Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 947
Membres
1 009 087

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Quand on comprend quelqu'un, il est rare qu'on puisse le haïr.

Afficher en entier
Extrait ajouté par knor 2013-01-19T18:40:24+01:00

J'enfouis mon visage dans mes mains « j'ai passé ma vie entière a tout rater ». « j'ai l'impression que la nuit sera longue » dit le fou d'un ton lugubre.

Afficher en entier

Fou, qu'as-tu lâché sur notre monde ?

Afficher en entier

-Occupez-vous du feu, puis sortez d'ici, dis-je. Ah, et puis aidez Burrich à s'éloigner du bord de la fosse ; il n'y voit pas bien.

- Tiens ? Je le croyais seulement aveugle.

Afficher en entier

J'espère seulement ne pas avoir à regretter ma décision, car il ne faut pas oublier, quel que soit votre choix, que je dois tenir ma promesse à la narcheska. Je dois lui remettre la tête du dragon - et grand bien lui fasse de posséder un crâne gelé !

Afficher en entier
Extrait ajouté par anonyme 2015-02-01T16:49:30+01:00

Est-ce bien sire Doré ? La question de Devoir n’était pas de pure forme : le changement radical d’aspect du personnage le laissait dans l’incertitude.

Non, ni le fou non plus. Mais ce sont des facettes d’un être que je ne saurais cerner.

N’en rajoutez pas, grommela Umbre à notre intention à tous deux. À voix haute, il ajouta : «Il ne représente aucune menace ; je vais m’en occuper.

Afficher en entier

Je m’approchai ; peu à peu, les vagues en reculant révélèrent non seulement la silhouette amorphe d’une grande créature, mais plusieurs blocs de pierre noire de vastes dimensions qui luisaient d’humidité sous le clair de lune. J’oubliai tout ce qui m’entourait tandis que la mer libérait la grève : la bête dévoilée progressivement avait un aspect à l’inquiétante familiarité. Quand on a vu un dragon couché, on garde pour toujours cette image en mémoire. Mon cœur se mit à battre plus vite ; se pouvait-il que j’eusse sous les yeux la clé de l’énigme 

Afficher en entier

Un grand animal apparut brièvement près de la plage. Je me figeai en m’efforçant de le distinguer plus précisément. La vague suivante le recouvrit, puis le dévoila de nouveau en se retirant. Pendant l’instant où il resta dénudé, il demeura parfaitement immobile.Je plissai les yeux, mais sa masse noire se fondait dans l’étendue obscure de la mer, et je ne vis rien sinon qu’il avait la taille d’une petite baleine.Je fronçai les sourcils, perplexe à l’idée d’une créature aussi grande dans des eaux si peu profondes ; elle n’avait rien à faire si près de la grève, sauf si les courants l’y avaient amenée à l’état de cadavre ; or mon Vif me disait qu’elle abritait encore une faible étincelle de vie, floue et dispersée. Pourtant, je ne percevais pas le sentiment de défaite ni la résignation d’un animal à l’agonie

Afficher en entier

Je ne percevais aucune animosité chez eux. Ils avaient le devoir de veiller à ce que nous nous en tenions aux règles prescrites par le Hetgurd, mais ils ne semblaient pas opposés à notre entreprise ; on eût plutôt dit qu’ils attendaient le début d’un concours. Sur le navire, ils avaient frayé librement avec nous, et leur poète s’était lié avec Nielle d’une amitié mêlée d’une amusante rivalité. À terre, ils tenteraient sans doute d’établir une plus grande distance, mais elle ne tiendrait sûrement pas plus d’un jour ou deux : nous étions trop peu nombreux dans un paysage trop morne

Afficher en entier
Extrait ajouté par Aralorn 2020-02-11T14:36:29+01:00

En guise d’exemple de l’idée que les sbires de la Femme pâle se faisaient de la façon de traiter délicatement des invités, je reçus un coup de poing dans le ventre qui me plia en deux.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode