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Liste des extraits

- C'est ce que j'aime chez toi, Ta Majesté des Fourrures. Ton humilité et ta modestie.

- N'oublie pas mon esprit acéré et ma beauté virile.

- Virile ?

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Une main glissa le long de mon dos.

— Hey, dit Curan.

— Salut.

Je m’appuyai contre lui. Il posa sa main autour de moi.

— Tout le monde se marie, constata-t-il.

Hmm.

— On devrait se marier aussi.

Dans ma tête, je voyais mon père sur la colline verdoyante, s’éloignant avec notre enfant dans ses bras. J’entourai mon bras autour de son dos, espérant que sa force le chasse.

— Je pensais qu’on s’était mis d’accord. Tu m’as demandé, j’ai dit oui, tout va bien.

— Oui, mais, c’était théorique. Fixons une date. Une vraie date.

— Comme quoi ?

— Je ne sais pas. Que dirais-tu du six juin ?

— La nuit d’Ivan Kupala ? La nuit où tout est devenu fou dans le folklore des prêtres slaves ?

— Le dernier jour de l’Été du Loup-garou.

Curran me sourit.

Chaque première semaine de juin, la Meute célébrait l’Été du Loup-garou. Ils mangeaient, buvaient, célébraient la vie, et généralement passaient un bon moment.

— Je suis sérieux. Épouse-moi, Kate.

— Aucun pasteur ne nous mariera.

— On n’a pas besoin de pasteur. On demandera à Roman d’officier.

— Tu ne peux pas être sérieux, Ta Majesté des Fourrures.

Curran se leva de sa chaise et s’agenouilla. Oh, mon Dieu.

— Épouse-moi.

— Qu’est-ce que tu fais ?

Je serrai les dents. Mon visage était si chaud que le gâteau de mariage se trouvant à cinq mètres de là devait fondre.

— Je fais ma demande en mariage officielle. La première fois n’a pas marché.

Que quelqu’un me tue.

— Curran ! Lève-toi. Les gens nous observent.

— Laisse-les regarder. (Il me sourit.) Épouse-moi, Kate.

— D’accord. Va pour la dernière nuit de l’Été du Loup-Garou.

Il se leva, se pencha vers moi, et effleura mes lèvres d’un baiser. Je lui rendis son baiser et entendis ses applaudissements. Les mariés avaient cessé de danser et Eduardo applaudissait. Quelqu’un d’autre tapa dans ses mains sur la gauche. Andrea. Va te faire foutre aussi.

Je souris et leur fis un petit signe.

— Je suis furieuse contre toi pour l’instant.

— Ne sois pas furieuse. Tiens, je vais t’apporter plus de thé.

Il rit, prit mon verre et se dirigea vers la table pour le remplir.

On allait se marier. On allait avoir un enfant. Je l’aimerais plus que tout au monde, puis mon père allait m’enlever mon bébé.

Non. Ça n’arrivera pas. Je devais trouer un moyen de le battre. Mais qu’est-ce que j’allais faire ? Comment tuer ce qu’on ne peut pas tuer ?

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— As-tu vu le facteur quand tu faisais tes rondes hier ? demandai-je.

Le visage de Curran devint sagement impassible.

— Oui.

— As-tu fait quelque chose pour l’effrayer ?

— J’étais parfaitement amical.

— Hmm.

Je t’en prie, continue avec ta belle histoire. Non moralisatrice.

— Il mettait des trucs dans la boîte aux lettres. Je passais par là et j’ai dit, « Salut, c’est une belle nuit. » Et j’ai souri. Il a sauté dans son camion et a claqué la porte.

— Malpoli ! s’écria Julie.

— J’ai laissé passer, continua Curran. Nous sommes nouveaux dans le quartier.

L’ancien Seigneur des Bêtes, un voisin gentil et magnanime.

— Donc tu t’es faufilé derrière lui, tu l’as surpris en lui parlant et quand il s’est retourné puis a vu un lion de trois cents kilos en train de parler, tu lui as montré tes dents ?

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La serrure cliqueta alors que le verrou coulissait. La porte s’ouvrit en grand, révélant Saiman. Il arborait le visage de mon père.

Il l’avait dupliqué à la perfection, de l’élégante mâchoire jusqu’au nez droit et à la courbure magistrale de ses sourcils sable-noir, mais il ne pouvait pas reproduire ses yeux.

....

Je ris.

Saiman me considéra du regard, clairement désarçonné. Il avait prévu de m’intimider ou de me déstabiliser. Malheureusement pour lui, il n’aurait pas pu moins ressembler à mon père s’il avait été une femme de quatre-vingts ans.

J’essayai de le regarder à nouveau, perdis, et ris plus fort.

— Entre, grogna-t-il.

— Oui, papa.

Je le suivis à l’intérieur en ricanant.

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- Tu ne m'as rien dit, l'accusai-je.

- Ce n'était pas à moi de le faire.

- Je ne comprends pas pourquoi ils ne m'en ont pas parlé.

- Ils faisaient tous partie de notre cercle intime. Ils savaient à quel point tu rêvais d'habiter loin de la Forteresse et de la Meute. Ils voulaient te donner de l'espace.

- Ils s'attendaient à quoi ? Que je leur pique une crise ?

- Chérie, ce n'est pas ton genre. Toi, tu es plutôt du style à lancer ton sourire de psychopathe avant de le découper en morceaux.

Je le regardai.

- Oh, j'ai le droit au regard furibond. (Il sourit).

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- je serai toujours là. Je traverserai toute la planète si je le devais.

Je fermai les yeux et murmurai :

- je te retrouverai à mi-chemin.

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I leaned forward and gave the leader ghoul my hard stare. “You look plump. You’ve been raiding the countryside and growing fat from gorging yourself on the people you’ve murdered. I gave you a chance to leave. Now it’s too late. Pay attention to this moment. Look at the stars. Breathe in the cold air. This is your last night. These are the last breaths you take. I will kill every one of you.”

The leader ghoul snarled, dropping all pretense. “You and what army?”

“That’s the great thing about werelions. You don’t need an army. You just need one.”

The ghoul twisted his face. “You’re not a werelion, meat.”

“I’m not.” I nodded behind them. “He is.”

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Curran unhinged his jaws. If he took that man’s head into his mouth and bit down, the merc’s human skull would burst like an egg dropped on concrete.

“No,” I repeated.

“He’s gonna kill him,” Camo Pants wheezed. His eyes were watering. Being kneed in the face will do that.

Curran’s fangs emerged from his jaws, becoming longer and longer… I never realized how creepy it was to see teeth growing in real time. Here’s one for my nightmares.

“Curran, you can’t bite his face off.”

“Yes, I can,” Curran said in a monster voice.

“You shouldn’t.”

“He shot me.”

“He missed.”

“He missed, because I’m fast and I moved out of the way. If I bite his head off, he won’t shoot me again.”

“He’s gonna kill him!” Camo Pants tried to pull out of my grip and I twisted his arm a little higher.

“If I need your help, I’ll ask you for it,” I told him. “Curran, please don’t bite his head off.”

“Why?”

“Because it’s illegal. Technically you assaulted him first when you threw him across the lawn.”

“I didn’t throw him very far.”

I rolled my eyes.

“I could’ve thrown him straight up and let him land on the pavement.”

“That would also be illegal.”

“You keep bringing this illegal thing up as if it means something to me.”

I couldn’t tell if he was just scaring them or if he really intended to kill them.

“As a favor to me, please hold off.”

“Fine.” Curran loosened his grip slightly and looked at the merc. “Want to add anything to this discussion?”

The big merc sucked in a hoarse breath. His face shook with the strain of making words come out. “…Fuck you!”

Oh you dimwit.

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“I can’t.” The big shapeshifter arranged his face into apologetic expression. “Jim won’t like…”

Dali leaned forward, her stare direct and heavy. “I don’t care what Jim likes. Do it.”

Rodney hesitated.

“What are you waiting for?” Dali asked. Her voice made it clear she wasn’t interested in an answer.

“He’s waiting for an or,” I told her.

“What?”

“Usually there is an or attached to this kind of threats. Do it or something bad happens.”

“He doesn’t get an or.” A faint green sheen rolled over Dali’s irises. “There is no or. Do it. Because I said so.”

Rodney ducked his head. “Yes, Alpha.”

We watched him retreat down the hallway.

“You’re getting good at this,” I told her.

She shrugged. “I figured it out. Most of the people will do just about anything you tell them to do, if you act with authority, give them no choice, and accept the responsibility for their actions. That’s kind of scary, isn’t it?”

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The vampire tilted its head, mimicking Ghastek’s movements. “You’re still riding that monstrosity?”

“Feel free to stomp him,” I told Cuddles. “I’ll back you up."

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