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J’essaye d’oublier ce qu’il vient de se passer en me noyant dans la musique et en faisant semblant de danser. Mais dans mon dos, je sens un regard qui se pose sur moi, il est lourd de tension sensuelle, je le ressens même si je ne le vois pas. Pascale me fait signe qu’il est derrière moi et je secoue la tête en dénégation en haussant les épaules. Non, je suis passée à autre chose, je n’ai pas envie de revenir en arrière, de me perdre à nouveau dans mes fantasmes et souffrir inutilement.

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Je tire Pascale hors de la cuisine, elle en a assez dit et sur Julien elle est intarissable, surtout si ça peut mettre Toine mal à l’aise.

Dès que nous passons le pas de la porte, elle se jette sur moi, surexcitée :

– Oh mon Dieu ! Oh mon Dieu ! Tu te rends compte ! Julien Pagani, il est encore plus beau qu’avant. Tu te sens comment toi, ma bichette ?

Je suis encore sous le choc et j’ai du mal à m’en remettre. Je pensais l’avoir oublié, mais trois minutes dans la même pièce que lui et je me sens comme la midinette qui se cachait derrière le mur pour le voir monter dans le bus et le regarder partir dans un dernier soupir.

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Cassandra Martino, waw, ça me ramène loin.

La seule fille que je n’ai pas allongée, mais qui pourtant ne demandait pas mieux. Elle était toujours derrière moi, elle pensait que je ne savais pas qu’elle craquait pour moi, que je ne la voyais pas.

Franchement, ça me flattait. Bon c’est vrai que plus jeune, ce n’était pas un canon, elle était mimi sans plus et timide par-dessus le marché, mais maintenant, c’est une bombasse.

Quand je pense qu’elle frotte avec l’autre estrasse de Toine, ça me dégoute. Non, mais comment il parle d’elle ? Je sais qu’il la trompe à tour de bras et le pire c’est que comme c’est une bouche, il le raconte à tout le monde ce con.

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Je l’interpelle et il arrête net de rire et de bouger.

– J’espère que c’est entre mes seins que tu as l’intention de mettre ta queue, bien que je ne comprenne pas que tu puisses parier sur un truc que tu fais déjà et dont tu as profité tout l’après-midi, parce que si ce n’était pas le cas, si je venais à te surprendre avec une des cagoles qui trémoussent leur putain de tafanari dans la pièce à côté, tu te retrouverais rapidement célibataire et si j’en viens à en parler à mon papounet, probablement à nourrir les poissons dans le vieux port, suicidé avec une balle dans la tête et les deux pieds dans le béton.

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Nous venons d’arriver à la soirée de son pote, nous avons passé l’après-midi à nous aimer, encore et encore dans le grand lit de ma chambre. Il m’a emmenée manger un morceau à la petite pizzéria du coin de la rue, il semble amoureux, je ne sais pas si c’est le fait de savoir que j’ai parlé avec mon père, mais il a jamais été aussi câlin, il est limite pègue.

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Je rentre dans les Galeries Lafayette et je trouve une sublime robe noire, près du corps pour le haut, mais très évasée vers le bas, elle est soldée, je la prends, mais je sais que je ne la mettrais pas ce soir, Toine va sûrement venir en moto et je préfère me mettre en pantalon. Je trouve mon bonheur deux rayons plus loin, un superbe jean enduit noir et un haut super moulant assorti, j’en profite pour me prendre des chaussures à talon noir et voilà.

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J’arrive enfin au Centre Bourse, le terminus de mon bus, je descends la rue des Augustins et la rue de la République pour débarquer au Vieux Port. À l’angle du bar de la Samaritaine, je prends une minute pour admirer la beauté de l’endroit. Devant moi se trouve le cœur de Marseille. Même la description la plus pagnolesque qui existe ne suffit pas pour raconter la merveille qui s’étale sous mes yeux.

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Ah ! Mon Père ! Dédé le Blond comme ils l’appellent, il a les cheveux noirs comme l’ébène, mais ils s’entêtent à le surnommer « Le Blond ». Ce qu’il fait n’est pas très conventionnel, il est très respecté et son business n’est pas très légal. Ses amis ont comme lui, une particule : le Belge, le Corse, belle gueule bref, il fait partie « du milieu » marseillais. Je ne connais rien, ou très peu sur ses activités, il nous a toujours épargné les détails à maman et moi. Mais j’ai pleins de « tontons » et autres amis de la famille qui se promènent avec une arme qu’elle soit blanche ou à feu et qui ne seront jamais assis dos à la porte.

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Je mets les écouteurs que je branche à mon Smartphone, comme ça, je suis sûre que dégun viendra me parler. Musique à fond, je regarde par la vitre et je pense à Toine.

C’est mon petit ami, ça fait deux ans que nous sortons ensemble, il est canon, brun avec les yeux foncés, le corps tout en muscle. Il est beau certes, mais il n’a pas grand-chose dans le citron, « il se cherche » comme il dit et il cherche beaucoup, mais il trouve peu. Si on pouvait créer le métier de glandeur, il sera PDG de la boîte et encore, ça lui demanderait trop d’effort.

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Il est 7 h 30, nous sommes samedi, j’ai bossé comme une damnée toute la semaine et j’ai une semaine de vacances. Le soleil envahit mon appartement, la lumière fait ressortir les tons beige et bleu de ma chambre, j’adore ces couleurs, elles me permettent de prendre le temps, elles me rappellent le ciel et la mer.

Allongée dans mon lit, je tente vainement de cacher ma tête sous mon oreiller. Il y a un bruit qui ne s’arrête pas et qui achève de me réveiller. Oh ! C’est la sonnerie de mon téléphone, on n’a pas idée de m’appeler si tôt. Ça devrait être puni par la loi. Ils ont beau faire des mobiles de plus en plus sophistiqués, leur sonnerie est toujours aussi pourrie.

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