Date de sortie
L'art de raconter
- France : 2008-04-16 - Poche (Français)
Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
L'art de raconter
Résumé
« Simple recueil de textes variés sur le roman ? Non : entreprise raisonnée, défense et illustration d'une certaine conception du roman, lequel doit être « l'art de raconter », de mettre en scène des personnages étrangers à l'auteur.
Donc, ni les déballages de l'autofiction, ni les tarabiscotages de l'expérimentation, mais une manière franche et directe de faire vivre des hommes et des femmes jetés sur les routes du monde.
Une première partie oppose Stendhal à Flaubert, et montre comment la liberté du premier est préférable aux efforts laborieux du second. Roman et opéra : comment ils peuvent échanger leurs procédés.
Puis, essais consacrés à des auteurs particuliers, groupés en deux familles : les « aventuriers », de l'Arioste à Defoe, de Dumas à Kipling, avec à leur tête le patron du roman d'aventures, Stevenson, l'auteur de L'Ile au trésor ; et les « narrateurs », qui comprennent, outre Stendhal, des Français (Balzac, Maupassant, Gide, Martin du Gard, Paul Morand, Simenon, etc.) et des étrangers (Dickens, les Russes, les Sud-Américains, Thomas Mann, James Hadley Chase, Primo Levi, Kundera, etc.).
L'ensemble forme un manifeste, un plaidoyer pour les romanciers qui, sans rien abdiquer de l'exigence littéraire, savent amuser, entraîner, faire rêver le lecteur. » Dominique Fernandez
Afficher en entier