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Liste des extraits

Extrait ajouté par x-Key 2011-05-01T19:28:35+02:00

- Je peux vous aider ?

- Je... euh... oui, je voudrais acheter des fleurs, expliqua-t-il en posant le flight case de sa guitare sur une chaise.

- Ca tombe bien. Vous m'auriez demandé des croissants, j'aurais eu plus de mal.

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Extrait ajouté par angel2 2011-06-05T17:24:11+02:00

"La passion c'est comme la drogue : Au début, tu penses la maitriser, puis un jour, tu dois bien admettre que c'est elle qui te maitrise..."

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Extrait ajouté par Chrissy 2012-07-15T17:47:24+02:00

Quand tu aimes quelqu'un, tu le prends en entier, avec toutes ses attaches, toutes ses obligations. Tu prends son histoire, son passé et son présent.

Tu prends tout ou rien du tout.

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Extrait ajouté par isane3 2012-04-01T17:54:18+02:00

(Madeline & Jonathan.)

- Vous êtes partout : Claire et Jonathan aux fourneaux, Claire et Jonathan au Fish Market, Claire et Jonathan chez Dean and Deluca, Claire et Jonathan au marché bio, Claire et Jonathan posant pour telle ou telle célébrité...

- C'est mon amie. Normal qu'elle ait gardé des souvenirs.

- A part son père, vous êtes le seul homme sur toutes ces photos !

- Vous me faites uns scène, là ?

- C'était qui cette fille ? Votre maîtresse ?

- Non ! Vous allez me poser la question combien de fois ?

- Pourtant, elle était amoureuse de vous, c'est évident.

- Je n'en sais rien.

- Moi, je vous le dis.

- Qu'est-ce que ça change ?

- Après votre séparation, vous auriez pu vous rapprocher d'elle. Elle est jeune, belle comme un astre, visiblement intelligente...

- Bon, ça suffit.

- Non, expliquez-moi.

- Il n'y a rien à expliquer.

- Vous voulez que je le fasse, moi ? le défia-t-elle en se penchant vers l'avant.

- Non, pas vraiment.

Jonathan essaya de reculer, mais il était dos à la cheminée et le feu commençait à prendre.

- Je vais le faire quand même ! Claire Lisieux est parfaite : c'est une fille douce, gentille et sérieuse. Elle serait la mère idéale si vous deviez avoir d'autres enfants. Vous l'appréciez et la respectez beaucoup, mais... comment dire ?... ça serait trop facile, trop harmonieux...

Madeline s'était encore rapprochée. A présent, ses lèvres n'étaient plus qu'à quelques centimètres de celles de Jonathan. Elle continua :

- Or ce n'est pas ce que vous recherchez dans l'amour, n'est-ce pas ? Vous, il vous faut de la passion, de la bagarre, de la conquête. En résumé, Claire n'est pas une femme pour vous.

Jonathan hésita à répondre. Il sentait le souffle de Madeline se mêler au sien. Elle poussa la provocation à son paroxysme :

- Et moi ? Je suis une femme pour vous ?

Il plaqua son corps contre le sien et l'embrassa.

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Extrait ajouté par x-Key 2011-05-01T19:28:35+02:00

Les plus belles années d'une vie sont celles que l'on n'a pas encore vécues.

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Extrait ajouté par Pamie 2011-12-02T23:27:26+01:00

On a tous un avis sur le suicide. Acte de courage ou de lâcheté? Ni l'un ou l'autre sans doute. Juste une décision désespérée lorsqu'on se retrouve dans une impasse. Le dernier recours pour sortir de sa vie et échapper à l'insupportable.

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Extrait ajouté par Pamie 2011-12-02T23:29:43+01:00

J'avais un ennemi redoutable à affronter : moi-même. L'ennemi ultime. Le plus dangereux.

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Extrait ajouté par Anne-118 2011-07-01T09:38:03+02:00

J'appuyais sur la détente.

Une fois.

Deux fois.

Mais je n'étais pas mort.

J'examinai le barillet: il était vide.

Impossible.

J'avais vérifié moi-même les cinq cartouches en quittant Aulnay-sous-Bois.

Je retournai à la voiture et ouvris la boite à gants: pas de munitions. Il n'y avait que les deux serviettes en papier de la station-service sur lesquelles Alice s'était essuyé les mains. Entre les taches de macarons au chocolat, elle m'avait lessé un mot, griffonné à la va-vite avec un feutre bleu.

Cher M. Lempereur, enfin, je veux dire Jonathan.

J'ai pris la liberté de retirer les balles de votre revolver et de les jeter dans le poubelle du parking pendant que vous buviez votre café. Je ne sais pas pourquoi vous avez voulu vous procurer une arme, mais je suis à peu près certaine que c'est une mauvaise idée.

Je sais aussi que cette nuit, même si vous n'alliez pas bien, vous avez fait l'effort de me faire rire et de prendre soin de moi.

Je suis désolée pour vos problèmes financiers et pour votre femme. Peut-être qu'un jour les choses s'arrangeront entre elle et vous. Mais peut être aussi que ce n'était tout simplement pas l'amour de votre vie.

Pendant longtemps , je n'ai pas été heureuse.

Lorsque j'éatis vraiment triste, je m'accrochais à une phrase, parfois attribuée à Victor Hugo, que j'avais recopiée à la première page de mon journal. Elle disait : " Les plus belles années d'une vie sont celles que l'on n'a pas encore vécues."

Prenez soin de vous, Jonathan.

Alice

En lisant ces mots, la vie reprit soudain le dessus et je fondis en larmes, tout seul, comme un con, dans ma voiture.

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Extrait ajouté par kats-at 2012-02-08T17:25:07+01:00

« J'ai besoin de quelqu'un de solide, de fiable, de fidèle. Autour de nous, tout est précaire, fragile, vacillant. Je ne veux pas de ça dans mon couple. Je veux rentrer chez moi le soir et être certaine de trouver du calme et de la sérénité dans mon foyer. Tu comprends ?»

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Extrait ajouté par isane3 2012-04-01T17:49:50+02:00

Elle : Où êtes-vous ?

Lui : Hé ! ho ! On ne vous a jamais appris à dire bonjour ?

Elle : Bonjour. Où êtes-vous ?

Lui : Et vous ?

Elle : Devant votre restaurant, figurez-vous !

Lui : Hein ?

Elle : Je suis à San Francisco. Dites-moi où vous habitez et je viens vous rejoindre.

Lui : Mais, je ne suis pas chez moi, justement !

Elle : C'est-à-dire...

Lui : Je suis à Paris, devant votre magasin.

Elle : ...

Lui : ...

Elle : Vous ne pouviez pas me prévenir, bordel ?

Lui : Parce que c'est ma faute ? Je pourrais vous retourner le compliment, je vous signale !

Elle : C'est VOUS qui avez commencé à fouiller dans mon téléphone ! VOUS qui vous mêlez de choses qui ne vous regardent pas ! VOUS qui avez déterré un dossier qui a bousillé ma vie. VOUS qui...

Lui : CA SUFFIT ! Ecoutez, il faut qu'on parle, calmement. En tête à tête.

Elle : A dix mille kilomètres de distance, ça me paraît difficile !

Lui : C'est pour ça qu'on va faire chacun un pas cers l'autre.

Elle : ...?

Lui : Je propose qu'on se retrouve à Manhattan. C'est rapide, et avec le décalage horaire, on peut y être dès ce soir.

Elle : Vous êtes malade ! D'abord, les avions sont pleins, ma carte de crédit est dans le rouge et je vous signale que...

Lui : Il y a un vol United Airlines à 14h30. Je l'ai souvent pris pour aller chercher Charly à New York. J'ai un bon paquet de miles et c'est moi qui vous offre le billet...

Elle : Vous savez où vous pouvez vous le carrer votre billet ?

Lui : Bon, inutile d'être grossière et de faire votre forte en gueule. Envoyez-moi plutôt votre numéro de passeport, sa date et son lieu de délivrance. J'en ai besoin pour réserver votre trajet.

Elle : Cessez de me donner des ordres et de me parler comme à une ado débile ! Vous n'êtes pas mon père !

Lui : Non, Dieu merci...

Elle : Et cessez vos intrusions dans ma vie privée et dans mes enquêtes !

Lui : Vos enquêtes ? Je vous signale que vous n'êtes plus flic depuis longtemps.

Elle : Je ne comprends pas pourquoi vous me harcelez ni ce que vous cherchez à obtenir. Vous voulez me faire chanter, c'est ça ?

Lui : Ne soyez pas ridicule, je veux juste vous aider.

Elle : Commencez d'abord par vous aider vous-même.

Lui : Qu'est-ce que vous voulez dire ?

Elle : Je veux dire que votre vie est un beau bordel et que votre ex-femme vous cache des choses.

Lui : Qu'est-ce qui vous permet d'affirmer ça ?

Elle : Moi aussi, j'ai fait mes petites recherches...

Lui : Raison de plus pour qu'on se parle, non ?

Elle : Je n'ai rien à vous dire.

Lui : Ecoutez, j'ai des informations nouvelles sur Alice Dixon.

Elle : Vous êtes taré...

Lui : Laissez-moi seulement vous expliqu...

Elle : Allez vous faire foutre !

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