfin, je ne suis pas très croyante, je veux dire.
— Mais tu dis toujours « mon Dieu » quand je te touche.
— C’est parce que ça me plaît, c’est tout.
— Je préférerais que tu dises mon nom.
— J’essaierai de m’en souvenir, mais quand tu me touches comme ça, j’ai un peu de mal à réfléchir.
Il sourit, lui montrant ses canines.
— Je comprends. (Il se redressa et recula un peu.) Tu permets que j’ôte ce qui te reste ? »
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date : 29-05-2021
Il venait deux fois par semaine, réglé comme une montre. Il commandait une vodka, assistait au spectacle, exigeait une danse privée, qu’il payait horriblement cher pour avoir la primeur de ma soirée. S’asseyait sur la banquette, l’allure décontract, dans son costume élégant, le regard brûlant. Tout pour paraître chic et riche, l’air de rien, m’en envoyer plein les yeux. Ses cheveux étaient désormais plus longs sur le dessus, courts sur les côtés. Ses mèches étaient souvent rebelles, je rêvais d’y passer la main, de les agripper. Parfois, je le faisais.
Toujours une bouteille de champagne sur la table avec laquelle il aimait s’amuser. D’une voix basse et sensuelle, il me demandait de danser pour lui. Je m’exécutais. J’adorais ça, je ne pouvais pas me mentir, pas plus que le duper. Sentir son regard courir sur ma peau à mesure que mon corps ondulait, c’était comme un repas offert à un affamé. La scène aurait dû me paraître aberrante ou humiliante, parce qu’il payait pour ça, mais Luka effaçait cette pensée d’un geste, d’un demi-sourire en coin. Il se comportait comme si j’étais à lui dans cette pièce. L’argent ne franchissait pas le seuil de cette porte.
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«  Bien sûr que j y crois, rien n est le fruit du hasard. Si quelqu un doit entrer dans ta vie à un moment donné c est forcément qu il a un rôle à jouer. Le destin est déjà écrit Haittie et il est joueur, très joueur
À cela elle se relève et me fait signe qu il est temps de partir.
Et ensemble nous prenons la route du bar, notre refuge personnel, celui qui apaise nos cœurs, panse nos maux et soigne nos âmes.
Nous entrons dans le bar plongé dans le silence, l une derrière l autre.
Je pose mes affaires, puis soudain j ai envie de quelque chose de plus.
Je prends mon téléphone et j envoie un SMS à papa, l invitant à nous rejoindre ce soir.
Dottie ? Ça ne te dérange pas si papa vient jouer avec nous ce soir ?
Pas le moins du monde. Ça tombe bien j ai aussi invité de la viande fraîche de mon côté »
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« Il la regarda s éloigner à la nage avant de se tourner vers les petits léopards qui se sautaient dessus l un après l autre, d humeur joueuse. Il se dirigea alors vers la pierre plate sur laquelle il s allongeait souvent pour profiter du soleil. Il faisait toujours aussi chaud et humide, mais les fines gouttelettes que projetait la cascade le rafraîchissaient. Son regard se posa sur la peau claire de Rachael, qui se détachait dans le bleu de l eau.
Rachael se mit debout sous la cascade et laissa l eau lui couler sur le visage. Elle repoussa sa lourde chevelure avec un sourire rayonnant, ravie d être en vie. L eau était d un bleu magnifique et, haut dans les arbres, la brume blanchâtre qui enveloppait la canopée ressemblait à des nuages cotonneux. Le crépuscule tombait peu à peu, un ciel d un gris doux où voletaient les chauves-souris à la recherche d insectes. Elle se tourna vers Rio, allongé non loin de là sur une large pierre, ses yeux verts rivés sur elle.
 J adore cet endroit, Rio. Tu viens souvent ? »
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« Tout bien considéré, Shelly avait l’impression de plutôt bien s’en sortir. Elle était là, assise dans une voiture avec l’homme le plus beau qu’il lui ait jamais été donné de rencontrer. Et, mis à part le fait qu’elle avait manqué de le tuer avec un sac à dos, avant de se mettre la honte avec au moins quatre commentaires embarrassants en l’espace de cinq minutes, elle donnait l’impression d’être quelqu’un de normal ! Il n’y a pas de petites victoires, n’est-ce pas ? Et, bon sang, il était si gentil, si poli, si arrangeant. Elle avait eu raison quand elle avait parié sur son côté vieux jeu dans sa façon de s’exprimer au téléphone. Il était très classe – un peu « ancien monde », et pourtant il avait un charme particulier, indémodable. L’esprit chevaleresque, voilà ce que c’était. Pas le genre de singeries, où les hommes vous tenaient la porte ouverte, et attendaient qu’on leur en soit reconnaissante, mais quelque chose de plus réel, de plus pur. Quelque chose qui lui donnait l’impression d’être en sécurité, et protégée auprès de lui ; elle avait rarement ressenti ça auprès des hommes, même les plus proches d’elle. »
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« Harvey n'aimait pas ça. Il n'aimait pas l'idée que la rencontre avec une femme au hasard puisse lui chambouler l'esprit, et lui faire avoir des hallucinations. Et d'abord, qui était-elle ? Une étrangère. Il l'oublierait bientôt – elle était comme n'importe laquelle des vacancières qui venaient en Californie du nord pour les vacances, avant de disparaître. Mais alors qu'il conduisait, il se prit à regretter de n'en avoir pas appris plus à son sujet. Découvrir où elle vivait, peut-être récupérer son numéro de téléphone, la revoir un jour quand ni l'un ni l'autre n'aurait à se préoccuper de ses courses…
Harvey fronça les sourcils sur la longue route du retour, incapable de repousser toutes ces pensées au sujet de Lori qui ne cessaient d'encombrer son esprit habituellement apaisé. Qu'est-ce qui l'avait frappé si fort chez cette femme ?
Et que pouvait-il faire pour que cela cesse ? »
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« — Je ne suis pas normale, Sloane. Moi non plus je ne suis pas entière, c’est certain. Tu as dit toi-même que j’étais plus que mes cicatrices et pourtant tu ne penses pas que c’est le cas pour toi ? Les cicatrices ne sont pas simplement ce qu’on voit sur sa peau, ce n’est pas seulement ce qu’on voit quand on se regarde dans le miroir. Je sais que je les ai en moi, dans mon cœur, dans mon âme. Je sais que tu en as aussi. Et ça ne me dérange pas. J’aime l’homme qui est en face de moi, avec ses balafres et le reste. Tu ne peux pas l’aimer aussi ? »
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—Nyko, je le réprimande en rougissant, Sarah et Dax nous entendent.
—Hier soir t’as pas mangé grand-chose.
Quand je t’ai fait l’amour, tes seins étaient ultra sensibles. Un peu douloureux, je dirais.
Le bébé a le hoquet, je me tourne et vois le couple qui me sourit, ils se regardent, regardent le bébé.
— On doit vraiment parler de ça en public ?
— Je voulais pas leur ouvrir », rétorque Nyko.
Dax se lève, donne la main à sa femme et la prend dans ses bras. Le bébé paraît minuscule à côté de lui.
— On vous laisse fêter ça tranquillement. Venez nous voir demain. Dîner à dix-huit heures. On ne débarquera plus à l’improviste.
Nyko se lève et serre la main de son ami seigneur de guerre.
— Pas demain. La semaine prochaine.
— Nyko ! Je proteste, mais Sarah rigole en donnant la main à son mari.
— On se verra à l’extérieur. 
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— Gideon, dit Kade en contournant Jasper, la main tendue.
Gideon la prit, et ne grimaça même pas quand Kade lui serra la sienne. Ils avaient tous deux dépassé le stade des jeux de pouvoir, mais ce jour-là était différent.
— Kade.
Il porta le regard derrière l’Alpha des Redwood sur le reste des Jamenson qui occupaient le cercle.
Et ils étaient nombreux.
Il semblait bien que chaque tante, oncle et cousin ait fait le déplacement. Même Gina et Quinn étaient venus avec leur fils, Jesse, qui avait à présent une vingtaine d’années. Il s’en voulait d’arracher Brie à sa famille, mais c’était le jeu qu’ils avaient reçu.
Il déglutit bruyamment puis se tourna pour s’avancer vers Brie et ses parents.
— C’est sacrément rapide, Alpha, grogna Jasper.
— Jasper, chuchota Willow avant de serrer le bras de son compagnon. Gideon, bienvenue au sein de notre famille, dit-elle d’une voix forte. On va te laisser tranquille, mais après la cérémonie on adorerait apprendre à mieux te connaître.
Gideon déglutit bruyamment et se tint droit pendant que Willow lui tapotait le bras avant de s’éloigner en tirant son compagnon.
— Si tu fais du mal à ma petite fille chérie, je te tuerai
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« La planète entière peut déjà voir tes photos Facebook, répondit franchement Elena. Ma puce, tes paramètres de confidentialité sont pourris. Rien qu’avoir un profil Facebook, c’est un cauchemar pour la vie privée, alors si c’est ce qui t’inquiète… tu enfonces une porte ouverte, tu sais ?
Jasmine soupira. À la vérité, elle avait eu plusieurs expériences désagréables avec des gens qui regardaient ses photos sur Facebook… la plupart du temps pour se montrer méchants au sujet de sa taille.
— Je suppose que je devrais régler ce truc ? Changer mes paramètres, enlever certaines photos…
– Oh, c’est bien trop tard pour ça, répondit Elena. Si ça peut te rassurer, niveau vie privée, le site de mariage par correspondance est bien plus sécurisé que Facebook. Il n’y a que quelques centaines d’utilisateurs, et pas des millions et des millions…
– Quelques centaines ? Jasmine était sous le choc.
– Vraiment ? Jamais je n’aurais pensé qu’il y aurait autant de…
– Il y a plein de gens bizarres, tu sais, répondit Elena en s’installant plus confortablement dans le canapé. Attention, je ne dis pas que le gars qui t’a choisie est un type bizarre ! J’ai vu son profil quand je parcourais le site.
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Ce n'est pas une bonne journée", dit Adeline, ses yeux sont encore gonflés et rouges à cause des pleurs. “Tu veux que je te couvre ce soir ?" Janine demanda. Adeline secoua la tête.
Elle se pencha contre son amie alors que Janine l'entourait de ses bras. “Est-ce à cause d’un gars ?" Demanda Janine.
” Je suppose", dit Adeline. “J'ai l'impression que tu ne peux faire confiance à personne, tu sais ?”
“Qui, comme Luke ?”
Adeline hocha la tête. Janine grimaça. "Luke avait l'air d'être un mec super”, a dit Janine. ” Il l'était", dit Adeline en lui essuyant les yeux. “Mais je pense qu'il est préférable que je me concentre sur moi juste un peu.”
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- L'équipe de Casey aurait marqué plus tôt si l'une des joueuses n'avait pas été bien injustement renvoyée sur le banc de touche, grogna Roni. L'arbitre était vraiment très mauvais.
- Injustement ? répéta Marcus. Mais la joueuse en question a cogné la tête de la goal contre un poteau de la cage à quatre reprises ! Tout en criant « Garce » le plus fort possible. Et pourquoi ? Parce qu'elle avait empêcher le ballon d'entrer dans la cage, ce qui est son rôle, après tout !
Roni haussa les épaules.
- Peut-être, dit elle. Mais ce n'est pas comme si la goal avait perdu connaissance. Elle a juste saigner 5 minutes.
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( Casey qui parle à Eli )
- Est que tu a pratiqué le cannibalisme ?
Eli eut un mouvement violent de la tête.
- Quoi ? lâcha-t- il
- Est que tu a baisé avec des animaux ?
- Non.
- Est que tu es tombé dans une folie meurtrière à la Ted Bundy ?
- Non
- Est que tu as pillé un village et violé toutes les femmes comme la réincarnation d'un vikings ?
Eli la dévisagea, bouche bée.
- De quoi parle tu ?
- Comme toute les filles, j'ai parfois besoin d'être rassurée.
Il ouvrit la bouche mais la referma aussitôt.
- Je ne sais vraiment pas quoi te dire.
- C'est simple. Tu n'a qu'à me dire que le dîner est bientôt prêt. Je meurs de faim.
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