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Kay Scarpetta s’apprête à célébrer son anniversaire à Miami en compagnie de son mari, Benton Wesley, quand elle remarque sept pennies alignés à son insu sur le mur derrière leur maison. À cet instant, un appel du détective Pete Marino l’informe qu’un professeur a été abattu non loin de chez elle. Le tireur a agi avec précision et personne n’a rien vu ni entendu. Il pourrait s’agir du tueur ayant déjà fait des victimes dans le New Jersey, mais rien ne permet encore de l’affirmer. Kay soupçonne que le lien, s’il existe, se trouve sous ses yeux. Lorsque la menace se profile dans son entourage, il devient clair que quelqu’un cherche à la faire payer en monnaie de sang.
"Un canevas classique et bien construit. Si les fans de la romancière retrouveront les protagonistes habituels, Monnaie de sang se révèle plus tendu et plus diabolique que les derniers volumes de la série." Hubert Artus, Lire.
Une nouvelle enquête sombre et nébuleuse par bien des aspects.
En ce début de livre on a l’impression de débarquer dans leurs quotidiens et de pas avoir toutes les détails comme si vous preniez une conversation en cours.
Difficile de se remettre dans le contexte, cela fait des années que je lis Scarpetta, mais mes souvenirs s’étiolent.
Cette enquête laisse un goût d’inachevé.
Et quand au cliffanger… elle nous a pas habitué à ça Patricia.
Après quelques tomes un peu moins intéressants à mon goût et un peu plus lent, Patricia Cornwell revient au style plus suspense que l'on retrouve dans les premiers tomes. J'ai vraiment plus apprécié et ressentie à la limite un certain stress durant ma lecture.
Kay Scarpetta, médecin légiste, est appelée sur la scène de crime d’un professeur de musique abattu par un sniper. Ce sniper, Copperhead, serait le même que celui ayant sévi dans le New Jersey. Avec l’aide de l’inspecteur Marino, de son mari agent du FBI Benton et de sa nièce Lucy, elle va essayer de démêler cette histoire.
En mars dernier, j’avais lu « Inhumaine » qui est la suite de « Monnaie de sang ». Ma lecture n’en a pas été souffert même si je connaissais la fin. Comme le précédent, il y a très peu d’actions : beaucoup de développements qui ne sont pas en lien avec le meurtre mais sur l’état d’âme du personnage principal, de ses talents culinaires, etc et ce point m’agace de plus en plus. Beaucoup de descriptions sur les méthodes employées dans le cadre des sciences médico-légales qui, heureusement, ont apporté un certain intérêt à ma lecture.
Bref, je ne retrouve plus ce qui me plaisait dans ces premiers romans.
J’avais été tellement déçue de Traînée de poudre, que je n’avais pas enchaîné avec Monnaie de sang que j’avais pourtant à disposition. Je me suis lancée en voyant qu’avec la sortie du tome 24, j’en avais désormais 3 de retard, et je regrette un peu de pas l’avoir fait plus tôt, car je serai restée sur une meilleure impression. Certes, on est toujours pas dans la qualité et l’originalité des premiers, mais l’histoire de Monnaie de sang relève assurément le niveau.
Et je pense que c’est parce que l’on retourne aux bases des enquêtes de Kay Scarpetta. Des autopsies, des interrogatoires, des indices à suivre, des personnages ambigus qui font tous des suspects crédibles. Tout cela m’avait manqué dans les 3 derniers, et le retour au source est agréable. Il y a quelques longueurs dans l’enquête, surtout dans les moments où on s’embourbe dans des considérations politico-policières sans grand intérêt, mais dans l’ensemble le livre se lit plutôt vite et bien.
Et miracle, Kay ne m’a pas agacée. Contrairement au tome précédent, elle ne se montre pas ici aigrie et désagréable. Elle se montre même pleine de considération envers les victimes. Elle s’inquiète également pour sa nièce, et au vu du final, c’est justifié. Je vais d’ailleurs enchaîner avec le suivant rapidement.
Reste le problème Marino. Il passe toujours dans ce tome pour un flic peu ouvert, rancunier et hargneux, et sans grande intelligence (et tout le reste de l’équipe a l’air d’apprécier de le voir patauger sans comprendre et ne rien lui expliquer…). Pas forcément une bonne image de la police américaine, je sais pas si c voulu ou non.
Résumé
Kay Scarpetta s’apprête à célébrer son anniversaire à Miami en compagnie de son mari, Benton Wesley, quand elle remarque sept pennies alignés à son insu sur le mur derrière leur maison. À cet instant, un appel du détective Pete Marino l’informe qu’un professeur a été abattu non loin de chez elle. Le tireur a agi avec précision et personne n’a rien vu ni entendu. Il pourrait s’agir du tueur ayant déjà fait des victimes dans le New Jersey, mais rien ne permet encore de l’affirmer. Kay soupçonne que le lien, s’il existe, se trouve sous ses yeux. Lorsque la menace se profile dans son entourage, il devient clair que quelqu’un cherche à la faire payer en monnaie de sang.
"Un canevas classique et bien construit. Si les fans de la romancière retrouveront les protagonistes habituels, Monnaie de sang se révèle plus tendu et plus diabolique que les derniers volumes de la série." Hubert Artus, Lire.
(Source : LGF - Le livre de poche)
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