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Je ne les avais ni vus ni entendus avant qu'Umbre ne me les désigne du doigt. Sans lui, je serais passé devant eux sans les remarquer. C'est alors que j'eux une écrasante révélation : j'étais différent de tous les gens que je connaissais. Imaginons un enfant voyant qui grandit dans un village d'aveugles dont aucun n'imaginerait seulement ce qu'est la vue ; l'enfant n'aurait pas de mots pour décrire les couleurs ni les degrés de luminosité et les autres n'auraient aucune idée de la façon dont il perçoit le monde. Ce fut l'impression que j'eus en cet instant où je contemplais les villageois ; car Umbre s'interrogea tout haut, d'une voix empreinte de détresse : "Qu'ont donc ces gens ? Que leur est-il arrivé ?"

Et moi, je le savais.

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De nombreuses légendes courent sur le Preneur, l'Outrîlien qui fit Castelcerf le Premier duché et fonda la lignée royale. L'une d'elles veut que le voyage qui l'y amena fût le premier et le seul qu'il fit loin du rude climat de son île natale. On dit qu'en apercevant les fortifications de bois de Castelcerf il déclara: "Si j'y trouve un feu et un repas, je n'en repars plus." Il les y trouva et n'en repartit plus.

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"Ma plume hésite, puis échappe à ma main noueuse, laissant une bavure d'encre sur le papier de Geairepu. Encore une feuille de ce fin matériau gâchée, dans une entreprise que je soupçonne fort d'être vaine. Je me demande si je puis écrire cette histoire ou si, à chaque page transparaîtra un peu de cette amertume que je croyais éteinte depuis longtemps. Je m'imagine guéri de tout dépit mais, quand je pose ma plume sur le papier, les blessures d'enfance saignent au rythme de l'écoulement de l'encre née de la mer, et je finis par voir une plaie rouge vif sous chaque caractère soigneusement moulé."

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J'ai remarqué quelque chose chez les gens maigres : certains, tel Umbre, semblent si attirés par l'existence qu'ils en oublient de manger ou, au contraire, qu'ils brûlent jusqu'à la moindre miette de nourriture au feu de la fascination passionnée que leur inspire la vie. Mais il existe un autre type d'individus, ceux qui traversent les jours avec des allures de cadavre, les joues hâves, les os saillants ; on sent bien que ce bas monde les dégoûte tellement qu'ils n'en absorbent le moindre élément qu'avec la plus grande réticence.

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« Invente-toi un nom et des armoiries, et ensuite demande au roi...

- Quel genre de nom ?

- Je ne sais pas, celui qui te plaira. Ce harnais-ci m'a l'air en mauvais état. On l'a rangé humide et il s'est piqué. Enfin, on va voir ce qu'on peut en faire.

- Je n'aurais pas l'impression que c'est pour de vrai.

- Quoi ? » Il me tendait une brassée de cuir à l'odeur âcre. Je la pris.

« Un nom que je me donnerais moi-même. Je n'aurais pas l'impression que c'est vraiment le mien.

- Qu'est-ce que tu comptes faire, alors ? »

Je pris une inspiration. « C'est le roi qui devrait me nommer. Ou toi. » Je rassemblai mon courage. « Ou mon père. Tu ne crois pas ? »

Burrich fronça les sourcils. « Tu as des idées drôlement bizarres. Réfléchis-y un peu tout seul. Tu te trouveras bien un nom qui te conviendra, fils.

- Fitz, fis-je, ironique, et je vis les mâchoires de Burrich se crisper.

- Bon, si on remettai ce cuir en état ? » proposa-t-il d'un ton calme.

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Ne fais jamais ce que tu ne peux défaire avant d'avoir réfléchi à ce que tu ne pourras plus faire une fois que tu l'auras fait.

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Spoiler(cliquez pour révéler)Rurisk avait rempli deux verres; je me penchai et lui montrai ma papillote de papier, puis, délicatement je versai la poudre dans son vin, pris le verre et fis tourner le liquide pour bien dissoudre le produit. Enfin, je lui tendis.

"Je suis venu vous empoisonner, voyez-vous; vous mourez,; alors Kettricken me tue, et puis elle épouse Vérité."

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Umbre à Fitz

-La mort de ton père devrait te suffire, comme mise en garde, aujourd'hui et pour l'avenir. Tu es un bâtard, mon garçon. Nous sommes toujours en danger et vulnérables; nous sommes toujours bons à sacrifier, sauf quand nous représentons une nécessité absolue pour la sécurité des autre. Je t'ai appris pas mal de choses, ces dernières années; mais cette leçon-ci, retiens-la précieusement et garde-la toujours présente à l'esprit: si jamais, par malheur, tu te débrouilles pour qu'on n'ai plus besoin de toi, on te tuera.

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Bien des gens considèrent la bonne fortune des autres comme un affront personnel.

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Pourquoi le fermier qui plante une graine ne déclarerait-il pas à son voisin : Cette graine que je plante nourrira quelqu'un, et c'est ainsi que je change le monde aujourd'hui ? […] C'est la vie. Et nul ne peut se permettre de ne pas y penser La moindre créature doit en avoir conscience, songer au moindre battement de son cœur. Sinon, à quoi sert-il de se lever chaque matin ?

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