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Kahlan mobilisa toute sa volonté puis s'adossa au mur. Elle remonta sa robe jusqu'à la taille, releva les genoux, écarta les jambes et regarda bravement le costaud.

_Touche-moi!

Trois autre types tendirent le bras.

_j'ai dit un à la fois! cria l'inquisitrice en chassant ces mains exploratrices. (Elle chercha le regard du colosse et demanda:)Quel ton nom?

_ Tyler...

_Un à la fois, c'est la règle. Tyler, touche-moi...

Un concert de souffles rauques résonna contre les murs. Tyler tendit la main et obéit à Kahlan, qui dut lutter contre sa répulsion pour garder les genoux écartés. Espérant que l'homme ne la sentirait pas trembler, elle se força à respirer lentement.

Tyler sourit de toutes ses dents quand sa grosse paluche se posa à l'endroit le plus intime de la jeune femme.

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— Bon sang de bon sang… J’ai toujours su qu’il n’y avait qu’une lettre de différence entre un Sourcier et un sorcier, mais là, il m’en bouche un coin ! (Zedd fronça les sourcils.) Tu es en nage, ma fille. (Il palpa le front de l’Inquisitrice.) Pourtant, tu n’as pas de fièvre… Pourquoi cette abondante transpiration ?

— Eh bien… il faisait très chaud dans ce lieu…

— Et tes cheveux emmêlés ? Quel sorcier à la noix, ce Richard ! Avec moi, tu aurais eu une belle chevelure lisse et soyeuse. Ce garçon a encore besoin de travailler…

— Zedd, fit Kahlan en rosissant, ils n’étaient pas emmêlés, au début…

— Qu’avez-vous fait jusqu’à l’aube ? demanda Zedd, soupçonneux. Tu as proprement découché, ma fille ! Qu’avez-vous donc fichu ?

Kahlan sentit ses oreilles rougir et se félicita d’avoir retrouvé sa chevelure.

— Eh bien… Comment dire ? À quoi passez-vous le temps avec Adie, la nuit, quand vous ne dormez pas ?

— Hum… Nous… (Le sorcier brandit un index décharné.) Nous parlons ! Voilà, c’est ça… Nous avons de longues conversations.

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Le Sourcier approcha du reptile volant, qui exhala un petit nuage de fumée grise.

— Richard, je suis sacrement contente de te revoir ! Comme tu m’as appelée avec le croc, je suppose que tu t’es encore fourré dans la mouise.

— Ça, tu peux le dire, mon amie. Tu m’as manqué, Écarlate…

— Dommage que j’aie déjà mangé… Mais un voyage m’ouvrira l’appétit. Après, je te dévorerai.

Richard éclata de rire.

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 Certains dirigeants prêchent la non-violence et condamnent même la légitime défense. La meilleure intention du monde, non ? Hélas, ça conduit souvent à des massacres, alors que la menace d’une riposte aurait empêché l’attaque et renforcé la paix. Ces gens placent l’idéalisme au-dessus des réalités de la vie. Ils accusent les guerriers d’être assoiffés de sang, alors qu’ils auraient pu éviter une boucherie.

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 Trop de gentillesse peut encourager la paresse et rendre indolent un esprit pourtant sain. Plus on aide les gens, plus ils ont besoin d’assistance. Si ta bienveillance n’a pas de limites, elle les privera de la discipline, de la dignité et de la confiance en soi dont ils ont besoin. Ta bonté finira par les dévaloriser.

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Il entra dans le coche, s’assit à côté de Ruben et ferma la portière pour barrer le chemin aux flocons de neige tourbillonnants.

— Ne vous gênez pas…, marmonna Ruben. Faites comme chez vous.

— Bon, à présent, vous allez m’écouter ! grogna Ahern, ignorant la remarque acerbe. Vous étiez malades tous les deux, et vous m’avez chargé de vous conduire chez trois femmes… (Il baissa le ton.) Des magiciennes !

— Pas étonnant que nous ayons la tête en capilotade ! couina Ruben. Vous nous avez conduits chez des magiciennes… et elles nous ont envoûtés !

— Du calme, vieux hibou ! Ruben, vous êtes un sorcier. Et vous, Elda, une magicienne.

— Moi, un sorcier ? s’écria Ruben. Impossible ! Sinon, vous seriez déjà transformé en crapaud !

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— Que voulez-vous dire ? Combien de temps avons-nous dormi ? Et qui sommes-nous ?

Ahern leva les yeux au ciel, l’air accablé.

— Vénérés esprits du bien, comment me suis-je fourré dans ce pétrin ? (Il s’ébroua.) Vous dormez depuis hier. Toute la nuit. Plus la journée d’aujourd’hui. Et vous vous appelez Ruben Rybnik.

— Ruben… J’aime ce prénom.

— Et moi, qui suis-je ? demanda la femme.

— Elda Rybnik.

— Nous portons le même non ? s’étonna Ruben. Serions-nous parents ?

— Oui et non… Vous êtes mari et femme. C’est un lien familial, en somme…

— Ahern, fit le vieil homme, je crois que nous méritons quelques explications.

— Ça, je m’y attendais… Vous êtes Ruben et elle Elda, mais ce ne sont pas vos vrais noms. Vous m’avez dit qu’il valait mieux, pour le moment, que je ne vous les révèle pas.

— Vous nous avez enlevés ! En nous frappant sur la tête, ce qui nous a fait perdre la mémoire !

— Non. Calmez-vous un peu, et je vous expliquerai…

— Dépêchez-vous, avant que je vous assomme avec ma canne !

— Ça ne valait pas le coup…, marmonna Ahern. Même pour de l’or, j’aurais dû rester loin de tout ça.

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— Richard, gémit Warren, tu ne prétends pas savoir où sont les boîtes d’Orden ? Ne me dis pas, je t’en prie, que tu les as retrouvées ?

— Retrouvées ? La dernière fois que je les ai vues, celle du milieu était ouverte et prête à attirer mon salopard de père dans le royaume des morts !

Warren s’évanouit comme une jeune vierge.

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— Marché conclu ! Vingt ce soir et dix en Aydindril. (Ahern braqua un index accusateur sur Zedd.) Mais j’ai une condition, et elle n’est pas négociable !

— Laquelle ?

— Ce foutu chapeau ! Pas question de le porter : la plume effraierait les chevaux !

— Accordé, à une contre-condition, mon ami : c’est vous qui annoncerez ça à ma femme !

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Quand on t’impose la guerre, il est de ton devoir de te montrer impitoyable. Si tu te laisses arrêter par la clémence, tu trahiras ton peuple et ne vaudras pas mieux que ses ennemis. Car les tiens paieront tes erreurs de leur vie.

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