Keleana, Tome 5 : L'Empire des tempêtes

Encore une lecture très addictive et passionnante, le retour à la réalité est un peu dure quand on sort du livre. Les différents point de vue développés ne font qu'enrichir la trame bien menée, et montre des héroïnes féminines fortes ; avec leurs faiblesses, elles ne sont pas indestructibles. C'est un plaisir de lire des livre comme ça, tellement on se prend dans l'histoire.

Ce tome est un bijou, toujours aussi addictif. La plume de l'autrice est vraiment prenante ; on a les histoires de plusieurs protagonistes qui se rejoignent de temps en temps. Un pur régal, cette saga !

Un tome riche en événements !

De nombreuses réponses sont apportées, la suite s'annonce palpitante !

Lecture tandem du 5 & 6.

Cela m’aura pris du temps (5 mois 😱), mais j’ai ENFIN fini ces deux tomes ! Je les ai lu en tandem sur les conseils d’une amie et heureusement ! Parce qu’avec les 50 dernières pages de tome 5, jamais je n’aurai réussi à lire le tome 6 sereinement 😂

Toutes les actions sont justes incroyables ! Rien n’est laissé au hasard et tout à des répercussions tellement… WOUAH ! 🤯

Avec ces deux tomes, j’ai appris à apprécier (voire adorer) des personnages que je n’aimais pas avant (coucou Chaol et Manon). Tout le monde a beaucoup d’importance et on le voit encore plus à la fin des deux tomes !

J’adore aussi le fait que tous les personnages qui ont un très gros rôle à jouer sont des personnages féminins ! Elles ont toutes leurs qualités et leurs défauts et ce n’est pas « tiré par les cheveux » que ce soit elles qui ont les beaux rôles.

En tout cas, même si j’ai mis pas mal de temps à les lire, j’ai adoré cette lecture !

J’ai très très envie de sauter sur le tome 7, mais je voudrais finir Acotar et Crescent City avant (sait-on jamais 😂)

J'ai fait cette lecture en tandem avec le tome 6 et je ne me suis pas ennuyée une seule seconde.

L'intrigue se façonne autour de l'action avec un soupçon de politique. Nous nous retrouvons surtout avec un univers maritime dans ce tome est j'ai vraiment adoré découvrir de nouveaux lieux et en redécouvrir d'autres. Le ton est bien plus adulte et les révélations montent crescendo au fur et à mesure Je suis restée sur les fesses plus d'une fois avec tout ce que l'on apprend, d'ailleurs j'ai de nombreuses théories qui me viennent en tête concernant les autres sagas de l'autrice.

La plume est encore plus travaillée que dans ses autres tomes, on s'ancre parfaitement dans le récit sans pouvoir respirer une seule seconde avec tout ce qu'il se produit. Les descriptions sont magnifiquement bien gérées tout comme ces multiples points de vue qui s'étoffent de plus en plus. Si je suis déjà en apnée maintenant qu'est-ce que cela va être à ma lecture du dernier tome, je me le demande.

Les personnages sont tous excellents, nous retrouvons des personnages secondaires que l'on a appris à connaître dans les tomes précédents et leurs relations deviennent plus complexes en s'entremêlent. Il y a aucun des personnages principaux que l'on suit que j'ai détesté parce que l'autrice arrive à tous les rendre humains. Ils commettent des erreurs, ils ne sont pas parfaits mais c'est bien pour cela que nous les adorons. Je sens que le final va m'arracher le cœur parce que je sais que Sarah. J. Maas à tendance à faire souffrir ses personnages donc j'ai hâte de voir le dénouement et en même temps, j'ai peur aussi.

En tout cas, je ne peux que vous encourager à vous lancer les yeux fermés dans cette saga grandiose.

• Keleana, Tome 5: l’Empire des tempêtes •

J’ai tellement d’émotions qui surgissent, mon souffle tellement coupé que je peu à peine respirer.

Je crois que je n’ai jamais eu autant de mal à finir un livre que celui-ci tellement ses dernières pages m’ont arraché le cœur.

Une seul vérité sur Sarah J Maas, elle c’est exactement comment transcender votre âme.

Un livre aussi complet, aussi entier ne peut être décortiqué sans des pages et des pages rayées de noir. Je vais donc laisser d’autres en faire l’expérience.

Ou simplement vous dire…

Ce tome est pour moi le plus incomparable de tous ceux que j’ai pu avoir entre les mains depuis que j’ai commencé à lire il y a 7 ans maintenant.

Dans ce cinquième livre d’une Série d’exception, Sarah J Maas, nous partage les quêtes, les rêves, les désespoirs, les états d’âmes, les passions, les cris déchirants de personnages tous aussi irremplaçables que la reine de Terrasen et pourvoyeuse de feu, Aelin Ashryver Galathynius.

Rowan Whitethorn prince de Doranelle

Dorian Havilliard roi d’Adarlan

Manon Bec Noir, héritière des Becs Noirs

Aedion Ashryver général des armées et prince de Terrasen

Lyssandra métamorphe et dame de Caraverre

Elide Lochan dame de Perranth

Lorcan Salvaterre guerrier Fae de Maeve

Passer d’un point de vue à un autre avec des récits plus poignants les uns que les autres, ne jamais ressentir la hâte d’en changer et ressentir un pincement à chaque changement, voilà l’intensité, la magie de ce livre…

La puissance des protagonistes qu’à créer l’autrice est exceptionnelle et je ne parle évidement pas seulement de leurs pouvoirs.

Chaque personnalité vaut tous les mots qu’elle a écrit.

Même si ma préférence restera à jamais pour Aelin et Rowan (comme je suis prévisible), tous mon profondément touchés.

Certains ne sont pas cités mais en font tout autant parti.

On tombe directement dans un enchaînement de fuites, de missions, d’aventures, les routes font parties à part entière du roman et de ses personnages…

Aelin Galanthynius est bien décidée à reconquérir les terres de Terrasen, ses terres et son thrône mais le temps a opéré et les rumeurs de ses multiples personnalités sont parvenus aux oreilles de tout Eriléa. L’assassin d’Adarlan et la reine de Terrasen peuvent elle coexister ?

Les conséquences d’une prise de pouvoir sont irréversibles et l’appelle de sa destinée lui ouvre une autre voie qu’elle ne peut ignorer. Un chemin tracé sur une carte indique le sud et une apparition l’y incitant ne peut être laver de son esprit…

Elle doit repartir pour en revenir plus forte, plus nombreuse et plus armée.

Se pouvoir qui coule dans ses veines et envahit son esprit la terrifie autant qu’il la galvanise. Seulement la maîtrise de celui-ci en devient inévitablement une nécessité vital pour sa survie comme pour celle de tous ceux qu’elle aime et ceux qu’elle a jurée de protéger.

Elle est l’héritière de la déesse Mala, la pourvoyeuse de feu. Aelin va devoir en découvrir les enjeux et en subir les répercussions… car le fond de ce pouvoir n’en est que le commencement.

Son reflet contenu dans un miroir lui révèle ce qu’elle garde secret… une punition et une promesse qui porte un fardeau transmis par la lignée de Brannon.

Si elle ne peut voyager plus longtemps les dettes devront lui être rendu, car tous les autres devront tenir leurs promesses.

Pour Rowan, « tu m’as redonner le goût de vivre » les mot d’Aelin, sa reine, sa Carranam sont un écho que nul de peut brisé.

Guerrier centenaire, anciennement assermenté à Maeve, reine des Faes à Wendlyn, le sens de son existence a prix fin à la mort de son épouse et de son enfant.

Jusqu’à Aelin, cette femme pourvu d’un tempérament littéralement de feu, d’un sarcasme et d’une repartie à faire pâlir son partenaire Fenrys, d’un mental et d’une force d’acier et surtout d’une âme et d’une magie reflétant la sienne.

Un écho qui résonne pour lequel nuls mots n’existent pour le définir.

Un monde et une vie qu’il veut partager avec elle envers et contre tout.

Un aveuglement et un amour, qui ne prend pas racine dans une manipulation mais bien dans l’espoir.

Seulement le combat d’Aelin entre l’obligation et ce que lui cri tout son être est en suspens entre eux deux. Le respect qu’elle a pour lui et l’honneur que Rowan garde en est le rempart.

Un souffle, une voix, un murmure et la froide destinée ce tisse… « La reine qui fut promise »

Un avertissement qu’il n’oubliera pas…

Car tous sont près à la lui arracher. Il ne l’acceptera jamais.

Dorian Avilliard est devenu roi d’Adarlan

Un roi au pouvoir maintenant vivant et glacial.

Un roi dont l’insouciance s’est envolée en même temps que le château de verre et est morte dans le sang de son roi, son père.

Un roi dont la réalité a transpercé ses yeux à travers ceux d’un roi Valg s’infiltrant dans son âme.

Une réalité qui la transformer… il lui faudra découvrir, en qui ? Ou en quoi ?

Car la lignée de Brannon coule autant dans ses veine que dans celle d’Aelin. Un sang qu’il est prêt à sacrifié pour leurs rêves à tous.

Manon héritière des Sorcières Becs Noirs et chef de l’escadron des Treize est aux portes du gouffres depuis l’effondrement de la Tour de Morath. Les ordres, les choix… les ordres, la logique… les ordres, sa vision… les contradictions qui se sont ruées dans sont esprit ne cessent de la titiller.

Une mission sucide sur Rifthold, un commandement des escadrons rivales, le regard des trois matrones à l’affût, l’ombre vacillante de ses Treizes dans son sillage sonne l’heure de la vérité…

Car une reine en ce monde recherche sa vérité, alors pourquoi pas deux ?

Leur du choix est arrivé.

Elide n’a qu’un but retrouver Aelin Galathynius, sa reine, ainsi que Keleana Sardothien pour lui remettre un objet qui porte la dette d’une ennemie du passé de l’assassine, une dette de reconnaissance.

Cette objet sorti tout comme Elide de l’enfer de cette Tour pourrait bien la conduire vers la mort ou pire car son précédent détenteur en a fait sa partie de chasse.

Et quand Lorcan Salvaterre en mission personnelle décide que ce bout de femme intrigante en devient sa priorité passagère, Elide court soit vers son salut soit vers sa perte

Et celui-ci en découvrira la limite de son serment à sa reine, Maeve.

Une limite qui n’en a pas.

Aedion l’a retrouvé, sa reine, son amie, sa cousine, son double, son serment.

Enfin au côté d’Aelin, Aedion a retrouvé son souffle.

Se serment fait, il y a tellement d’années que vaut-il au yeux de sa reine, à ses propres yeux ?

Alors que le passé de celle-ci a fait d’elle une tout autre personne que dans ses souvenirs, dans ses rêves.

Une assassin, une calculatrice, une manipulatrice, une guerrière, une demi-fae dont le pouvoir dévasterait tout un monde… mais les yeux ne trompent pas, il les reconnaîtrait entre mille, les yeux des Ashryver. Et dans ces yeux Aedion se voit, se reconnaît, il s’y est assez plongé pour se rappeler son serment, pour reconnaître la personne qu’il a jurer de protéger au péril de sa vie.

Son propre chemin est la parallèle de celui de la Pourvoyeuse de feu et reine de Terrasen.

L’ignorance et l’incompréhension pourrait bien les faire se percuter.

Lyssandra est libre, libre de changer de peaux.

Metamorphe et nouvelle compagne de galère d’Aelin, elle navigue entre humanité et animalité.

Décider de suivre et combattre aux côtés de son amie n’était pas un choix mais quelque chose inéluctablement naturel.

Aillant connu une solitude dévastatrice, les liens qui s’unissent petit à petit entre eux tous dans cette aventure est un changement dont elle est plus que reconnaissante.

Son esprit cependant tangue dangereusement quand elle comprend que ses liens sont bien profonds mais aussi tellement éphémères de part la noirceur qui les poursuit. Un fil en perpétuelle tension…

Si se fils craque la promesse qu’elle aurait fait à son amie devra sauver les apparences. Sa détermination en sera la clé.

Les clés de Wyrd, eux tous devront en comprend leur importance.

Car une clé ouvre une serrure mais trois clés dont l’essence même émet un chant funeste qu’elle en sera la serrure ?

Qu’elle forme prendra t’elle réellement ?

Leur Ennemi, roi des Valgs venu d’un autre monde, d’un autre temps , Erawan, est fatalement lié a tout cela, quel que puisse être ce cela…

Tout autant que les compagnons d’Aelins…

Car les liens dans cette toile qui ne cessent de les faire se rejoindre en leur centre, chuchote continuellement.

Qu’est ce qui pousse les dieux à se dévoiler ?

Qu’est ce qui pousse ses amis, ses alliés, ses adversaires, ses ennemis dont chacun portent le regard d’une divinité sur eux, a se percuter ? …

Les souvenirs d’une autre époque s’accompagnent d’un fardeau qui leur murmure à tous.

« La reine qui a été promise »

Et si un autre ennemi était finalement plus proche qu’ils ne le croyaient ? Et si il avait le visage d’une fae qui porte le masque d’une reine ténébreuse ?

Entre pouvoir et héritage, entre prédestination et volonté, entre reine et conquérante, entre humanité et animalité il n’y a qu’un pas.

Pour un futur il faut un passé. Et dans le présent les souvenirs créer la fatalité ou l’espoir…

Une espoir dont l’idéologie, le fantasme, la chimère en sont les synonymes, la réalité en est son contraire.

Et cette vérité a un prix

Et les conséquence de celui-ci devront encore et encore être payé sur un chemin qui leur a été tracé il y a si longtemps.

Pourquoi le prix en est l’importance ?

Pour Aelin, un froid glacial s’imprime dans les eaux de ses os et les flammes de son enfer quand elle en comprend le sens…

Car son prix n’a pas de nom, la marque des bâtard, la marque des sans noms.

Les rebondissements, les choix, les relations naissantes et concrètes, les rencontres, les retrouvailles, les combats, les attentes, les secret et leurs révélations m’ont déchiré littéralement l’esprit en deux à chaque pages de tournées.

Je ne pense qu’à une seul chose découvrir comment tout va fusionner…

Une cour capable de changer le monde.

Ce tome a été une lecture intense et émotionnellement dévastatrice. Je l’ai lu en tandem avec le sixième tome, et cette expérience a rendu l’histoire encore plus immersive. L’intrigue atteint ici un niveau de tension incroyable, avec des enjeux plus élevés que jamais. Aelin doit faire face à des défis toujours plus dangereux et rassembler des alliés pour affronter la guerre qui menace Terrasen. J’ai adoré voir l’évolution de son personnage, à la fois stratège, puissante et profondément marquée par son passé. Son parcours est fascinant, et son combat pour son peuple m’a bouleversée.

Sa relation avec Rowan continue de se développer, et leur dynamique est un des points forts du roman. Leur lien est puissant, empreint de confiance et de respect, mais aussi d’une tension palpable. Toutefois, ce tome ne se limite pas à eux. Les personnages secondaires prennent une place essentielle dans l’histoire, et c’est l’un des aspects que j’ai le plus aimés. Elide m’a particulièrement marquée par sa force et son intelligence. Son évolution est impressionnante, et son parcours aux côtés de Lorcan est captivant. Manon, quant à elle, est une héroïne magistrale. J’ai adoré la voir évoluer, remettre en question ce qu’elle croyait être sa destinée et s’affirmer en tant que leader. Lorcan et Dorian apportent également une intensité particulière au récit, chacun avec son propre fardeau à porter.

J’ai aussi été totalement conquise par Fenrys. Au début froid et distant, son évolution progressive et son changement d’attitude envers Aelin m’ont énormément touchée. Il apporte une dimension supplémentaire à l’histoire et s’impose comme un personnage que j’ai adoré suivre.

Un des éléments les plus brillants de ce tome est la manière dont Sarah J. Maas parvient à imbriquer tous les détails laissés en suspens dans les tomes précédents. Certains éléments qui semblaient anodins prennent ici une importance capitale. Tout se connecte parfaitement, rendant l’histoire encore plus riche et immersive. Chaque révélation est un choc, chaque décision a des conséquences dévastatrices, et cette construction narrative est tout simplement magistrale.

Mais ce qui m’a le plus marquée, c’est la fin. Je savais que Sarah J. Maas était capable de nous briser le cœur, mais je ne m’attendais pas à être aussi bouleversée. Cette conclusion m’a laissée en miettes, incapable de penser à autre chose. Je suis passée par toutes les émotions possibles, de l’admiration à la colère, de l’espoir au désespoir le plus total.

En refermant ce livre, j’ai eu la confirmation que mon cœur appartient définitivement à cette saga, malgré les souffrances qu’elle me fait endurer. "L’Empire des tempêtes" est une lecture inoubliable, à la fois épique, déchirante et magistralement construite. Une œuvre qui prouve une fois de plus pourquoi Keleana est une saga incontournable.

Pfiou...je ressors de cette lecture un peu mitigée. Est-ce que c'est la longueur du roman ? Est-ce que c'est l'alternance des points de vue ? Est-ce que c'est le peu de scènes d'actions ? Peut-être un mélange de tout.

Objectivement, la plume de Sarah J. Maas est fidèle à elle-même : de belles descriptions, un univers au-delà de ce qu'on peut imaginer, des révélations bien placées. Alors pourquoi ai-je trouvé ça lent et poussif ?

Bon au-delà de cette lenteur, quel bonheur de voir évoluer les personnages ! On retrouve cette ambiance de petit groupe soudé et éclectique.

Je pense que je vais faire une petite pause dans la fantasy et me changer les idées avec une lecture moins dense.

Je ne sais pas comment l'auteur parvient à créer et développer un monde imaginaire et mieux l'histoire ne s'essoufle pas

Comment résumer ce tome ? Les feux de l’amour façon SJM 😂

Beaucoup d’actions, de révélations qui mettent en place l’intrigue de cette deuxième partie de l’histoire mais surtout de la romance en veux tu en voilà. Vraiment, des couples partout, tout le temps. Des prévisibles, des loufoques, des adorables et beaucoup de tensions sexuelles sur un pauvre navire qui n’en a pas demandé tant.

Pas le meilleur tome de la série mais bien mené, on ne s’ennuie pas malgré l’action présente avec parcimonie et beaucoup de dialogues.

Évidemment les 100 dernières pages… pas pour les sensibles… Un jour je saurais me préparer aux souffrances que nous imposent SJM avec son esprit machiavélique… Le sacrifice d’Aelin est si cruel et magnifique à la fois.