Commentaires

Quel tiraillement ! Tout est magnifique dans ce livre : l'univers dans lequel on est plongé, le personnage de Heiiti assez spectaculaire, les thématiques abordées originales et très bien menées. De très très bons éléments. Mais la romance toutefois... J'ai vraiment adoré la cohabitation forcée, les caractères opposés des deux protagonistes, la manière dont ils se rapprochent avant de se repousser. Bref, tout ce que j'aime. En revanche, tout va trop vite entre eux pour moi ; comme dans beaucoup de romances. Alors si je prends ce livre comme une romance je suis un peu déçue. Mais si je le prends, et c'est pour cette raison que je l'ai lu, comme un livre qui évoque ce que très peu de livres évoquent, le handicap invisible, alors je suis ravie. Il n'est pas précisé dans le résumé de quelle maladie souffre la protagoniste, et la découvrir, la vivre avec elle tout au long de ces pages, est une épreuve. Alors oui, la romance m'a un peu déçue, mais tout le reste est véritable unique.

Kia ora c'est la découverte de la Nouvelle Zélande, ses habitants, ses paysages et ses coutumes. En revanche les sports extrêmes c'est pas pour moi ^^

Mais c'est aussi un message d'espoir, d'amour, d'amitié et de découverte de soi.

Je recommande.

J'ai adoré cette lecture ! En plus de nous plonger dans la Nouvelle-Zélande, on découvre le quotidien d'une personne qui souffre d'un handicap. J'ai adoré la relation entre les personnages et la révélation de fin ! Le livre était très agréable à lire en plus c'est écrit gros, un plaisir pour moi qui est une dyslexie légère.

En tout cas, foncez lire ce livre qui nous fait passer par toutes les émotions !

Un énorme coup de cœur pour cette sublime histoire je n ai qu une envie c est découvrir la nouvelle Zélande... c est malin...

Une romance qui fait du bien.

Il s'agit là du premier roman de Céline E. Nicolas que je lis (bien que la plupart de ses livres fassent partie de ma PAL sans fin :o) et j'ai beaucoup aimé ma lecture.

La Nouvelle Zélande occupe une place particulière dans mon coeur et j'avais adoré visiter l'ile au nuage blanc il y a quelques années. D'ailleurs, j'ai depuis ce voyage une histoire qui me trotte en tête, mais chut! ;)

De fait, j'étais ravie de découvrir une nouvelle histoire qui s'y déroulait!

L'intrigue se déroule sur l'ile du Sud, plus particulièrement dans la région de Queestown et d'Arrowtown (deux endroits que j'avais beaucoup aimé!). J'étais donc contente de découvrir sur le papier les lieux que j'avais tant aimés (et vive FergBurger, même si j'avais peiné à digérer le mien ><)

C'est une histoire à deux voix et nous suivons Heiiti puis Jehb. J'ai vraiment apprécié découvrir l'histoire des protagonistes, très différents. Heiiti est une métis maorie "pakeha" (terme historique utilisé pour désigner les "blancs" et qui est toujours d'actualité pour les locaux) et Jehb est un guide pour les sports à sensation fortes. Ils sont diamétralement opposés: elle vit recluse dans sa maison, accablée par les dettes et malade. Lui est un fêtard qui profite de la vie et des filles.

Pourtant, le destin va les réunir.

Ici, nous retrouvons le trope "collocation forcée" puis "fake-dating". En effet, Heiiti a besoin d'un colloc pour payer ses factures et Jehb veut tout faire pour rester en NZ et pour cela, il est même prêt à mentir aux services d'immigration.

Dès les premières pages, nous comprenons qu'Heiiti est malade et, presque comme une curiosité malsaine, nous voulons savoir quel est le sombre mal qui la ronge. L'auteure nous 'l'apprend plus tard dans le roman et met en lumière un handicap invisible et cela était très intéressant. Elle est très pédagogue dans ses propos et j'en ai appris plus sur le sujet. Néanmoins, pour ne pas spoiler, je n'en dirai pas plus ! ;)

La jeune femme est combattive et veut à tout prix s'en sortir. Pour cela, elle est aidée de son ami d'enfance, un Maori pur souche et qui a l'air d'être fort sexy ! C'est d'ailleurs lui qui la met en relation avec Jehb.

J'ai beaucoup aimé leur relation et je les ai trouvé très touchants. Cependant, j'aurais voulu plus de passages où ils apprennent à se découvrir, ici j'ai trouvé que les réflexions du style "elle me plait, merde, qu'est ce que je fais" arrivent presque trop vite. Certains passages sont passés sous silence et j'ai trouvé cela dommage. A mon sens (et cela n'est que mon avis), le roman aurait gagné en profondeur ainsi. Quelques passages ont aussi, à mon sens, bénéficié d'une certaine facilité de scénario mais rien de bien méchant. Cela a contribué à rendre la lecture légère alors qu'elle était déjà assombrie par la terrible maladie d'Heiiti.

Il en va de même pour le secret de Jehb. Je ne l'avais pas forcément venu venir mais idem, j'aurais apprécié plus de développement sur certains points. J'ai toutefois trouvé que le jeune homme était sympathique, attendrissant et qu'il se donnait à 100% dans tout ce qu'il entreprenait. J'ai compris certains de ses états d'âme, en particulier vis à vis de son meilleur ami et, à sa place, je ne sais pas comment j'aurais réagis.

En parlant de Tanoai, il est bien plus présent que la propre famille d'Heiiti et, bien que cela ne m'ait pas dérangée, cela m'a attristée pour Heiiti. Puis j'ai compris qu'elle tenait ses proches à l'écart car elle veut s'en sortir seule et ne pas les inquiéter outre mesure. L'auteure a construit un personnage fort et sensible, malgré les adversités de la vie.

Enfin, petit bémol (mais ça, c'est mon côté prof d'histoire-géo), la capitale est bien Wellington et non pas Auckland comme évoqué à un moment. Oups x) Toutefois, je souligne les recherches effectuées par l'auteure sur le pays et ses traditions. Etant passionnée par l'histoire de ce pays, j'ai reconnu pas mal de choses évoquées et j'en étais ravie. :)

Néanmoins, malgré ces quelques petits points qui m'ont chiffonnée, j'ai passé un très bon moment sur l'ile du Sud, en compagnie d'Heiiti et de Jehb. J'étais triste de leur dire au revoir car leur histoire était très belle et il me tarde de lire les autres romans de Céline E. Nicolas!

À peine la lecture commencée, vous êtes déjà transporté en Nouvelle Zélande. L’écriture est imagée, presque cinématographique. J’ai entamé ce voyage aux côtés de personnages touchants, complexes et parfois agaçants. Au fil de la lecture, leur passé et leurs fragilités se dévoilent peu à peu.

J’en suis venue à être inquiète , et à me ronger les ongles. Je me méfie de cette auteure qui a une prédilection pour les sad end…ou pas ! A vous de le découvrir.

une excellente romance j'ai passé un excellent moment de lecture lu d'une traite.

Très belle histoire. Heiiti,jeune fille malade se voit contrainte de chercher un colocataire pour payer le loyer. Elle fera la connaissance de jebh, jeune homme ultra sportif qui se shoote a l adrénaline. De la, commencera une histoire pleine de rebondissements.

La Nouvelle-Zélande est un pays que j’adorerais découvrir, et ce roman n’a fait que renforcer mon envie de partir à la découverte de ces terres sauvages. La présence dans le texte de mots en maori nous immerge complètement dans cette belle culture. J’ai adoré. Et le titre même, l’expression Kia Ora, littéralement “soit sauf”, est pleine de sens, pour ma part je pense pouvoir dire que j’en ai saisi la portée…

Je me suis très vite attachée aux personnages : que ce soit à Heiiti, sa douceur, sa fragilité mais aussi son envie de vivre et sa lutte quotidienne face à sa maladie invisible ; à Jehb, bien décidé à s’affranchir de son passé et à rester dans son pays d’adoption, ou encore à Tanoai, dont l’amitié avec les deux personnages est si précieuse. Un trio qui dégage beaucoup d’émotions.

J’ai adoré le côté colocation forcée, les joutes verbales entre Heiiti et Jehb, leur rapprochement, la façon dont il a commencé à prendre soin d’elle, et le regard différent qu’elle a commencé à porter sur lui. Il n’y a pas à dire, ils s’accordent parfaitement, et plusieurs scènes m’ont fait rire de bon coeur. D’autres m’ont mis les larmes aux yeux et le coeur en détresse !

Une lecture toute en douceur, qui aborde plusieurs sujets dont la maladie de Heiiti, que je connais de nom mais dont je ne soupçonnais pas les symptômes, avec, je pense et d’après quelques témoignages, beaucoup de justesse.

Mon seul regret : je serais bien restée avec eux un peu plus longtemps, alors j’ai trouvé la fin un poil rapide…

Merci encore à Céline pour cette lecture !

Nous voici plongé dans les us et coutumes de la Nouvelle-Zélande.

Les paysages si bien décrit qu’on a l’impression de les avoir devant soit.

Une écriture fluide.

Les combats menés par les deux héros, bien que différents prennent une dimension importante dans leurs vies sans que cela alourdisse la lecture.

Une très belle visite dans le pays des Kiwis.