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Résumé
Si Mary Shelley apparaît de nos jours comme l’auteur d’une seule œuvre, Frankenstein, (1816), elle ne cessa d’écrire et ses autres romans, en particulier Lodore (1835) et Falkner (1837), loués en leur temps pour leur vérité psychologique, furent mieux accueillis que son premier roman ou que The Last Man (1826).
Pourtant, si elle fut attirée, après la mort du poète Percy Shelley, son mari, par une littérature plus sentimentale, elle resta dans une certaine mesure fidèle à l’idéalisme romantique et aux idées de ses illustres parents, Mary Wollstonecraft, l’auteur de Défense des droits de la femme, et de William Godwin, l’auteur de Saint Léon et de Caleb Williams. Ses courts écrits en témoignent. De 1829 à 1839, parallèlement aux romans, Mary Shelley compose des histoires, contes et récits, pour le magazine Keepsake. L’ensemble de ces textes, rassemblés par Richard Garnett en un recueil Tales and Stories (London, 1891) fit, en 1975, l’objet d’une réédition en fac similé (Folcroft Library Editions).
Tirés de cet ouvrage, inédit en France, les quatre récits traduits sont représentatifs de l’inspiration de Mary Shelley. Le pacte avec le Diable, le philtre d’immortalité, les rêves prémonitoires, les souterrains… sont autant de matériaux, empruntés à la littérature gothique, et marqués au sceau de sa sensibilité douloureuse.
L’Endeuillée (1830), Transformation (1831), Le Rêve (1832) et L’Immortel mortel (1834), parcourus par les thèmes obsédants de la mort et du deuil impossible, évoquent, chacun sous une forme différente, à l’opposé de Frankenstein et pourtant dans la même veine, un Prométhée humain, peut-être trop tristement humain.
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