L'animal est une personne.

Pas incroyable, spéciste alors que je le lisais un peu pour le contraire. Il ne faut pas manger les veaux, mais leurs mères allez-y ! Battez-les ! J'exagère mais voilà, pour moi ça n'a aucun sens.

Dommage que Mr GIESBERT se focalise beaucoup sur les religions pour dénoncer la violence dans les abattoirs.

Sans faire référence aux religions, il aurait pu trouver simplement des liens, des preuves dans notre république, il n'en manque pas.

Dénoncer simplement les règles non suivies des abattoirs et surtout avons nous réellement besoin de manger des animaux, surtout tués dans des conditions atroces.

Dommage que Mr GIESBERT se focalise beaucoup sur les religions pour dénoncer la violence dans les abattoirs.

Sans faire référence aux religions, il aurait pu trouver simplement des liens, des preuves dans notre république, il n'en manque pas.

Dénoncer simplement les règles non suivies des abattoirs et surtout avons nous réellement besoin de manger des animaux, surtout tués dans des conditions atroces.

Très sceptique en lisant ce livre...

Les intentions y sont, c'est tout...

3 chapitres sur l'Islam, on a compris... Et puis ce discours moralisateur du "ceux qui mangent de la viande halal sont vraiment stupides". Le ton me déplait.

Une amie me l'a conseillé pour me faire comprendre son vegetarisme, un peu loupé...Je ne perd pas espoir j'en trouverai un mieux!

Un livre qui commençait pourtant bien. Jusqu'à quelques petits passages du type: "par exemple: je ne mange jamais de thon, animal sophistiqué dont la chair ressemble à la nôtre, mais je ne résiste pas devant les sardines qui, pour ce que j'en sais, ne sont pas très futées". Sans parler de son discours sur les élevages familiaux.

Bref, un livre bourré de spécisme (discrimination basée sur l'espèce, qui fait de l'espèce en soi un critère justifiant la violation de ces droits fondamentaux (exploitation, violence, oppression et meurtre)). Il peut peut être aidé certaines personnes dans leur cheminement vers le végéta*isme, mais en soi, il ne représente pas du tout la défense animale. Il y a d'autres livres beaucoup mieux sur ça à lire que celui de Franz-Olivier Giesbert.

Comment, pourquoi, vraiment? Comment en est-on arrivé là, à une société qui refuse aux animaux qu'elle élève, maltraite et tue le droit à la souffrance? Après les avoir matérialisés, on aveugle la population : non, les animaux ne souffrent pas! Ils sont là pour être mangés, après tout "c'est ce qu'on a toujours fait, c'est comme ça depuis la nuit des temps et ça le restera". Pourquoi se laisser conter des histoires quand, à peine enfant, on ressent naturellement de l'empathie vis-à-vis des animaux? Pourquoi fermer les yeux?

Sommes-nous vraiment en train de participer à cette mascarade? A cette industrie et cette annihilation de la pensée individuelle?

Ce livre, sans pousser à la transformation vers le végétarisme, végétalisme ou veganisme, permet d'ouvrir les yeux par des faits, des chiffres, des études, bref des supports concrets, sur la condition des bêtes dans notre monde presque civilisé. A mettre entre toutes les mains pour ouvrir les esprits et les consciences sur ces êtres qui sont sur terre pour vivre avec nous et non pas pour nous.