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Mais Archer Finn aimait le femmes qui faisaient preuve d'audace dans leur habillement et avaient une longueur d'avance sur la mode. Or cette robe à la taille très ajustée, aux manches longues et collantes et aux jupes ondulantes était aussi innovante et insolite que faire se pouvait.

C'est pourquoi, quand elle rencontra Chaol en sortant de ses appartements, elle ne fut pas autrement surprise de le voir se figer et ciller à plusieurs reprises.

Elle lui sourit.

-Bonsoir Chaol, je vais très bien, merci et vous ? persifla-t-elle.

Il ne répondit pas et ses yeux brun doré descendirent, puis remontèrent le long de sa robe.

-Vous n'allez quand même pas porter ça, dit-il.

Elle s'esclaffa et le plantant là en lui donnant un aperçu de son dos nu encore plu provocateur.

-Oh que si, répliqua-t-elle.

Chaol la rejoignit et l'escorta vers la porte, devant laquelle un carrosse l'attendait.

-Vous allez attraper la mort, reprit-il.

-Pas avec ça, soyez sans crainte, répondit-elle en se drapant dans son manteau en hermine.

-Avez au moins des armes sur vous ?

Elle descendit l'escalier menant à l'entrée du château.

-Mais oui, Chaol, j'ai des armes et je porte cette robe précisément afin que Archer ait la même impression que vous : que je n'ai rien d'autre sur moi.

(...)

-Oh ! fut tout ce que Chaol parvint à articuler.

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Une disparition était toujours préférable à un corps décapité.

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« Tout les gens se ressemblent lorsqu'ils meurent. »

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-Quand j'ai entendu la musique, j'ai eu envie de danser un instant , juste pour...pour tout oublier le temps d'une valse, et faire semblant d'être une fille comme une autre. Bon, maintenant, allez-y, passez moi un savon. Quelle sera ma punition? six kilomètres de plus dans le parc demain matin? une heure d'entrainement? le supplice du chevalet?

Chaol s'approcha de la barrière invisible

-Accordez-moi cette danse, dit-il en lui tendant la main.

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On entend certaines choses avec ses oreilles et d'autres avec son cœur.

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« – Vous, la plus illustre assassineuse de l’Erilea, vous êtes incapable de monter la garde pendant quelques heures ? demanda-t-il.

– Pour surveiller quoi ? siffla-t-elle. Des couples qui s’éclipsent pour aller se bécoter entre deux haies ? Ou Son Altesse Royale qui danse sans trêve ni repos ?

– Seriez-vous jalouse ?

Elle s’esclaffa.

– Non, les dieux en soient loués, répondit-elle. Mais je trouve peu divertissant de les regarder, lui et tous ceux qui se distraient dans cette salle. J’enrage surtout à la vue de ce buffet mirifique dont personne ne s’approche. »

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Alors elle accomplit le geste le plus téméraire de son existence : elle se haussa sur la point des pieds pour lui chuchoter quelques mots à l'oreille.

Les mots qui lui permettraient de comprendre pourquoi ce qu'elle lui avait révélé comptait tant pour elle et pourquoi elle reviendrait un jour . Et elle savait que lorsqu'il aurait tout compris, il lui en voudrait éternellement.

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« - Si vous déboulez ici comme pour lui démolir le portrait, susurra-t-elle, il risque de se douter de quelque chose. Et, je vous le répète pour la dernière fois, pas un mot. Laissez-moi lui parler et l'enjôler.

- Je ne suis donc là que pour la décoration ? s'enquit-il, les sourcils levés.

- Estimez-vous heureux que je vous trouve passable comme accessoire. »

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Elle s'appuya d'une main contre le mur et, de l'autre, resserra son manteau sur elle avant de glisser dans la salle. Il lui semblait qu chacune de ses respirations durait une éternité. Personne ne l'arrêtait, ni ne regardait seulement dans sa direction.

Elle devait rejoindre une chambre où elle serait en sûreté. La main traînant sur le mur en pierre, elle comptait les portes devant lesquelles elle passait. C'était tout près. Son manteau se prit dans la poignée d'une porte et se déchira.

Elle parvint à son but. Ses doigts ne sentirent pas le grain du bois quand elle poussa le battant et s'arrêta, chancelante, sur le seuil.

Une lumière vive, un chaos de bois, de pierre et de papier ... Et, à travers le brouillard, un visage familier qui la regardait, stupéfait, derrière un bureau.

Un cri étranglé jaillit de sa gorge, elle baissa les yeux et vit le sang dont sa robe blanche, ses bras et ses mains étaient couverts. Spoiler(cliquez pour révéler) Ce sang lui évoquait Davis et la plaie béante de sa gorge.

- Chaol, râla-t-elle, cherchant des yeux le visage familier.

Mais il se ruait déjà vers elle. Il hurla son nom tandis que ses jambes ses dérobaient sous elle. Elle tomba. Elle entrevit en un éclair le brun doré de ses yeux et rassembla ses dernières forces pour souffler : "gloriella" avant que l'obscurité se referme sur elle.

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Dans un placard à balais ? Vraiment ?

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