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– Allez-vous-en, geignit-elle dans son oreiller. J’ai envie de mourir.
– Une belle vierge ne devrait jamais mourir seule, déclara-t-il en posant une main sur la sienne. Dois-je vous faire la lecture pendant vos derniers instants ? Quelle histoire préféreriez-vous ? »
Elle arracha sa main de la sienne.
« Que diriez-vous de celle du prince idiot qui refuse de laisser l’assassineuse tranquille ? demanda-t-elle.
– Oh oui ! Celle-là, je l’adore ! Et elle se termine bien : en fait, l’assassineuse feignait seulement d’être malade pour retenir l’attention du prince ! Qui l’eût cru ? Quelle petite futée ! Et la scène dans la chambre est vraiment charmante... rien que pour elle, ça vaut la peine de lire ce tissu d’insanités !
– Dehors ! Dehors ! Laissez-moi et allez faire du charme à une autre ! »
Afficher en entier« Mon nom est Celaena Sardothien. Mais le fait que je m'appelle Celaena ou Lillian ou Pétasse ne fait aucune différence, puisque je te battrais quoi qu'il arrive, peu importe comment tu m'appelles.»
Afficher en entier« À propos, je m’appelle Dorian, pas Votre Altesse, poursuivit le prince.
– Très bien.
– Alors dites-le.
– Quoi ?
– Mon nom. Dites : Très bien, Dorian. »
Elle leva les yeux au ciel.
« Si tel est le bon plaisir de Votre Magnanime Sainteté, je l’appellerai par Son prénom, dit-elle.
– Votre Magnanime Sainteté ? À la bonne heure ! »
Afficher en entier- Prenez une autre arme, ordonna-t-il. Et, cette fois-ci, que le jeu en vaille la chandelle : faites-moi un peu transpirer, s'il vous plaît.
- Vous transpirez bien assez quand je vous écorcherai vif et que j'écraserai vos yeux sous mes bottes, marmonna-t-elle avant de ramasser son épée.
- A la bonne heure !
Afficher en entier« Les librairies étaient pleines d'idées, peut-être les plus dangereuses et les plus puissantes des armes.»
Afficher en entier" Qu'est-ce qui ne va pas ? " Insista Chaol.
[...]
"Comme vous foudroyez tout le monde du regard, personne ne m'invite à danser", répondit-elle.
Chaol haussa les sourcils.
"Je ne foudroie personne du regard", dit-il, mais elle remarqua juste à cet instant qu'il regardait sans aménité un courtisan qui la dévisageait.
"Assez ! siffla-t-elle. Si vous continuez, personne ne m'invitera de la soirée !"
Afficher en entier"Quoi qu'il arrive, lui dit-elle calmement, je tiens à vous remercier.
- De quoi ?" demanda-t-il, la tête inclinée sur le côté.
Ses yeux la brulèrent, mais elle le mit sur le compte du vent et refoula ses larmes.
"d'avoir donné un sens à ma liberté", répondit-elle.
Afficher en entier« Son souffle était chaud sur son cou comme il baissa la tête, appuyant sa joue contre ses cheveux. Son cœur battait si vite, et pourtant elle se sentait tout à fait calme, comme si elle avait pu y rester éternellement et ne plus se soucier de rien, même si le monde s'écroulait autour d'eux.»
Afficher en entier"Debout, et en vitesse !" glapit Chaol à son oreille.
"Combien de temps j'ai dormi?" chuchota-t-elle, mais il ne répondit pas. "Combien de temps?" répéta-t-elle, et elle remarqua soudain la rougeur de ses joues. "Vous aussi, vous avez dormi !
- Oui, jusqu'au moment où vous m'avez bavé sur l'épaule, répondit-il.
-Quel jeune homme arrogant", susurra-t-elle, et il lui donna un petit coup à la jambe.
"Tenez-vous tranquille", ordonna-t-il.
Afficher en entier<<Je suis impressionnée que vous soyez arriver si vite, et sans une meute de dame de cour à votre trousse>>, fit-elle.
Il repoussa les cheveux de son visage.
<<Les dames de la cours de m'intéressent pas>>, déclara-t-il d'une voix pâteuse, puis il l'embrassa.
Sa bouche était chaude, ses lèvres très douces, et Keleana perdit toute notion du temps et de l'espace quand elle lui rendit lentement son baiser. Il s'écarta d'elle, plongea les yeux dans les siens, qui venait de se rouvrir, et l'embrassa de nouveau, plus passionnément.
Ses bras lui paraissaient à la fois lourd et très légers, la pièce dansait une ronde folle autour d'elle. Elle ne pouvait se rassasier de ses baisers, de son odeur, de son goût et de son contact.
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