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Liste des extraits

"Une couronne de rose ,une poignée d'épine.

Un éclat de rire,un froncement de sourcil.

Et tous il mordront la poussière!"

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"Je continue de penser que l'obscur se nourrit de nos fautes. La cupidité et la soif de pouvoir des hommes le rendent sans cesse plus fort et plus dangereux. Si nous pouvions changer le coeur des hommes et des femmes, l'obscur serait affaibli, j'en suis sûr."

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Un grondement se fit alors entendre dans les profondeur de la terre,et le sol trembla. Au-dessus de ma tête, les branches s'agitèrent comme si l'arbre était secoué par la main d'un géant. Konal poussa un cri qui me glaça jusqu'à la moelle. Saisie d'effroi, la sorcière leva la tête. Mais le danger venait d'ailleurs. Brusquement, la terre s'ouvrit dans un énorme craquement. La fissure s'élargit, courut vert Scarabek à la vitesse d'un cheval au galop. A la dernière seconde, elle tenta de s'écarter. Trop tard ! La terre l'avala et se referma avec un choc sourd qui résonna longuement, ne laissant visible que les doigts de sa main gauche.

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_Un jaboteur apparaît le plus souvent dans la semaine suivant un suicide. C'est ce qui est arrivé, ici, nous apprit l'homme.[...]

_On a entendu des coups bizarres sur le plancher, des coups rythmés : deux rapides, puis trois espacés, et ça continuait indéfiniment. Au bout de quelques jours, on sentait un froid intense à l'emplacement où la pauvre filles est morte, juste au-dessus des tâches de sang. Le lendemain, un de mes hôtes est devenu fou. Il a sauté de la fenêtre et s'est brisé les deux jambes sur les pavés de la ruelle. Ses jambes guériront, pas son esprit.

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Shey envoya des messagers faire état de la situation, et les préparatifs de défense du château commencèrent aussitôt. Je fus soulagé de voir qu’on arrachait le lierre des murs pour empêcher l’ennemi d’y grimper.

Les hommes des propriétaires terriens furent là le lendemain. Ils étaient beaucoup moins nombreux que ce que j’avais espéré – une cinquantaine. Mais ils apportaient des armes, du matériel et des provisions plus qu’il n’était nécessaire pour couvrir leurs propres besoins, si bien que le château était à présent suffisamment pourvu pour soutenir un siège. Néanmoins, nous disposions d’à peine quatre-vingts combattants.

— Je pensais que vous auriez rallié davantage de gens à votre cause, fit remarquer l’Épouvanteur.

Nous observions du haut des remparts l’arrivée d’un nouveau contingent dont le chef de l’Alliance pour la Terre nous avait annoncé l’approche. Il se composait de cinq hommes et de deux chariots tirés par des ânes, si chargés qu’ils menaçaient de s’écrouler.

— La situation n’est ni pire ni meilleure que ce à quoi je m’attendais, dit Shey. Chaque propriétaire doit aussi assurer sa défense et garder assez de personnel à ses côtés.

L’Épouvanteur médita la réponse tout en regardant le soleil, déjà bas au-dessus de la mer.

— Quand lanceront-ils l’attaque ? demanda-t-il.

— Cette nuit ou la prochaine, supposa Shey.

Ils viendront de l’est, par la montagne.

— Combien sont-ils ?

— Cent cinquante environ, si l’on en croit nos dernières estimations.

— Tant que ça ?

Les sourcils de l’Épouvanteur s’arquèrent de surprise :

— Combien d’entre eux sont des mages ?

— Une cinquantaine, auxquels il faut ajouter une demi-douzaine d’apprentis. Les deux tiers d’entre eux viendront. Les autres resteront au fort de Staigue.

— Et leurs serviteurs, leurs partisans ?

— Ils ont une trentaine de soldats, ainsi qu’une dizaine de cuisiniers et d’artisans : bouchers, tanneurs, maçons. Quand une bataille s’annonce, ils ont le moyen de grossir leurs rangs. Ils enrôlent des conscrits parmi les plus pauvres, ceux qui ne possèdent qu’une masure et un lopin de terre, et sont sans cesse au bord de la famine. Ils combattent aux côtés des mages en échange de nourriture pour leur famille, mais aussi poussés par la peur. Comment refuser de prendre les armes quand un émissaire des mages vient jusqu’à votre misérable demeure pour vous recruter ? Toutefois, ces gens seront mal équipés et affaiblis par la faim.

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Il me regarda et cessa de jouer. Les petites créatures de la foret s'enfuirent aussitot. Le sortilège créé par la musique était brisé. En quelques secondes, il ne resta plus dans la clairière que le Dieu et moi.

-Où suis-je ? demandai-je.

Je me sentais très calme, pas le moins du monde effrayé.

-Cela importe-t-il ? fit le garçon.

Malgré son sourire affable, les mots qu'il prononça ensuite me glacèrent:

-Je t'ai amené là où j'habite. Tu es dans ce que tu nommes "l'obscur", le lieu que tu redoutes le plus.

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En mettant la main dans ma poche gauche, je compris aussitôt ce qui m'avait fait mal quand j'étais tombé sur le côté, dans la chambre hantée. C'était la fiole de sang.

Etai-elle cassée? Mon cœur rata un battement. Je sortis le flacon d'une main tremblante et l'approchai de la chandelle pour l'examiner. Une fêlure courait sur la moitié de sa longueur.

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"Tu appartiens à cette lame, Elle te possède.

Tu lui appartiendras jusqu'au jour de ta mort..."

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Je vais rebâtir ma maison, réunir et rédiger de nouveaux ouvrages pour reconstituer ma bibliothèque.

Des larmes brillaient dans ses yeux, des larmes d'espérance et de joie.

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Elle pouvait bien rire de mes larmes, aussi abondantes que la pluie qui nous trempait. Ces larmes étaient pour Alice et pour moi.

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