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Encore ébranlés par l’attaque-surprise des créatures du pays d’Asgorth, ils restèrent groupés, mais accélèrent le pas. Après une courte marche, ils débouchèrent dans un espace circulaire ceinturé de hautes parois rocheuses.

- Mauvais chemin, déclara Flarente, cédant à la panique. C’est bien le temps de nous perdre encore!

- Mais… je n’y comprends rien! s’exclama Jolick, confus. La carte indique que nous sommes au bon endroit.

Les autres examinèrent à leur tour la représentation holographique d’Airazeth.

- Jolick a raison, nous sommes exactement vis-à-vis du point bleu, confirma Kiam en tournant sur lui-même pour observer l’endroit. La disphéïde devrait être ici…

- Tu vois un endroit où elle pourrait être, toi? Il n’y a que du sable et de la roche, geignit Flarente.

- Là! Jushte là! s’écria Pottam en pointait le sol.

Regardant à leurs pieds, ils reculèrent tous d’un bon mètre lorsqu’ils aperçurent une main brunâtre pointant hors du sol. Darius ordonna à Kiam de frapper le membre décharné, mais son neveu s’y opposa.

- Cette main est… différente. Elle n’a pas la même couleur et ne semble pas vouloir s’en prendre à nous, allégua-t-il en s’approchant prudemment de la main brune, qui demeurait immobile.

À leur grand étonnement, lorsque Kiam ne fut qu’à quelques centimètres de la main, au lieu d’agripper sa cheville, elle lui présenta plutôt sa paume.

- Ch’est bishare cha! s’exclama Pottam en descendant de son perchoir.

Sous les regards soucieux des autres, il renifla la main, lui souffla dessus et lui lança des poignées de sable sans qu’elle ne réagisse.

- On dirait qu’elle attend quelque chose, mentionna Kiam, l’arme tendue devant lui.

- Elle a peut-être faim, suggéra Flarente en fouillant dans son sac pour y prélever un morceau de pain.

- Et quoi encore! Tu veux qu’elle l’avale comment, sa bouchée de pain? ironisa Kiam.

Ignorant les propos de son ami, la demoiselle balança le morceau de pain, qui tomba près de la main stationnaire.

- Eh bien, faut croire qu’elle n’a pas faim, conclut Jolick.

La beloute ramassa le quignon et, avec prudence, s’étira pour le déposer au creux de la main inerte. Celle-ci se referma soudainement sur la patte de Pottam et, avant que quiconque n’ait eu le temps de réagir, son petit corps poilu disparut dans les particules poudreuses.

- Pottam! hurla Flarente, paniquée, s’effondrant au sol. Pottam, tiens bon!

Tandis qu’elle creusait frénétiquement dans le sable, la main brune desséchée surgit de nouveau, faisant crier de peur Flarente, qui tomba à la renverse sur ses fesses. Sous les regards épouvantés du groupe, la main s’immobilisa de nouveau, paume vers le ciel.

- Je… je crois que j’ai compris ce qu’elle veut, présuma Kiam.

- Je pense qu’on l’avait déjà compris, répondit Darius en faisant les cent pas dans l’impasse. Tu aurais dû la brûler avec ton arme, Kiam!

- Si elle voulait vraiment nous enlever, elle aurait eu la chance à plusieurs reprises de saisir Pottam. Pourtant, il n’a été emporté que lorsqu’il a volontairement déposé sa patte dans cette… cette chose, dit Kiam.

Un silence plana dans le pays d’Asgorth.

- Peut-être qu’elle souhaite nous conduire quelque part, supposa Jolick.

- À la première disphéïde…, murmura Flarente.

Une onde d’excitation balaya le groupe. Serrant son arme contre lui, Kiam dit :

- Il n’y a qu’une façon de découvrir ce qu’elle attend de nous.

Prenant une grande inspiration, Kiam posa sa main sur celle de la créature camouflée. Il fut aussitôt attiré vers le sol, puis entraîné dans le sable à vive allure. Il eut la sensation que des vents violents le fouettaient et que la pression exercée sur son corps allait l’écraser.

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chapitre un la lune brillait dans la noirceur d'un ciel d'automne,nimbant d'une lueur argentée les maison d'un village niché au creux d'une vallé. au travers des carreaux d'une fenetre filtrait un rayon lumineux qui séchouait sur un lit,dont les couverture en bataille recouvraient les jambes d'un jeune garcon assis en tailleur.

les paupiere enflées,les yieux rougis et les narine irrités par une utilisation excessive de papier mouchoirs, celui-ci fixait d'un regard brouillé par les larmes un coffret en bois posé devant lui. d'une main tremblotante,il le saisit et, du bout de son index,effluera le sillon méandreux qui décrivait de facon sophistiquée la lettre V gravée a meme la surface arrondie du couvercle.

soupesant le boitier, il le retourna maintes fois avant de se décider a en vérifier le contenu. il dégagea enfin l'oeillet doré le fermoir en forme de crochet et le souleva le couvercle bombé qui bascula en un long grincement sur ses charniere . sitot, une sensation de fourmillement envahit les mains du garcon. l'étrange engourdissement se diffusa ensuite dans son corp tout entier a une vitesse fulgurante, tel un intense frisson lui faisant un tel un intense frisson lui faisant dresser les poils de la nuque, pui s'estompa peu a peu.

Effrayé,le garcon demeura immobile,retenant inconsieusement sa respiration.une fois le curieux phénoméne disparue, il jeta un oeil a l'intérieure du coffret en bois. au fond de ce dernier reposait une splendide pierre rouge.avec une infinie délicatesse,il s'empara du prisme hexagonal en la saisissant par les deux extrémités proéminentes, puis l'éleva dans latrajectoire du rayon de lune.

alors qu'il admirait la surface miroitante de la gemme d'un rouge intense et transluside,il pecut un subtil flamboiment a l'intérieur de celle-ci. rapprochant le mystérieux objet de ses yeux, le garcon constata qu'une lueur semblable a la braise du feu en son centre.

hypnotisé apr la beauté de la pierre écarlate,il la comtempla pendant de longues minutes avant de s'effronder en pleurs sur son lit, étouffant dans son orreiller le mot qui lui venait en tete:-pourquoi? -pourquoi le soleil avit tiré sa révérence depuis déja depuis plusieur heures l'orseque kiam s'était enfin décidé a aller se coucher ce-soir la comme il passait devant le bureau de son pere ,darwen, il avit été surprit d'entendre un bruit assourdi alors qu'il le savait parti en voyage d'affaires pour plusieur jours(serait-il revenu plutot que prévu?) s'était alors questionné kiam. intrigué,il avait frappé quelques coups a la porte,mais n'avait obtenue aucune réponse.il s'était alors empressé de jerté un coup d'oeil a la piece par l'entrebaillement afin de sassurer qu'aucun intru ne s'y trouvait . son regard avit aussitot été attiré par des trainées rougeatre parsement le plancher.envahit par une folle inquiétude,kiam c'est précipité dans la piece pour y découvrir son pere inconsient, étendu, sur le sol derriere le bureau d'acajou,ses yeux sans éclat fixant le planfond sous le choc de la macabre découverte, la vision de kiam s'etait embrouiller jusqu'a complétement devenir noire.ses jambes,molles comme du coton,avait céder sous son poids,et il s'était effondré sur le corp inerte de son pere.(non! papa, revielle toi!) avit t-il crié en secouant son pere. mais l'homme nnavait point réagi, demeurait immobile,les trait figés dans une expression de stupeur,(papa! tu ne peux pas mourir! tu ne peut pas me faire ca!) pleuranta chaude larmes, kiam avait chercher a se saisr de la main gauche de son pere et avait sursauté de dégout en sentant une matiere poisseuse l'en recouvrir.il avait alors remarquer des boursouflures de chair sanguinolente, la ou auraient du se trouver l'annulaire, le majeur et l'index. les trois sectionner avait disparu, de meme que la dague ornant l'un deux depuis de nombreuse années. pris d'un haut le couer,kiam avait relaché le main mutilée,elle était retombée mollement sur le sol, ou une flaque de sang s'était accumulée.

dans un état de boulversement intense,kiam avit perdu toute notion de ce qui l'entourait. il n'avait pas remarqué qu'une silhouette vetue d'une tunique africaine s'était profiler dans l'embrassure de la porte.abélone l'avait interpellé,mais il n'avit pas daigné répondre, puisque sa voix lui avait semblé n'etre qu'un lointain écho venant d'un autre monde.la femme a la peau couleur de café s,était aussitot alarmée du mutisme inhabituel de kiam,dont elle prenait soin depuis onze ans,assumant en quelque sorte le role de sa mere ,mériziel,décédée alors que le garcon n'avit que deux ans, en découvrant la gravité de la situation,abélone s'était précipitée au chevet de darwen et avit palper son cou dans l'espoir d'y déceler un pouls.elle avait tenté de ranimer l'homme,mais devant l'implacable vérité,elle avait du se résigner a cesser de se battre contre l'ennemi le plus redoutable:la mort.(ce n'est pas possible,ce n'est pas possible!)avait-elle répéteé en s'effondrant sur le sol, s'abondonnant a son chagrin. ses yeux,qui s'étaient attardés sur les sombre taches maculant le plancher,s'étaient soudainement écarquillés de frayeur.se relevant d'un bond,abélone avit suivi les trainées de sang jusqu'a la bibliotheque débordant de livres poussiereux(saperloche!sétai-elle écriée, visiblemnt agitée.il ne faut pas rester ici.allez,vient kiam!) étendu sur le torse de son pere, pleurant ton son saoul,le garcon n,avit nullement réagi aux ordre de ébélone.elle avit tenté de l,attirer vers elle,mais il s'était accroché avec l'énergie du desepoir a la dépouille de darwen .sa préceptrice n'avait eu d'autre choix que de le prendrede force, s'attirant les foudre de kiam, qui s'était furieusement débattu en hurlant a s'en faire éclater les poumons.alors qu,il s'entait la veste de son pere lui glisser des doigts, il s'était agrippé au bras droit de darwen,en exécutant cette manoeuvre déssespérée, sa main avait buté contre un onjet dissimulé sous le membre inerte de l'homme.sans réfléchir,il s'était empressé de s'en emparer.abélone avait tirée profit de se court moment d'innatention,et kiam s'était vue tros facilement séparé du corp sans vie de darwen.furieux,il s'était démené en pestant contre sa turice tandis qu'elle transportait jusqu'a sa chambre.ce n'est qu'a cette endroit qu'elle l'avait libéré de son emprise et avait brutalement refermé la porte dérriere elle, manquant de peu de casser le nez de kiam, qui s'était élancé a sa suite.offensé par l'impolitesse d'abélone,il avit tourné la poignée et hurlé de fureur en constatant qu'elle était verouillée. profondément affligée,abélone était demeurée assise dans l'escalier,le coeur brisé par les pleurs du garcon,qui donnait des coup de poing contre la porte en hurlant de rage et de chagrin.les joues innondées de larmes,elle s'était mentalement exhortée a redescendre a l'étage inférieur afin de procéder a la dure tache qui lui incombait.

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un bruit suspect dans une piece qui devrait etre vide.un homme s'y trouve ,mort.poussé par la curiosité, son jeune fils, kiam tasgall,ira ouvrir la porte a une spirale d'événements qui l'entraineront dans un monde inconnu ou li fera la connaissance d'étranges personnages

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-Beurk! s'exclama Flarente en plissant le nez.

Jolick fixait d'une mine ahurie les restes décomposés du bas, cherchant à comprendre ce qui avait bien pu se produire.

-Eh bien, bravo! Quel excellent druide tu fais! Rappelle-moi de ne jamais recourir à tes services, railla Flarente.

-Jolick? Me donnerais-tu la permission de vider le reste de la potion sur la tête de cette chipie? demanda Kiam, une lueur machiavélique dans les yeux.

-Essaie, juste pour voir, le menaça la demoiselle, dardant sur lui un regard noir.

L'apprenti-druide protégea le bol contenant la potion défaillante, au cas où l'un de ses deux compagnons mettrait ses menaces à exécution.

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