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Descrip­tions

L'Avare


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Liste des descriptions

Description ajoutée par Artemisya 2013-01-10T16:26:52+01:00

Harpagon est l'une des plus grandes créations de Molière. Tout, dans cet homme, respire l'avarice et la décrépitude. Rongé par une maladie de corps, Harpagon l'est aussi par une maladie de l'âme. Ladre, il rogne sur la nourriture et les habits de ses domestiques, sur l'avoine de ses chevaux, sur l'entretien de son fils, obligé d'emprunter à taux usuraire pour vivre, et sur les cadeaux indispensables à sa fiancée. Usurier, il prête à des taux exorbitants, calcule, évalue tous les objets qui l'entourent. Dans cette atmosphère poussiéreuse et sordide, où fusent les mots féroces, le père usurier s'oppose au fils emprunteur. L'avarice détruit l'amour filial, l'amour paternel, l'amour quel qu'il soit. La cassette remplie d'or enterrée dans le jardin est l'âme, le cœur, le souffle même d'Harpagon. Les retrouvailles d'un homme et d'une cassette sont ici le seul hymne à l'amour.

Description de l'éditeur

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Description ajoutée par elbaloo 2012-02-19T15:48:37+01:00

Comédie de caractères et farce dans la pure tradition du genre, l'Avare est aussi une satire subtile de la bourgeoisie au XVIIe siècle. Avarice et tyrannie d'un père, dissimulation, misère matérielle et morale du foyer : l'ambiance chez Harpagon n'est pas gaie ! Mais voilà que par ses deux enfants l'amour entre dans la maison. Dans leur course au bonheur, Cléante et Élise apprendront la désobéissance, assistés par le valet La Flèche : ils y gagneront leur indépendance.

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Description ajoutée par anonyme 2010-06-14T17:23:55+02:00

"La peste soit de l'avarice et des avaricieux !"... Car tous ceux qui ont le malheur de fréquenter Harpagon ont à se plaindre de lui, tous ont à subir la tyrannie de ce vieillard irascible rongé par le désir de posséder toujours plus d'argent et d'en dépenser le moins possible. Harpagon refuse à ses enfants des mariages d'amour et impose à tous les pires supplices au nom de cet argent qu'il entasse dans sa "chère cassette". Mais un jour, la cassette disparaît...

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Description ajoutée par bookemixer 2010-05-14T14:10:26+02:00

Ah ! l'odieux vieillard ! Donner est un mot pour qui il a tant d'aversion qu'il ne dit jamais : "Je vous donne", mais : "Je vous prête le bonjour". Avare jusqu'au ridicule puisqu'il fait même comparaître en justice le chat d'un de ses voisins pour lui avoir mangé le reste d'un gigot ! Avare jusqu'au sordide aussi. Ne cherche-t-il pas à prêter à un taux usuraire l'argent qu'il refuse à son fils ? N'est-il pas prêt à vendre sa fille à qui offre de la prendre sans dot ? Quant à sa prétendue attirance pour Mariane, elle ne résiste pas à sa fascination pour l'or. Mais à chacun son trésor

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Description ajoutée par anonyme 2009-08-08T15:57:03+02:00

Dans " L'Avare ", l'argent est le nerf de la guerre. Il détermine les êtres, qu'ils soient vieux ou jeunes, riches ou sans le sou, avares ou prodigues, et s'insinue au coeur des rapports humains. Cette grande comédie créée en 1668 met en scène un univers où tout n'est que contrats, et ou tout a un prix : manger, boire, se vêtir, aimer, ne pas mourir ; un monde où les sentiments filiaux sont sapés par le vice pathologique d'un homme qui n'est pas seulement avare, mais aussi convoiteux et paranoïaque. Et le vice aura le dernier mot. " L'Avare ", pièce morale ? La question mérite d'être posée.

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Description ajoutée par Al3xDr 2023-01-28T00:42:23+01:00

Un vieil avare amoureux d'une jeune fille, un fils rival de son père, un aristocrate déguisé en domestique, deux demoiselles passionnées, une intrigante, un cuisiner jaloux, un valet futé, tels sont les personnages hauts en couleur de l'Avare.

Dans cette comédie, créée en 1668, Molière met en scène une famille bourgeoise dont les conflits, traités sur un mode comique, nourrissent une intrigue pleine de quiproquos et de coups de théâtre. Jusqu'au dénouement heureux qui voit triompher la jeunesse et l'amour.

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Description ajoutée par BooksFan-ny 2020-09-29T00:40:33+02:00

Ah ! l'odieux vieillard !

"Donner est un mot pour qui il a tant d'aversion qu'il ne dit jamais : "Je vous donne", mais : "Je vous prête le bonjour"."

Avare jusqu'au ridicule puisqu'il fait même comparaître en justice le chat d'un de ses voisins pour lui avoir mangé le reste d'un gigot !

Avare jusqu'au sordide aussi. Ne cherche-t-il pas à prêter à un taux usuraire l'argent qu'il refuse à son fils ? N'est-il pas prêt à vendre sa fille à qui offre de la prendre sans dot ?

Quant à sa prétendue attirance pour Mariane, elle ne résiste pas à sa fascination pour l'or.

Mais à chacun son trésor !

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Description ajoutée par anonyme 2017-03-28T08:56:32+02:00

Harpagon est un vieillard odieux et avare. Avare jusqu'au ridicule, puisqu'il fait même comparaître en justice le chat d'un de ses voisins pour lui avoir mangé le reste d'un gigot ! Avare jusqu'au sordide aussi. Ne cherche-t-il pas à prêter à un taux usuraire l'argent qu'il refuse à son fils ? N'est-il pas prêt à vendre sa fille à qui offre de la prendre sans dot ? Quant à sa prétendue attirance pour Mariane, elle ne résiste pas à sa fascination pour l'or.

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Description ajoutée par AudacieuseErudite 2015-08-19T15:03:30+02:00

Cette comédie en cinq actes et en prose de Molière a été écrite en 1668. Créée au Palais-Royal le 9 septembre 1668, la pièce est ensuite publiée à Paris. Médiocrement accueillie, elle n'est jouée que neuf fois avant d'être retirée. Les spectateurs sont déroutés par les "ambivalences esthétiques" et par l’utilisation de la prose (ce qui est assez rare pour une pièce en cinq actes de l’époque). Il y avait au début de 1669, un espoir de remonter l’Avare, mais celui-ci fut balayé par le triomphe de Tartuffe enfin autorisé à être joué à cette période.

L’Avare a pourtant été rapidement considérée comme l’archétype de la Comédie de Molière. Le succès de la pièce fut posthume . Cette pièce a été jouée 2078 fois à la Comédie française entre 1680 et 1963 . C'est la seconde pièce la plus jouée derrière Tartuffe.

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Description ajoutée par RedBlueMoon 2014-11-24T19:13:21+01:00

L'Avare

Harpagon n'a jamais quitté l'affiche. Il a endossé tous les costumes, pris les traits les plus divers, changé d'emploi bien souvent. On l'a vu pathétique, bouffon, tragique, méchant, shakespearien, halluciné, délirant, clownesque, parfois. Au prodigieux spectacle de ce bourg affairiste richissime, de cet usurier possédé tyrannisant une famille charmante, faut-il rire ou pleurer ? Faut-il plaindre ou haïr ce forcené qui enterre son or et ne donne jamais mais " prête " le bonjour ? Molière était le meilleur, le plus aimable et généreux des hommes. Son public lui réclamait des farce bouffonneries. Mais son génie comique cache mal un des auteurs les plus noirs et les plus féroces de tous les temps, l'inventeur de ces monstres d'égoïsme, névrosés d'Alceste, Don Juan, Arnolphe, et de cet Harpagon, nos semblables, nos frères.

Le bourgeois gentilhomme

Maître de musique, maître à danser, maître d'armes, maitre de philosophie, maître tailleur, soupers fins, billets doux, rendez-vous secrets... les plus folles extravagances sont entrées au logis : monsieur Jourdain s'est mis en tête des idées de noblesse et de galant homme.

Hélas, pour avoir des idées notre homme n'en est pas moins bourgeois. Et sa bourgeoise, madame Jourdain, ne l'entend pas de cette oreille. Son mari décide de marier leur fille unique à un marquis ? Jamais ! Au fils du Grand Turc ? Il a perdu l'esprit !

Qu'il se ridiculise autant qu'il le souhaite, qu'il fasse de la prose autant que bon lui semble, monsieur Jourdain a, grâce au Ciel, valet moins sot que lui. La farce que le coquin lui prépare sera, celle-là, du meilleur goût !

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