Kay Scarpetta, Tome 20 : Vent de glace

Ouah quel ennui ce livre !! Pourtant j‘ai lu la plupart des livres de cette série. Le scénario est sans intérêt on devine le meurtrier qu‘à la fin certes c’est pas un souci mais tout au long du livre aucune piste pour deviner les motifs du coupable et chercher un coupable parmi les personnages.

L’écriture est ennuyeuse, on assiste à des dialogues entrecoupé d’explications qui apportent rien au livre. Kay parle avec son mari et on a le descriptif de sa tenue quand elle s’habille. Kay fait à manger et on a droit à toutes les recettes de cuisine. Aucun intérêt. La fin est expédiée en quelques pages. Je ne recommande pas cette lecture.

C'est le pire roman de Patricia Cornwell que j'ai lu. Vraiment très déçue. D'une longueur sans commune mesure. Je l'ai terminé en lisant en diagonale.

Un enquête un peu longue à démarré, avec toujours depuis les 2/3 derniers livres, ce moment où on se demande si on n'a pas manqué des épisodes. Cela part dans tout les sens.

Puis enfin un retrouve un semblant de logique et de structure.

Une série que j'adore en temps habituelle, mais les débuts brouillon gâche la plume de cette auteure.

Voici une enquête de Kay Scarpetta, médecin légiste à Boston. Nous retrouvons les personnages qui l'entourent : sa nièce Lucy, le détective Marino avec qui elle collabore et son mari Benton, agent du FBI.

Les 150 premières pages mettent en place toute l'histoire : beaucoup d'interrogation de la part de Kay Scarpetta sur sa vie, l'attirance qu'elle provoque et qu'elle ressent, sa vie conjugal, etc... L'enquête est vraiment au second plan durant ces pages. Puis l'intrigue s'installe lentement, très lentement. Je trouve qu'il y a beaucoup de termes techniques utilisés qui gâchent le récit et son rythme.

En conclusion, cette enquête de Kay Scarpetta ne fera pas partie des meilleures que j'ai lues.

C'est grâce à ce roman que je suis tombée amoureuse du thriller. J'adore le personnage de Kay Scarpetta, et j'ai enchaîné plusieurs de ses romans, avide d'en savoir plus sur elle. Ce tome est vraiment très sympa, avec une intrigue très présente et une fin à laquelle je ne m'attendais pas.

C'est toujours un plaisir de suivre les enquêtes de Kay Scarpetta, j'attaque le suivant "Traînée de poudre".

Après avoir été déçue par le manque d’enquête dans Voile Rouge, je dois dire que celle de Vent de Glace relève un peu le niveau. On y retrouve ce qui m’a fait aimé Patricia Cornwell quand j’étais gamine, c’est à dire de bonnes scènes de crimes, de bonnes autopsies réalistes et des interprétations crédibles. Par contre j’ai trouvé l’identification du coupable et la fin un peu bâclée, ils découvrent en effet la vérité que lorsque le tueur perd la tête et non pas grâce à l’enquête ce qui est un choix surprenant.

Ce qui m’a le plus ennuyé, ce sont les affres sentimentales de nos héros. En effet si celles de Marina, au demeurant pas suffisamment exploités m’ont parues crédibles et alertent (trop légèrement) du risque des conversations sur réseaux sociaux qui ne sont pas toujours protégées et du fait qu’on est jamais sûr de qui on a en face de nous, celles de Scarpetta, victime de la crise de la cinquantaine ? Soixantaine ? (son âge n’est plus jamais mentionné après les premiers tomes et l’âge de Lucy ne correspond en rien à la vraie évolution sinon tout le monde serait déjà en maison de retraite) m’ont vraiment agacées. En effet, elle se la joue désir cougar avec son nouvel assistant et avec tous les autres jeunes hommes qu’elle rencontre (même lors des scènes de crimes). Son mari Benton, bien sûr jaloux, en profite pour flirter avec une de ses jeunes collègues (rien que pour ennuyer Kay, niveau Lycée ON) mais quand elle s’avère être légèrement psychopathe, il le regrette. J’ai presque envie que ces deux-là se séparent, faut dire que Benton il sert pas à grand-chose vu son efficacité dans l’enquête. Espérons que les suivants s’attarderont moins sur le sentimental, ces romans n’ont pas besoin de ça sauf pour augmenter le nombre de pages…

Patricia Cornwell revient avec une autre histoire de Kay Sparpetta avec cette fois, un tueur qui n’a peur de rien ni de personne avec une imagination aussi débordante qu’efficace et spectaculaire. Avec ce livre, P.Cornwell revient aux bases du thriller. Assez flippant.

Une bonne intrigue comme d'habitude mais loin d'être mon préféré ! Un peu de longueur mais bien quand même !

suis d'accord, fin vraiment bâclée. On découvre le suspect page 453 (sur 541...) sans aucun indice préalable... même sans donner le nom du tueur dès la 1ère page...

Bref, déçue de ma lecture