Extraits

"I can always tell when you’re thinking about food. You forget to be the Serious Wolf, and you get this dreamy look in your eyes. You know, most people would think you were thinking about a girl. They have no idea that her name is bacon.”

Traduction amateur (Julie parle à Derek) : "Je peux toujours deviner quand tu penses à de la nourriture. Tu oublies d'être le loup sérieux, et tu as cet air rêveur dans les yeux. Tu sais, la plupart des gens se diraient que tu es en train de rêver à une fille. Ils ne se doutent pas qu'elle s'appelle jambon."

— Si quelqu’un décide de te blesser, ils le feront que j'aie ou non une couche mince de jean sur ma peau. Détends-toi.

— C’est mieux que rien.

Elle plissa les yeux, l’air espiègle. Il se prépara.

— J’ai vu une photo de Hugh quand il avait ton âge, dit-elle.

— Hmm.

— Hugh était canon.

Sa réaction devait se voir sur son visage, parce qu’elle rejeta sa tête en arrière et rit.

— Et c’est quoi ces commentaires sur ma tenue ? Rien ne cloche avec ce short.

— Tu n’as pas de jean ?

— Si.

— Tu devrais les porter.

— Pourquoi ? Est-ce que la vue de mes jambes te dérange, Derek ? (Elle arrêta Peanut et tendit la jambe devant lui.) Quelque chose ne va pas avec mes jambes ?

Ses jambes étaient très bien. Elles étaient pâles et musclées, et les hommes qui devraient le savoir les remarqueraient. Il n’allait pas les remarquer pour énormément de raisons, en commençant par le fait qu’elle avait seize ans, et lui vingt.

— Vas-tu arrêter de me donner des ordres ?

— Cesse de faire des trucs stupides, et j’arrêterai.

Ses yeux se plissèrent.

— Bouffe le cul de mon cheval.

Heu. Non merci.

— Est-ce que Desandra était chez toi récemment ?

Il y a quelques années, alors qu'il n'avait que dix-huit ans, Jim, alors Chef de la Sécurité de la Meute, lui avait confié la responsabilité d'un petit groupe de douze et quinze ans qui montraient un potentiel pour le travail secret. De toutes les choses que Derek a essayé de leur enseigner, il a trouvé que la patience était la plus difficile. A présent, ils auraient tous gratté, soupiré ou fait du bruit. Julie a simplement attendu. C'était si facile avec elle.

Elle s'assit plus droite. "Est-ce que tu vas arrêter de me donner des ordres ?"

"Arrête de faire des conneries stupides, et j'arrêterai."

Ses yeux se rétrécirent. "Mange le cul de mon cheval."

Pouah. Non merci. "Quoi, Dessandra était-elle à la maison récemment?"

"Je n'ai pas besoin de Dessandra pour m'apprendre les insultes. Et qu'est-ce que c'est que ça avec tous les commentaires sur ce que je porte ? Il n'y a rien de mal avec ce short."

"Tu n'as pas de jeans ?"

"J’en ai."

"Tu devrais les porter."

« Pourquoi ? Est-ce que la vue de mes jambes te dérange, Derek ? » Elle arrêta Peanut et tendit sa jambe gauche devant lui. « Y a-t-il quelque chose qui ne va pas avec mes jambes ? »

"Incantations ?" Elle était folle. « En as-tu utilisé une dans un vrai combat ? »

« Pas encore. C'est dangereux. »

"Alors il t'enseigne quelque chose qui peut ou non marcher."

Elle lui lança un regard noir. "Ça marchera. Je ne l'ai pas encore utilisé, parce que ça prend beaucoup de magie. C'est mon dernier recours, et je n'en ai pas eu besoin."

"Non, tu as raison. Tu as totalement raison. Ne parlons pas à l'ennemi que nous allons tous combattre à un moment donné." Elle haussa ses épaules étroites. « N'essayons pas de comprendre comment il pense ou quelles armes il pourrait utiliser. Honnêtement, Derek ? Tu as fait tous ces trucs d'espionnage pour Jim pendant des années. Je ne peux pas te croire. »

"Crois le."

"Je sais!" Elle frappa dans ses mains. "Peut-être que nous pourrions tous aller au combat les yeux bandés."

Il eut envie de la tirer de son cheval et de la secouer jusqu'à ce que le bon sens apparaisse dans son cerveau.

"Qu'est-ce que tu fous ici ?" grogna-t-il. Elle ne devrait pas être ici. Pas au milieu de la nuit et pas devant cette maison. Il ne voulait pas lui dire ce qui s'était passé dans la maison.

« Je travaille », dit-elle.

"Pourquoi es-tu habillé comme ça ?"

Ses yeux se rétrécirent. « Habillée comme quoi ? »

"Que."

"Il n'y a rien de mal dans la façon dont elle est habillée." Le chat eut un sourire narquois, des dents blanches clignotantes. "Je l'aime bien."

Le cheval Gypsy s'est déplacé au clair de lune, portant son cavalier sans aucun effort, ce qui n'était pas vraiment un exploit, puisque le cavalier avait seize ans, mesurait à peine cinq pieds et demi et pesait peut-être cent vingt livres sterling. Si elle était trempée et portait tous ses vêtements et portait ses deux tomahawks.

Il ouvrit la bouche et la referma. Julie portait un T-shirt bleuté avec les mots Wild Magic cousus dessus et un short en jean. Ses longues jambes nues se détachaient sur la peau noire du cheval. Ses cheveux blonds étaient tirés en queue de cheval, laissant son long cou exposé. Un cou qui serait effroyablement facile à casser, même pour un humain normal.

Julie lui fit un signe de la main et fit un clin d'œil aux trois métamorphes. "Vous ne devriez pas coincer un Grand Méchant Loup comme lui dans une rue sombre. C'est mauvais pour votre santé."