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Extrait ajouté par Migabo 2014-08-01T21:06:56+02:00

(traduction personnelle, je l'espère pas trop mauvaise...)

Ma bouche bougea finalement. " Non ". Curran me regarda. " Ne me ramène pas au donjon. Ils vont vouloir une explication. Je ne peux pas faire ça pour le moment."

Curran fit un brusque demi-tour sur un terrain enneigé entre un immeuble de bureau et une ruine. La voiture s'immobilisa dans un crissement.

Derrière nous, la caravane de voitures s'arrêta. La porte du véhicule de tête s'ouvrit et Jim sortit au pas de course jusqu'à notre voiture.

Curran baissa la fenêtre, laissant entrer le bruit strident de l'engin à eau enchantée.

" Quel est le problème ?" hurla Jim par-dessus le bruit du moteur.

" Il y a pas de problème", hurla Curran en retour. "Continuez sans nous."

"Quoi ?"

"Continuez sans nous ! "

"Pourquoi ? "

" Parce que je veux passer du temps avec ma femme en paix " ,gronda Curran.

Jim hocha la tête, leva le pouce, et retourna à la jeep.

Curran remonta la fenêtre. " C'est comme vivre dans un putain de bocal à poissons ! "

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Extrait ajouté par Migabo 2014-06-14T20:04:14+02:00

(Traduction personnelle, je l'espère pas trop mauvaise...)

Curran avait garé la jeep de la Meute à la jonction de la ruelle et de la 14ème rue.

Trois voyous, deux hommes et une femme, étaient en train de forcer la serrure. Ouille, merci, Atlanta.

Les apprentis-voleurs de voiture nous virent. L'homme à la veste bleue fit volte-face et leva un pistolet dans notre direction.

Gros baril, petit cerveau. Hé, il y a des mecs qui sortent d'Unicorn Lane en pleine nuit. Ils sont en pleine forme et ont l'air de pouvoir me botter le cul. Je crois que je vais essayer de leur prendre leur voiture avec mon flingue. Pur génie. Ouais, ça va totalement le faire.

Sans interrompre sa foulée, Curran bougea légèrement devant moi. Je n'avais aucun doute que si le voyou faisait feu, Sa Majesté des Fourrures s'interposerait plutôt que de laisser la balle me toucher. Il avait déjà utilisé cette manoeuvre deux ou trois fois. Je n'étais toujours pas sûre de ce que je ressentais à propos de ça. Je ne voulais vraiment pas qu'il se prenne une balle à cause de moi.

"Donnez-moi les clefs", dit Veste bleue, la voix rauque.

Les yeux de Curran devinrent or. Sa voix baissa dans un grognement rauque. "Si tu comptes tirer, sois sûr de vider le chargeur,parce qu'une fois que tu auras fini, je te fourrerai ce flingue dans le cul par le côté."

Veste bleue cilla.

"Est-ce que tu peux vraiment faire ça ?", je demandai.

"On va le découvrir." Curran fixa le voyou. "Alors ? Tire, qu'on puisse commencer l'expérience."

Veste bleue coinça son pistolet dans sa poche et fuya. Ses potes se précipitèrent après lui.

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« Vous portez l'épée de Voron ?

− Non.

L'enthousiasme mourut dans les yeux de Landon.

− Hugh a brisé Slayer, lui dis-je. J'aimais cette épée. Elle faisait partie de moi depuis plus de vingt ans.

− C'est un bon prétexte, murmura Landon.

Et puis merde.

− Je déplore la perte de mon épée, mais ça ira. Grand-mère m'en a donné une autre.

Je sortis Sarrat de son fourreau.

Landon tourna le volant. Le Land Rover faillit osciller, quittant la route. Landon se gara et sortit rapidement de la voiture, claquant la porte du conducteur derrière lui.

Magnifique. J'avais effrayé le légat de la Légion Dorée juste en lui montrant mon épée. Si je l'agitais, il exploserait sûrement.

Sarrat fuma sur mes genoux. Sa magie n'était pas subtile, comme celle de Slayer. Non, cette épée dégageait du pouvoir. Elle s'enroula autour de moi. Elle m'aimait.

Landon faisait les cents pas, le regard un peu fou.

− Eh bien, il l'a mal pris, pire que moi, concéda Curran.

− Je ne vois pas quel est le problème.

− C'est une épée créée à partir des os de ta grand-mère, Kate.

Je haussai les épaules. 

Landon me fixa du regard à travers le pare-bise, pivota, fit les cents pas, et me regarda encore fixement.

− Tu sais ce que les gens reçoivent de leur grand-mère ? Un service à thé. Ou une couverture. (Curran sourit.) Si ta famille avait une couverture, elle serait faite à partir de peau de chimère et rembourrée avec des plumes d'anges morts.

− On parle d'anges judéo-chrétiens, parce qu'ils n'existent pas, ou des anges païens comme Teddy Jo ?

− Kate, gronda Curran.

− Hé, depuis le début je t'ai prévenu que ça serait bizarre. J'étais dans cette baignoire avec toi et je t'ai dit que c'était une très mauvaise idée. Tu as dit que tu m'aimais et tu es resté dans la baignoire. En ce qui me concerne, comme on fait son lit on se couche.

− Je me coucherai dans n'importe quel lit tant que tu y es, mais ça reste toujours bizarre.

Je me retournai pour le regarder.

− On va voir mon père, qui m'écrasera probablement comme un insecte, et mon épée te met mal à l'aise ?

Curran indiqua Landon d'un signe de la tête.

− Je ne suis pas le seul.

Landon m'examina encore une fois.

− Tu lui as déjà donné un nom ? demanda Curran.

− Oui. Sarrat Irkalli. Ça veut dire Grande Reine d'Irkalla, la Terre des Morts. On l'a souvent confondue avec ma grand-mère, et maintenant qu'elle est morte, ça correspond tout à fait.

Curran écarta les bras.

− C'est bien ce que je disais.

C'était ridicule. Je me penchai du côté conducteur, ouvris la porte, et criai à pleins poumons, essayant de recouvrir le moteur à eau enchantée.

− Vous avez fini ?

− Quoi ? hurla Landon.

− Vous ! Avez ! Fini ?! Vous pouvez rester ici si vous voulez. Indiquez-nous simplement la direction, et nous conduirons nous-mêmes !

Landon se glissa sur le siège du conducteur et désigna mon sabre.

− Rangez-le.

− Dites le mot magique.

− S'il vous plaît, ajouta Landon.

Je remis la lame dans le fourreau et le caressai.

− Tout va bien, Sarrat. S'il t'insulte, je lui trancherai la tête et tu pourras boire son sang.

Landon ferma les yeux pendant un long moment, expira, et ramena le Land Rover sur la grande route. »

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Extrait ajouté par Migabo 2014-08-01T20:36:02+02:00

( traduction personnelle, je l'espère pas trop mauvaise...)

Il enfouit sa main dans mes cheveux, m'attirant plus près. Mon corps se réveilla comme s'il avait été endormi pendant une éternité et s'était soudain éveillé. J'aimais la façon dont il m'embrassait. J'aimais le goût qu'il avait.

Sa langue poussa dans ma bouche, possédant, séduisant, charmant, m'aspirant de plus en plus profondément.

Je l'aimais tellement.

Je l'aimais plus que je ne pourrais le dire.

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-Tu es toujours si désinvolte? demanda Robert.

-Derek et moi avons travaillé ensemble pendant un bon moment, lui indiquai-je. Il a le droit à un peur de marge.

-Et Dessandra?

-Elle se préoccupe seulement du protocole quand elle veut quelque chose. Le reste du temps, c'est des blagues obscènes et des descriptions de prunes.

Dessandra ricana.

Robert haussa discrètement les sourcils.

-Des prunes?

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(Dessandra à Kate)

-Hé,Kate? Tu as pensé à aller voir Hugh et lui dire qu'il a la plus grosse queue?

Elle écarta les bras jusqu'à obtenir la taille d'une batte de base-ball.

-Non, tu penses que ça marcherait? demandai-je.

-Ca vaut la peine d'essayer. Peut-être qu'il serait heureux de voir que tu as remarqué son pénis jusqu'à oublier sa tentative de nous tuer.

Pénis. Que quelqu'un me tue!

-J'y penserai.

Ascanio se mit à tapoter ses vêtements.

-Quoi? grogna Derek.

-Je cherche un truc pour prendre des notes.

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« − Tout ça était un immeuble de bureaux. (Nina agita le bras vers la rue.) Une fois nettoyé, ils ont décidé de le diviser en terrains de cinq acres. Vous avez des voisins sur la gauche et sur la droite, mais en face de vous, seuls des centaines de mètres d'arbres sont présents puis un petit lac. Une piscine et des écuries pour six montures se trouvent à l'arrière. C'est une zone relativement sûre aussi loin que s'étend le nord d'Atlanta.

− La sécurité n'est pas un problème, assura Curran. Je vais la rendre sûre.

[...]

− On entre ?

Nina déverrouilla la porte.

Julie entra.

− C'est un peu grand, indiquai-je.

Curran arbora un large sourire. Je lui donnai une petite tape sur le bras.

− Ça va. Ça nous offre beaucoup d'intimité.

− On peut se permettre de l'acheter ? demandai-je à Curran.

Elle devait coûter un bras et une jambe.

− Oui, répondit-il. Je suis plein aux as.

− Eh bien, te voilà suffisant, Ta Majesté.

− Techniquement, tu ne peux plus m'appeler comme ça.

− Je t'appellerai comme je le veux. »

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« Je déglutis et hochai la tête.

− N'entre pas dans la pièce. Elle te tuera. Tant que personne n'entre, nous pouvons franchir l'autre côté.

− Qui elle ? Qu'est-ce qu'il y avait à l'intérieur, bordel ? demanda Curran.

− Les os de ma grand-mère.

Curran ouvrit la bouche, la referma, et finit par dire :

− Ta grand-mère est la magie de Mishmar ?

− Elle veut retourner sur le Tigre. Elle déteste cet endroit. (Je sortis Sarrat de son fourreau.) Regarde, elle m'a donné une nouvelle épée.

Curran l'observa.

− Il ressemble à Slayer.

− C'est parce qu'ils sont tous les deux composés de ses os.

− Ton épée est faite à partir des os de ta grand-mère ?

− OK, je comprends que ça semble bizarre quand tu le dis comme ça …

Curran saisit ma main.

− Je ne vais rien rajouter. Sortons d'ici. »

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« – Qu'est-ce qui s'est passé après mon départ ?

Curran s'adossa à une chaise renversée.

– J'ai pourchassé Hugh à travers le champ, mais il s'est téléporté avant que je puisse l'atteindre. J'ai eu son cheval. Tu le veux ?

– Son Frison ? Non merci. Il est joli, mais ce ne sont pas les meilleures montures. Ils t'ont dit que j'ai monté un âne géant ?

Il cilla.

– Tu quoi ?

– Une ânesse énorme noir et blanc. Elle faisait trois mètres soixante de haut et était grincheuse. Je l'ai laissée dans les étables de la forteresse. Je l'ai louée à une écurie, donc il nous faudra peut-être l'acheter maintenant, à cause du temps écoulé. Elle s'appelle Cuddles.

Il eut du mal pendant une minute.

– Quelque fois, la faim a des effets secondaires étranges…

– Non, j'étais présent, indiqua Robert, les yeux toujours fermés. J'ai vu Cuddles. De longues oreilles.

Curran écarquilla les yeux.

– Si nous sortons d'ici, je voudrais la garder, lui dis-je.

– Si tu finis de manger, je t'achèterai tout un troupeau d'ânes géants.

– C'est le pot-de-vin le plus étrange que j'aie jamais entendu, ajouta Robert.

– Je ne veux pas un troupeau. J'en veux juste un. »

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« [...] (Roland jeta un coup d’œil à la garde de l'épée dépassant de mon épaule.) Tu as rendu visite à ta grand-mère.

Je sortis Sarrat et le lui montrai. Il passa sa main au-dessus de la lame, le visage triste.

− J'aurais voulu que tu n'ailles pas la voir. Elle est dangereuse.

Elle l'était. La légende disait qu'elle avait tué mon grand-père. Tout bien considéré, il l'avait sûrement mérité. »

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