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On raconte, dans les livres que j'ai lus, que les femmes d'autrefois s'étaient battues pour acquérir leur liberté. Elles l'avaient fait avec hargne et détermination jusqu'à devenir presque les égales des hommes.

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- Est- ce que je suis le roi ? Non ! Mais tu as raison, mon statut ne changerait rien. Quand je le saurais, j’agirai de la même façon. Parce que lorsqu’il s’agit de toi, il n’y a plus de devoirs, plus de royaume, plus de couronne. Lorsqu’il s’agit de toi, je ne manque de déclencher des guerres, je me moque d’être ami par mon peuple, je me moque de tout. Tu es la seule qui compte ! »

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J'avais un royaume à défendre, mais plus un coeur à préserver. Désormais, la protéger elle, c'est me sauver moi.

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Le parfait ne l’est pas toujours, tout dépend de la façon dont on l’observe.

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Je hais tellement le destin de se foutre de moi avec autant d’ironie. Comment se pouvait-il que la femme à qui je pensais pour supporter ma haine soit la même que celle qui l'alimentait ? Pourquoi fallait-il que celle qui soignait intérieurement mes plaies soit aussi la personne qui symbolisait à mes yeux ceux qui me les ont infligées ?

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Je déteste celle que je deviens. À son contact, je découvre des sentiments que je préférerais ignorer. Je ne suis pas de ceux qui détestent, mais je crois que Lapisia grignote chaque jour celle que j’étais à mon arrivée. Chaque lever de soleil me révèle une facette du monde que je préférerais ignorer. Parce que chacune d’elles me transforme en quelqu’un que je ne veux pas être.

Je muselle mon amertume et la garde dans un coin de mon cœur. Le jour où il comprendra, je la laisserai s’exprimer et, à ce moment-là, c’est moi qui rejetterai ses mots et qui refuserai de croire ses excuses.

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- J'étais désespéré, m'avoue-t-il. Je veux que tu restes celle que tu es : déterminée, optimiste, rebelle. Tu me l'as dit toi-même, Lapisia finira par te tuer.

Je regrette tellement ces mots que je ressentais pourtant lorsque je les ai prononcés.

- Me séparer de toi me tuera plus vite.

Il secoue la tête et j'ai peur qu'il ne me force à partir. Je sens bien qu'il tente de lutter contre mon besoin de rester, mais je refuse qu'il me rejette. Pas encore.

- J'ai fait mon choix Karel. C'est ce que tu me proposais, non ? De choisir. Alors, ne va pas à l'encontre de ma décision.

— Si tu restes, ce soir, jamais je ne te laisserai partir, tu le sais ? C'est ta seule opportunité.

J'opine du chef. Je l'ai bien compris. Le temps se fige et les émotions contenues dans son regard me percutent de plein fouet, décuplant les miennes.

- Je n'abandonnerai jamais, conclut-il.

À ses mots, j'amorce un pas vers lui et il me rejoint. Nos corps s'entrechoquent tandis que nos bouches se percutent.

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Je pensais qu'être à ses côtés sauverait mon cœur, mais je crois que c'était plutôt mon âme. Je ne veux plus de cette vengeance aveugle. Désormais, ce qui compte, c'est de sacrifier mon cœur pour sauver le sien de la trahison.

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- Je t'aime, Shaadi. Ce n'est pas toujours criant parce que j'ai toujours du mal à mettre des mots sur ce que je ressens, mais je t'aime. C'est pour ça que je te laisse partir. Parce malgré l'amour que je te porte, je ne peux pas promettre de parvenir à te protéger, ni même de ne pas te blesser à nouveau. Je peux juste essayer...

Elle ne répond rien, mais ne détourne pas le regard. Elle écoute attentivement chacun de mes mots.

- Quand je t'ai retrouvée, la rage m'a consumé et je sais qu'elle le fera encore. À chaque acte qui te fera souffrir, elle deviendra plus puissante. Je suis désolé, mais je suis comme ça. J'aime. Sans aucune limite.

Je lui remets la cape, qu'elle saisit du bout des doigts et ses yeux s'humidifient, même si elle tente de me le cacher. Ma main saisit sa nuque et je l'attire à moi. Ma gorge se noue aux mots que je vais prononcer parce que je sais qu'ils seront les derniers.

— Je suis désolé de ne pas avoir été à la hauteur. De ne pas avoir pu t'épargner toutes ces souffrances. Tu as besoin de quelqu'un qui réussisse et qui ne se contente pas d'essayer.

Je dépose un baiser sur son front et m'arrache à elle avant de la supplier à genoux de ne pas m'abandonner. Ma détermination est bien trop faible. Je suis tiraillé entre la sauver elle ou me préserver, moi. Mais à bien y réfléchir, je n'aurais été qu'en sursis. Ce que mon père et moi prévoyons est bien trop cruel, cela la tuera certainement et je ne crois pas que j'y survivrais. Quand je referme la porte, la douleur est telle que, pour la première fois, les larmes inondent mes yeux.

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- Tu n'aurais pas dû, finit-elle par m'achever. Un roi ne peut pas...

— Qui a parlé de roi? grondé-je de plus belle en me relevant.

La colère qui s'était assourdie prend de plus en plus d'ampleur. Je n'en peux plus qu'elle me reproche mes actes, quoi que je fasse.

— Est-ce que je suis roi ? Non ! Mais tu as raison, mon statut n'y changerait rien. Quand je le serai, j'agirai de la même façon. Parce que lorsqu'il s'agit de toi, il n'y a plus de devoir, plus de royaume, plus de couronne. Quand il s'agit de toi, je me moque de déclencher des guerres, je me moque d'être hai par mon peuple, je me moque de tout. Parce que tu es la seule qui compte. C'est ce que tu voulais, non? Que je t'aime ? C'est ce que je fais, princesse ! m'exclamé-je, fou de rage. Je t'avais dit que je ne savais pas le faire, mais tu insistais pour que je te retourne tes sentiments. Voilà ce que c'est que d'être aimée par un monstre ! Tu voulais des mots, je t'offre des actes !

Elle recule d'un pas, puis se détourne. Lorsque je comprends qu'elle s'éloigne de moi pour se réfugier dans la salle de bains, je la rejoins. Avant qu'elle ait pu refermer la porte, mon pied vient la bloquer.

- Pars ! rugit-elle.

— Non ! Ce n'est pas ce que tu voulais qu'on fasse, l'autre jour ? Qu'on règle nos différends ? Alors c'est ce qu'on va faire. Recule-toi ou je te jure que je fracasse cette porte.

L'instant d'après, le poids qui la maintenait close s'allège et je peux entrer dans la salle de bains. Je referme derrière moi. Ici, pas d'échappatoire. On pourra discuter, elle qui apprécie tant le faire.

- Quoi ? Maintenant, mes sentiments ne te conviennent pas? Vois la puissance de mon amour pour toi, Kalliopée ! m'époumoné-je, enragé. Regarde ce que tu me fais faire ! Tu es satisfaite ?

Puis, le silence nous écrase et seul mon souffle se fait entendre. Mon corps entier est tendu. N'est-ce pas ce qu'elle réclamait de moi ? Que je l'aime? Bien qu'elle ne me parvienne pas je devine aux mouvements de sa poitrine que sa respiration s'est raccourcie. Elle déglutit, tentant sans doute de ravaler ses émotions. Pourtant, son regard laisse transparaître la douleur que mes mots provoquent.

— Eh oui ! Voilà ce que tu fais de moi. Je suis déraisonnable quand il s'agit de toi. Je voudrais égorger toute personne qui te regarde de travers ou t'insulte. Je voudrais broyer les os de quiconque te blesse. Alors, ne me reproche pas de n'en avoir épargné aucun.

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