Kay Scarpetta, Tome 24 : Chaos

Roman policier. C'est le premier livre que je lis de cette auteure. Il y a beaucoup de longueurs, de détails, qui ne paraissent pas toujours indispensables. Cependant, l'histoire est bien racontée. Elle peut également parfois être à la limite, angoissante, par moments. A ne pas mettre dans les mains d'une personne trop sensible.

J’ai lu toute la saga Kay Scarpetta.

Je suis tombée par hasard dessus avec son roman Combustion durant un long arrêt maladie en 1999. J’ai adoré et repris la série depuis le début.

Mon premier Patricia Cornwell lu pendant les vacances, mais je n'ai malheureusement pas accroché ce roman. En voyant les commentaires, je testerai plus tard des livres plus ancien de cette auteure :)

C'est le premier livre de Patricia Cornwell que je lisais, et franchement je n'en lirai certainement pas d'autre. Je n'aim pas du tout son style literriare. J'ai l'impression qu'elle écrit la trazme de son roman, puis après elle revient en arrière rajouter des détails descriptifs et des broderies qui alourdissent le texte et rendent difficile la lecture de l'ensemble.

D'autre part, tout le monde n'a pas lu toutes les enquetes de Kay Scarpette, et le rappel des personnages est succinct et incomplet. On se demande qui est tel personnage, qu'est-ce qu'il vient faire dans l'histoire et donne l'impression qu'il tombe comme un cheveu sur la soupe.

En général je m’aime pas les livres dont il faut lire plusieurs pour savoir ce qu'il va se passer car bien souvent c'est du tirage en longueur et on s'ennuie.

Ici j'ai lu les trois et j'ai été très addict et prise vraiment par l'histoire, car pas une seconde on s'ennuie.Maintenant je ne suis pas sur que cela se termine là car la fin n'ai pas une fin en soi.

Car l'auteur peut encore faire un rebondissement, j’espère que non ou alors cela devra être très recherche.

Une avis assez mitigé sur ce nouveau roman;

Les romans de ces dernières années m'ont souvent déçue et je regrette les meilleurs d'il y a 10 ou 15 ans...

Là encore, il faut attendre près de la moitié du livre pour que l'histoire démarre vraiment.

Beaucoup de conversations plates et ennuyeuses au début du libre et on a parfois l'impression de prendre la conversation en cours tellement c'est confus. On a le sentiment de ne pas avoir les mêmes informations que les personnages ou d'avoir manqué une étape. C'est un peu à suivre.

Au moins, Patricia Cornwell a arrêté de faire du placement de produit toutes les deux pages comme avant (ma montre marque machin, ma voiture marque Truc, mon couteau de cuisine très rare marque intel... ) c'était devenu pénible d'avoir des successions de sponsor pendant le roman.

Vers le milieu du roman , l'intrigue commence enfin et l'enquête est intéressante même si à mon sens, beaucoup trop rapidement traitée par rapport à la longueur de la première partie.

Un gros rebondissement à la fin, assez inattendue.

Bref, pas mal mais sans plus.

Je commence à me lasser...

Bon ce n’est toujours pas le meilleur roman de la série à mon goût, mais je m’y suis bien moins ennuyée que lors du dernier.

L’histoire passe somme toute assez vite, on est moins noyé dans les descriptions ennuyeuses et dans les pensées répétitives de Kay sur la psychologie des gens qui l’entoure. L’histoire est parfois confuse, car certaines découvertes sont passées très rapidement (au sujet du voisin par ex), et certaines conversations téléphoniques essentielles ne sont pas explicitées. Contrairement au tome précédent, nous avons une fin moins ouverte (même si on a une révélation à la fin) et j’ai ressenti les émotions de nos héros. Je regrette toujours la voie que Patricia a choisi de faire prendre à nos personnages, avec cette absence de complicité qui s’accroit de tomes en tomes, mais je commence à m’y habituer. Et youpi, Kay se laisse bien moins marcher sur les pieds ici, que ce soit dans sa morgue ou dans le dénouement. . Cela m’avait manqué et malgré mes avis parfois mitigés, je sais que je lirai le prochain Scarpetta, je suis trop attachée à cette série.

Bon ce n’est toujours pas le meilleur roman de la série à mon goût, mais je m’y suis bien moins ennuyée que lors du dernier.

L’histoire passe somme toute assez vite, on est moins noyé dans les descriptions ennuyeuses et dans les pensées répétitives de Kay sur la psychologie des gens qui l’entoure. L’histoire est parfois confuse, car certaines découvertes sont passées très rapidement (au sujet du voisin par ex), et certaines conversations téléphoniques essentielles ne sont pas explicitées. Contrairement au tome précédent, nous avons une fin moins ouverte (même si on a une révélation à la fin) et j’ai ressenti les émotions de nos héros. Je regrette toujours la voie que Patricia a choisi de faire prendre à nos personnages, avec cette absence de complicité qui s’accroit de tomes en tomes, mais je commence à m’y habituer. Et youpi, Kay se laisse bien moins marcher sur les pieds ici, que ce soit dans sa morgue ou dans le dénouement. . Cela m’avait manqué et malgré mes avis parfois mitigés, je sais que je lirai le prochain Scarpetta, je suis trop attachée à cette série.