Commentaires

J'ai été un peu déçue par ce troisième opus, les deux autres étaient beaucoup plus dynamiques, moins prévisibles. Je me suis un peu ennuyée à la lecture de celui-ci, des situations trop prévisibles, qui finissent toujours bien, seule la fin m'a surprise. C'est un livre documenté, intéressant, mais qui manquait d'un peu de suspense.

Une déception !

Je m'attendais à un thriller machiavélique comme sait les faire Chattam et non à un polar redondant rempli de clichés et sans saveurs.

Je me suis ennuyée durant ma lecture. Les personnages sont caricaturaux et leur actions attendues. C'est très manichéen. D'un côté les gentils, de l'autre les méchants. Pour les gentils, ça finit toujours bien.

C'est vraiment dommage, d'autant plus que le sujet est très actuel. Le terrorisme islamiste. Peut-être trop attendu du coup, et trop grand public. L'auteur ne se mouille pas. Tout est beaucoup trop prévisible.

Génial! Et j'ai même envie de dire enfin! Après le coma des mortels et que ta vonlonté soit faite, j'avais peur que Chattam ne revienne plus à ce qu'il sait faire de mieux un bon thriller. J'ai adoré retrouver Ludivine et son équipe. On entre tout de suite dans le vif du sujet et on n'a pas envie de le lâcher. Même moi qui ne lit jamais les remerciements etc, j'ai lu la post-face car je ne voulais pas le fermer et j'en ai appris un peu sur le vécu de ce livre.

ça faisait longtemps qu'un livre ne m'avait pas donné l'envie de sécher le boulot pour le finir au chaud avec une bonne tasse de thé.

Je suis une grande fan de Maxime Chattam mais là je n'ai pas vraiment apprécié. Pour moi, cette lecture n'était pas un roman ou une fiction comme je l'entends. Mais plutôt un fait d'actualité. Le terrorisme est tellement raconté dans notre quotidien (médias, journaux, reportages) que je n'ai pas lu ce roman comme un polar. Déjà qu'à la base la saga avec Ludivine n'est pas ma préférée mais avec ce thème comme trame de fond... cela reste bien écrit et bien documenté mais je n'ai pas adhéré.

Déçue de ce Chattam

Comme à son habitude, Maxime Chattam n'aborde l'intrigue de ce roman qu'après avoir fait une analyse judicieuse du sujet. A trois reprises, Ludivine Vancker effectue un vrai travail de l'ombre, face à deux monstres que sont les pervers et les terroristes. Fine héroïne mais tellement humaine, elle dirige avec brio deux enquêtes. Elle est malheureusement confrontée à des situations qui sont stressantes et qui indiquent à ce que parfois les forces de l'ordre sont confrontées. Les remerciements prouvent que M. Chattam a des sources officielles pour écrire ces romans. Merci pour cette part de vérité.

Troisième tome d’une trilogie, je n’ai pas lu les deux précédents romans et ça ne m’a pas dérangé. Il y a bien sûr des références aux antécédents de Ludivine Vancker mais ça ne gène en rien la compréhension de l’intrigue, c’est le principal.

L’auteur maîtrise les codes du thriller, ça se remarque rapidement, pas de trop bla bla inutile. Des chapitres courts, comme j’aime, je l’ai souvent écrit mais pour moi c’est l’assurance d’être addictif. Autre chose qui me rend accro dans ce roman, on sait ce qui va arriver à notre protagoniste et elle, elle sait qui est le coupable, j’ai vraiment eu envie de savoir comment on est en arrivé là. Elle se remémore la première fois qu’elle a eu un crime de son bourreau.

Autre chose que j’ai vraiment apprécié, c’est le fait que le roman, même s’il s’inscrit dans une trilogie, est indépendant. Maxime Chattam ne délaisse pas la profondeur de ses personnages, ce qui me donne aussi la possibilité de m’accrocher à eux. J’ai bien envie de découvrir ce qu’il s’est passé durant les deux dernières années de la vie de Ludivine.

Comme je n’ai pas fini d’aimer ce bouquin, j’ai aussi apprécié les acronymes (DGGN, BLAT, CRISTINA, SR, DCO ect) et les recherches qui touchent à l’enquête, comme l’inspecteur de la DGSI qui donne les chiffres des fichés S (je suis réellement aller chercher les chiffres), ceux du coût d’une enquête et ça correspond plutôt bien à la réalité. Pour moi, ce genre de détails lui donne une autre dimension, très réaliste, je suis vraiment fan.

Le seul point que je n’ai pas apprécié ce sont les passages sur le passé de Djinn, on est dans des souvenirs d’évènements passionnants à suivre, alternant avec l’angoisse du présent violent que vit Ludivine et au milieu de ça, le rythme se casse avec ses passages bien trop lointain pour être intéressants à mes yeux. Bon, ça représente peu de pages mais ce sont les seuls moments où j’ai fait une pause pour aller lire un autre livre et revenir ensuite pour me remettre dans le bain, jusqu’à la prochaine interruption de ce genre.

Arrivé aux cent premières pages du livre, j’avais ma petite théorie sur qui est le tueur, j’ai bien pris le temps de le lire, de réfléchir aux indices que laissait l’auteur et quand j’ai compris, il était déjà trop tard, les chapitres d’une page ou deux s’enchaînent, la pression monte et arrive le chapitre Spoiler(cliquez pour révéler) 42, et je sais que ce n’est pas terminé, même si ça l’est en partie, il reste une petite moitié de livre à lire. Honnêtement je ne m’y attendais pas, je pensais que la balle s’était perdue ou simplement éraflé sa tête mais non. Ca m’a retourné, je poursuis le chapitre suivant et on m’annonce qu’elle est en vie, tout va bien. Et ça vraiment, je n’ai pas apprécié. Mais alors pas du tout, l’auteur insiste bien sur sa mort, faisant même intervenir un médecin, insistant sur le fait qu’elle soit décédée. Non Monsieur Chattam, vous ne pouvez pas tuer votre personnage et la faire revivre en 10 lignes, même dans Game of Thrones ça ne fonctionne pas. Que le sang ne soit pas le sien, d’accord, le tueur étant retombé sur elle, après avoir reçu 3 balles, ok. Que la balle parte dans un reste de pulsion nerveuse, très bien. Son ravisseur étant un homme, il n’y a aucune confusion possible sur le décès que prononce le médecin. Ah non mais je l’ai mauvaise, vraiment, j’ai vécu ça comme une trahison.

Le roman perd beaucoup de sa saveur après ça, la trame principale était bouclée et à part une fin d’intrigue que Marc Tallec aurait très bien pu finir sans nous, je n’y ai pas retrouvé l’envoutement du début. Pour la deuxième moitié du roman Spoiler(cliquez pour révéler)il reste l’enjeu de celui qui dirigeait notre tueur pervers mais je n’en avais pas vraiment grand-chose à faire. L’intrigue commence avec Ludivine séquestrée, des souvenirs des meurtres particuliers et elle nous dit qu’elle sait qui il est. Intervention du GIGN, fausse mort, on a résolu la plupart des questions du début. Quelques chapitres de plus pour retrouver le commanditaire et c’était bon. Ce n’est pas comme si notre agent de la DGSI était très bavard sur son métier.

Je reste mitigé finalement, malgré une très bonne première moitié, le reste m’a ennuyé. Je reste quand même sur du positif, toutes les informations ancrées dans la réalité et le début m’ont vraiment plu.

Je ne sais pas trop quoi penser de ce livre. J’ai par le passé lu d’autres Thriller de Maxime Chattam ou il y avait plus d’actions, des livres qui étaient vraiment des romans. Or, ici je n’ai pas eu vraiment l’impression de lire une histoire inventée mais tout simplement un fait divers. Le thème du terrorisme est tellement ancré dans notre réalité maintenant ce qui rend cette histoire très crédible et où il était pour moi impossible de ne pas me dire que ça peut arriver.

Ce livre m’a un peu dérangé dans le sens où il met sur papier des sensations, des peurs que je ressens au vu de l’actualité depuis quelques années et bien représenté par cette phrase de Ludivine : « nous devons être un peuple éduqué, qui comprend les enjeux, les difficultés, les subtilités et qui parvient à ne plus raisonner avec la peur. En pensant au groupe plutôt qu’à chacun. »

Je n’ai pas lu les tomes précédents avec Ludivine mais ça ne m’a pas dérangé pour l’histoire, certes il y avait quelques références mais je trouve que ce n’est pas si contraignant. Ludivine, est un personnage que j’ai beaucoup apprécié, qui au fil des pages dévoilent ses émotions, montre son côté fragile. Ce que j’ai également apprécié dans ce livre c’est le côté documenté, on voit bien que Maxime Chattam c’est renseigné sur son sujet et là bien travailler pour nous offre un tome complet.

Bref un tome qui me laisse une sensation étrange à la fin de ma lecture mais qui m’a donné envie de lire les précédents pour connaitre un peu mieux l’histoire de Ludivine.

C'est le premier livre de Maxime Chattam que je lis. Comme il s'agit d'un auteur à succès je m'attendais à une lecture palpitante. A la place j'ai trouvé une accumulation de rebondissements rocambolesques qui rendent l'histoire improbable. L'écriture très moyenne me fait penser aux dialogues artificiels des films policiers produits par des chaînes françaises nationales (avec tout le respect que je leur dois). Certaines métaphores sont d'un niveau de 3e. Les explications pontifiantes et lourdes couronnent le tout. Je crois que j'en ai fini avec M. Chattam....

Un peu déçue. Je crois que je n'aime vraiment plus autant Maxime Chattam qu'avant. Pourtant c'était son nom qui sortait systématiquement quand on me demandait mes auteurs favoris...

Le résumé de la quatrième de couverture vend du rêve « Ce thriller va détruire vos nuits et hanter vos jours ». Ouais bah pas du tout hein, soyez tranquilles: vous dormirez peinards sur vos deux oreilles !?

La première moitié du livre était vraiment très bien. Bon rythme, suspens, personnages intéressants. Et puis d'un coup cette histoire de tueur en série est résolue et on se retrouve dans un polar axé à fond sur le terrorisme.

Bon pourquoi pas, au début j'ai trouvé ça intéressant.

Sauf que le livre ne parle plus QUE de ça et que c'était pas vendu comme ça. Du coup je n'avais plus l'impression de lire un thriller.

J'ai trouvé ça long...J'ai d'ailleurs mis une bonne semaine à le lire. Je n'avais aucun mal à le poser, et n'était pas spécialement pressée de le rouvrir: ça veut tout dire.

[SPOIL]

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Pis alors les deux fois où on veut nous faire croire à la mort de Ludivine, le personnage principal. J'ai trouvé ça nul...et autant dire que la deuxième fois on est pas dupes un quart de seconde...