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OK, Ok, donnez-moi une fessée sur mes petites fesses poilues! Oui, j'ai organisé une fête. Tant que vous y êtes, continuez, étouffez-moi avec des croquettes aux remords. Eh oui, cette fête a mal tourné!
Bon... Plus que mal tourné. Tout a dérapé.
Bon... Plus qu'un petit dérapage, une véritable émeute.
Mais ce n'était pas ma faute.
Afficher en entierOui, une photo de moi, des yeux immenses, pleins de confiance, et mon pelage, un nuage duveteux comme sur les cartes à l'eau de rose que votre grand-tante adresse à votre mère. Une vision à vomir !
Afficher en entierOK, OK donnez-moi des vers de terre à manger pendant une semaine ! Oui, les chiens sont rentrés dans la maison !
Et c'est ma faute ? Comment aurais-je pu deviner que quand j'ai reculé d'un bond, les griffes sorties, les poils dressés, une ombre géante est apparue sur le mur ?
Je ne pensais pas que j'aurais l'air si féroce.
Et énorme.
Et terrifiant.
Je ne pensais pas que mon ombre terroriserait à ce point les chiens ... De vraies mauviettes.
Afficher en entierDevoir sortir son chien, c'est ce qu'il y a de pire avec ces bêtes-là ! De toute façon, les chiens sont une nuisance. Je vous invite à réfléchir à la question. Quand ils en ont marre de leurs occupations stupides – Au pied ! Fais le beau ! Va chercher ! Assis ! –, ils poussent des cris plaintifs, ils font tout un plat pour que leurs maîtres les sortent.
Moi ? Je passe la porte, seul.
Afficher en entier— Le 31 octobre ? C'est aussi le jour d'Halloween, non ? Quand tout ce qu'il y a de plus diabolique, affreux et dangereux surgit pour régner dans les rues, grogne-t-il. Une date qui convient comme un gant à l'anniversaire de Tuffy.
Afficher en entierLes chevaux ! Tu imagines ?! Les tagada-tagada. Les nasaux noirs si énormes que tu peux grimper dedans et t'y perdre. Les pattes aussi noueuses que les meubles de grand-mère. Un cheval, ce n'est rien d'autre qu'une barrique rondelette posée sur des allumettes avec des pieds pareils à des tasses à thé retournées.
Afficher en entierC'est un jour affreux. Affreux. La poule cogne contre les carreaux. Le vent hurle. Ellie s'allonge sur le tapis et feuillette l'album.
- Oh, Papa ! Ragarde ! Une photo de ta culbute dans le fosses plein de boue.
( Une place tout indiquée pour cet homme, si vous voulez mon avis. )
- Oh, Maman ! Viens voir cette photo. Tes cheveux sont magnifiques.
( Sur la planète Allure-Zéro, peut-être. Mais pas ici. )
Et Ellie continue, poussant des cris aigus, comme la petite souris que Tiger et moi nous avons terrorisée derrière la poubelle. Insupportable ! Je préfère sortir quand, dans un nouveau cri de souris...
- Oh, en voilà une de Tuffy ! Il est A-DO-RA-BLE !
Je me retourne, lui lançant mon regard " Tu parles de moi ? ".
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