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«C'est un de ces soirs où je trayais les vaches dans la lumière du soleil couchant que je l'ai vu pour la première fois. Un canot est apparu, descendant en silence la rivière. Un homme torse nu, à la peau cuivrée, ramait sans se presser, se laissant pousser par le courant. Il paraissait à peine plus âgé que moi. Nos regards se sont croisés. Il n'a pas souri. Et je n'ai pas eu peur.»
Ce roman raconte l'histoire d'Almanda Siméon, une orpheline amoureuse qui va partager la vie des Innus de Pekuakami. Elle apprendra l'existence nomade et la langue, et brisera les barrières imposées aux femmes autochtones. Relaté sur un ton intimiste, le parcours de cette femme exprime l'attachement aux valeurs ancestrales des Innus et le besoin de liberté qu'éprouvent les peuples nomades, encore aujourd'hui.
"Après le souper, armée de mon seau, je me suis dirigée vers les pacages, espérant en secret apercevoir celui qui me paraissait si différent de tous ceux que j'avais connus et que j'imaginais comme une sorte de vagabond se laissant guider par le vent. J'étais jeune, bien entendu. Entourée d'êtres prisonniers de leurs terres, je découvrais quelqu'un de libre. Cela était donc possible."
La narration puissante et émouvante de Michel Jean m’a transporté dans un voyage époustouflant à travers les splendides paysages du Péribonka, les traditions riches des Innus et les émotions intenses d’Almanda, l’arrière-grand-mère de l’auteur. Kukum, signifie grand-mère en langue innue. J'ai été profondément touchée par la liberté de ce peuple et la beauté de leur mode de vie, désormais disparu. Cette lecture est ponctuée de moments déchirants, révélant les injustices et les souffrances subies par les peuples autochtones.
Kukum m’a fait pleurer deux fois. Par la beauté des premiers instants et par l’horreur de la fin.
L’histoire de la grand-mère de l’auteur, Almanda Siméon née en 1882, qui épousa un jeune indien Innu. Une histoire d’amour magnifique au milieu du grand nord canadien. Une belle, très belle histoire qui aurait pu durer toujours.
Jusqu’à ce que Michel Jean nous rappelle brutalement à la réalité…
Et à l’annihilation de peuples premiers en détruisant les forêts, les lacs, la langue et les tradition par le « progrès », la sédentarisation, l’alcool, la langue, les pensionnats…
Un livre aussi beau que terrible
https://www.noid.ch/kukum/
J’ai absolument adoré cette histoire. L’écriture est très belle, la lecture si fluide et agréable. Grâce à Kukum, Michel Jean rétablit enfin la mémoire des peuples autochtones que le Canada a essayé d’ensevelir et redécouvrir leur réalité, leur coutumes et certains de leur contes était très émouvant. Je vais sans aucun doute lire un autre livre du même auteur, qui, j’espère, me replongera dans la beauté des paysages du Québec et la relation que les innus entretiennent avec le territoire. Je recommande vivement cette histoire.
J’ajoute également que j’ai eu un coup de cœur pour la narratrice de la version audio dont voix concordait à merveille avec l’histoire!
J'adore cet auteur qui m'embarque toujours avec facilité dans ses histoires.
J'aime le sujet, un sujet dont on sent qu'il fait partie de son histoire qu'il nous confit précieusement. A la découverte d'un peuple fascinant dont j'admire le respect à la nature. Les émotions sont très fortes, la nostalgie, la colère , la joie, l'amour de la nature, c'est transcendant.
Un des meilleurs romans pour commencer à s'intéresser à la littérature québécoise. Ce livre a fait coup de poing dans le milieu de la littérature autochtone au Québec et est l'un des meilleurs vendeurs en librairie et ce depuis sa sortie.
On y rencontre un couple, composé d'une femme blanche et d'un Innu du Pekuakamiulnuatsh (lac Saint-Jean). On assite à leur histoire d'amour, à la naissance de leurs enfants et, surtout, à leur désespoir de voir le territoire s'étioler et se capitaliser sous leurs yeux. Un roman magnifique, mais déchirant. À lire absolument, de préférence dans la forêt.
Michel Jean raconte l’histoire sans fioritures. D’ailleurs, en le lisant, j’ai commencé à me demander pourquoi ce livre était devenu un succès de librairie. J’ai fini par le comprendre : l’auteur est parvenu à me toucher et m'émouvoir. En refermant le livre, je voulais faire ce que maints lecteurs ont déjà fait, le recommander à d’autres.
En plus , ce livre éclaire le lecteur sur comment était la vie d’un autochtone au Québec il y a cent ans.
Résumé
«C'est un de ces soirs où je trayais les vaches dans la lumière du soleil couchant que je l'ai vu pour la première fois. Un canot est apparu, descendant en silence la rivière. Un homme torse nu, à la peau cuivrée, ramait sans se presser, se laissant pousser par le courant. Il paraissait à peine plus âgé que moi. Nos regards se sont croisés. Il n'a pas souri. Et je n'ai pas eu peur.»
Ce roman raconte l'histoire d'Almanda Siméon, une orpheline amoureuse qui va partager la vie des Innus de Pekuakami. Elle apprendra l'existence nomade et la langue, et brisera les barrières imposées aux femmes autochtones. Relaté sur un ton intimiste, le parcours de cette femme exprime l'attachement aux valeurs ancestrales des Innus et le besoin de liberté qu'éprouvent les peuples nomades, encore aujourd'hui.
(Source : Libre Expression)
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