Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 946
Membres
1 009 078

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Il roula hors du lit et s’étira comme un gros chat. Il enfila son pantalon et se rendit dans la salle de bains où Brodie pataugeait dans une grande baignoire de cuivre. Des filets de fumée montaient de l’eau et le colosse se frottait le dos avec une brosse à long manche en fredonnant.

Connor se racla la gorge.

Brodie se retourna et lui sourit, sans même faire l’effort de paraître coupable.

— Le bonjour, mon garçon ! J’espère que ça n’t’ennuie pas, mais en tant que valet, j’ai pris la liberté de sonner pour ton bain.

— Mon bain ? répéta Connor.

Brodie laissa la brosse retomber sous l’eau et passa avec enthousiasme un savon rond sous son aisselle poilue.

— Ouais, et tu pourras en profiter dès qu’j’aurai fini.

Brodie plongea la tête sous l’eau pour rincer ses nattes et Connor découvrit la couche de crasse sur la surface. Il réfléchit à la perspective de maintenir son ami sous l’eau jusqu’à la dernière bulle… mais il ne trouvait pas d’idée pour cacher le corps.

Il regardait pensivement le rebord de la fenêtre pour estimer sa taille quand Brodie resurgit en chassant l’eau de ses yeux comme un épagneul mouillé.

Connor renifla et remarqua pour la première fois l’arôme succulent de bacon qui flottait. Son estomac grogna. La veille, au dîner, il s’était demandé comment un homme pouvait se remplir l’estomac s’il devait utiliser une fourchette minuscule à chaque bouchée.

Il ne lui fallut pas longtemps pour repérer le plateau posé sur le lit de Brodie, un plateau couvert de vaisselle vide. Connor observa les miettes éparses et soupira.

— Je vois que tu as aussi pris la liberté de sonner pour le petit déjeuner.

— Ouais, et j’avoue qu’il était bon ! Le bacon était peut-être un peu trop cuit. Je crois que j’en parlerai à la cuisinière.

Brodie leva un sourcil d’un air malin.

— Il paraît qu’elle est célibataire et disponible pour un mari.

— Il paraît aussi qu’elle pèse près de cent kilos et peut arracher la tête d’un poulet à mains nues.

Le sourire de Brodie prit une nuance grivoise.

— J’aime les femmes qui ont de la poigne.

Connor serra et desserra les poings, luttant contre son envie de donner à son compagnon un exemple de sa propre poigne autour de sa gorge jusqu’à ce qu’il rende l’âme.

Avant que Connor ait le temps de détourner les yeux, Brodie se leva dans la baignoire. La vue de son corps velu dégoulinant d’eau dans toute la gloire de sa nudité lui coupa l’appétit. Le serpent tatoué sur le bras massif du voleur parut lui adresser un clin d’œil.

— Tu veux bien m’passer cette serviette, mon gars ?

— Mais bien sûr, répondit Connor en saisissant l’étoffe sur un tabouret avant de la lancer à la tête de son complice. Puis-je faire encore autre chose pour toi ? Cirer tes bottes ? Amidonner ta chemise ? Natter tes cheveux ?

Brodie récupéra la serviette, et sécha sa poitrine massive et poilue.

— Ben, puisque t’en parles, j’veux bien de l’aide pour me couper les ongles de pied avant qu’ils envoient ton tailleur. Le pauvre homme attend déjà d’puis une heure, mais j’ai l’orteil qui frotte contre ma botte depuis…

Connor n’attendit pas d’en savoir davantage et saisit son ami par le bras pour le sortir de force du bain. Il le traîna, dans un sillage d’eau, à travers la chambre et le jeta dans le couloir avant de refermer la porte.

Connor s’appuya contre le battant pour faire barrage de son corps. Il entendit alors le cri strident d’une servante, un grand bruit de chute d’objets et la voix joviale de Brodie.

— Eh, le bonjour, jeunette ! Vous voulez voir mon serpent danser ?

Connor secoua la tête et pria pour la pauvre soubrette que son ami fasse bien référence au tatouage sur son bras.

Afficher en entier

Il s'accorda enfin ce qui le hantait depuis son entrée dans la chambre, depuis que Sophie les avait interrompus sur la route écossaise froide et rocailleuse. Il noua ses mains dans ses mèches soyeuses et posa ses lèvres sur les siennes.

Pamela frissonna sous une vague de désir aussi inattendue que puissante.

(...)

Elle n'aurait su dire comment elle se retrouva allongée sur le dos en dessous de lui, les bras noués autour de son cou, les doigts entremêlés dans ses cheveux soyeux. Il était comme une ombre sur elle, bloquant la lumière de la lune, et elle se sentait s'enfoncer dans le matelas doux sous le poids de son corps.

Il inclina les lèvres, encore et encore, son baiser un peu plus profond chaque fois jusqu'à ce qu'elle accueille sa langue veloutée. La saveur était encore plus envoûtante que dans son souvenir, fumée et sucrée. Elle gémit, incapable de se retenir de passer sa propre langue le long de ses dents ébréchées.

Cette tentative timide lui arracha un grognement de gorge.

- Oh, petite, vous tentez de me rendre fou ?

source site "dans notre petite bulle"

Afficher en entier

Connor qui dépouille les Miss Darby :-)

Il ne perdit pas de temps à scruter le bijou. Il se contenta de mordre dedans avant de le jeter d'un air dégoûté.

- A quel petit jeu dangereux jouez-vous, toutes les deux ?

- Un jeu que nous avons l'intention de gagner, répondit-elle tandis que sa main glissait vers son réticule.

Il plissa les yeux et l'étudia pendant un instant, puis il tendit la main.

- Donnez-moi votre culotte.

Pamela interrompit brusquement son geste. Derrière elle, Sophie hoqueta.

- Je vous demande pardon ? dit l'aînée en scrutant le brigand avec une suspicion nouvelle.

(...)

- Vous m'avez compris, jeunette. Retirez votre culotte et donnez-la-moi.

Elle lui décocha un regard noir ?

- Comment résister à une requête si romantique ? Avec ce verbe habile, aucune femme ne doit se refuser à vous.

- Oh je connais d'autres façons de vous la faire enlever, mais je doute que vous vouliez que je vous montre. (Il lança un regard rapide vers Sophie). Du moins pas pour le moment.

source site "dans notre petite bulle"

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode