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Keleana était restée silencieuse depuis le départ d’Archer et Chaol n’avait pas tenté de rompre son silence alors que la langue lui démangeait.

Il n’aurait d’ailleurs même pas su par où commencer.

Pendant toute cette conversation, il n’avait eu qu’une seule idée en tête : fracasser le beau visage d’Archer contre le mur du salon de thé.

Chaol n’était pas stupide. Il savait que certains sourires et certaines rougeurs de Keleana n’étaient nullement feints. Il savait également qu’il n’avait aucun droit sur elle, et qu’en revendiquer aurait été l’erreur la plus stupide qu’il pût commettre, mais à la voir si sensible au charme d’Archer, il avait furieusement envie d’un entretien entre quatre yeux avec le courtisan.

Au lieu de rentrer au château, elle repartit d’un pas nonchalant dans le quartier opulent qui formait le cœur de la cité. Après une demi-heure de silence, Chaol estima que sa fureur était assez apaisée pour lui permettre de se montrer civil.

– Lena ? murmura-t-il.

Enfin, à peu près civil…

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– C’était la nuit de votre capture ? s’enquit Chaol. Mais je croyais que vous ignoriez qui vous avait livrée ?

– Je l’ignore. Mon compagnon et moi avions reçu pour mission d’assassiner Farran, mais ce n’était qu’un piège dont Farran constituait l’appât.

– Comment s’appelait-il ? demanda Chaol.

Elle serra les lèvres et chassa le souvenir de son corps sur cette table, la dernière fois qu’elle l’avait vu.

– Sam, réussit-elle à articuler. Il s’appelait Sam. Je ne sais même pas où on l’a enterré, poursuivit-elle, oppressée. Je ne sais même pas à qui je pourrais le demander.

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Elle aurait volontiers travaillé avec lui, elle aussi, mais pas dans le sens où il l'entendait. Ses outils de travail auraient été un poignard, une pelle et une tombe anonyme.

Keleana, Chapitre 4, Page 43

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''Oh ?'' she asked, forcing herself to give him a half smile. ''And you have so much tome on you hands these days that you can spend hours with me again ?''

''Wwll, I have my usual flock of ladies to attend to, but I cant always make time for you.''

She batted her eyeslashes at him. ''I'm truly honored.'' Actually, the thought of Dorian with other women made her want to shatter a window, but it wouldn't be fair to let him know that.

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Les volets battants sous les bourrasques étaient la seule trace de son intrusion. Personne ne l'avait vue escalader le mur de ce jardin noyé dans l'ombre, et, au milieu du tonnerre et des rafales soufflant de la mer toute proche, personne ne l'entendit se hisser au sommet de la gouttière, enjamber le rebord d'une fenêtre et se glisser dans le couloir du premier étage.

À l'approche de pas, le champion du roi recula dans un renfoncement. Le visage dissimulé sous un masque et un capuchon noirs, elle se contraignait à se fondre dans les ténèbres, à n'être plus qu'un pan d'obscurité. Une servante se dirigea d'un pas traînant vers la fenêtre ouverte et la referma en grommelant. Un instant plus tard, elle avait disparu dans l'escalier au fond du couloir sans avoir remarqué les empreintes humides sur le parquet.

Un éclair illumina le couloir. L'assassineuse inspira à fond et passa mentalement en revue les plans du manoir laborieusement mémorisés au cours des trois journées pendant lesquelles elle l'avait observé à la lisière de Bellhaven. Cinq fenêtres de chaque côté de l'entrée, et la chambre de Lord Nirall était la troisième à gauche.

Elle tendit l'oreille, à l'affût d'autres servantes, mais la demeure restait silencieuse au milieu de la tempête déchaînée.

Silencieuse et souple comme un spectre, elle s'avança dans le couloir. La porte de la chambre s'ouvrit avec un léger grincement sous sa poussée. Elle attendit un grondement de tonnerre pour la refermer derrière elle.

Un nouvel éclair illumina deux formes humaines assoupies dans le lit à colonnes. Lord Nirall n'avait probablement pas plus de trente-cinq ans et sa splendide épouse à la chevelure sombre était profondément endormie dans ses bras. En quoi avaient-ils offensé le roi au point qu'il voulût leur mort ?

Elle se glissa vers le bord du lit. Elle n'était pas censée s'interroger. Son travail consistait à obéir. Sa liberté en dépendait. Tandis qu'elle approchait de Lord Nirall, elle réfléchissait à son plan.

Son épée jaillit de son fourreau avec un léger sifflement. Elle inspira, soudain oppressée, et se prépara mentalement à ce qui allait suivre.

Les yeux de Lord Nirall s'ouvrirent alors que le champion du roi levait son épée au-dessus de sa tête

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Après avoir eu un gros coup de cœur pour le premier tome, j'attendais beaucoup de cette suite. Peut-être est-ce pour cela que j'ai été déçue par ma lecture. L'intrigue m'a semblé moins palpitante, un brin tarabiscotée. Mais surtout, les choix de Keleana, son comportement, m'ont déçue. J'avais de l'admiration pour sa force de caractère et son indépendance. Mais à force de jouer les rebelles, je trouve que son ego lui joue des tours. Elle ne fait pas confiance aux bonnes personnes et n'écoute pas les conseils de ses amis. Elle commet donc de graves erreurs, irréparables. Les révélations autour de sa véritable nature ne m'emballent pas vraiment, cela manque d'originalité à mon goût. En conséquence, je ne suis pas sûre de lire la suite.

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Elle se demandait parfois si la facilité avec laquelle elle pleurait n'était pas un signe de dérèglement mental.

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Que le Wyrd me vienne en aide, pensa-t-elle.

Sa bouche était à elle seule tout un poème, une bouche aux contours sensuels, d'une douceur qui appelait la caresse.

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Ses doigts couraient sur son dos, pressant ses muscles en un geste de possession farouche. Il savait que si elle continuait ainsi, il perdrait rapidement tout sang-froid Soudain, elle s'écarta pour lever les yeux vers lui, mais ils restaient si proches que leurs souffles se mélaient. Il se surprit à évaluer la distance entre leurs lèvres tandis que ses yeux se posaient tour à tour sur sa bouche et sur ses yeux, et que sa main enfouie dans ses cheveux s'immobilisait.

Le désir l'envahissait, détruisant toutes les défenses qu'il ait édifiées et anéantissant toutes les distances qu'il s'était senti tenu de garder.

-J'ignore si je devrais avoir honte de vouloir vous serrer contre moi en ce jour, ou me réjouir de ce que, malgré tout ce qui est arrivé, c'est ce jour-là qui m'a rapprochée de vous, dit-elle dans un murmure à peine audible.

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Elle aurait volontiers travaillé avec lui, elle aussi, mais pas dans le sens où il l’entendait. Ses outils de travail auraient été un poignard, une pelle et une tombe anonyme

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