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L'Enfant



Description ajoutée par Oo_Emmanuelle_oO 2015-05-20T20:43:37+02:00

Résumé

L'enfant, Jacques Vingtras, c'est Jules Vallès. Un gamin vêtu en charbonnier quant il n'est pas attifé de redingotes et de chapeaux vertigineux. J'ai l'air d'un poêle, dit-il, les étrangers me saluent, les savants me regardent .

Sauter, courir, se battre... tous les jeux de son âge lui sont interdits. Les corrections, non ! Pincé, balafré, tamponné, bourré, souffleté, frotté, cardé et tanné , il est le tambour sur lequel sa mère bat les rra et les fla ...

Un enfant dont les malheurs défraient la chronique mais un gosse qui a une imagination de feu. Tour à tour cocasses ou poignants, souvenirs, rites et manies, épisodes dérisoires ou sordides d'une famille délirante composent un récit qui prête à rire, enchante et émeut.

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Classement en biblio - 497 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par x-Key 2010-12-01T18:53:33+01:00

Je puis penser, causer avec moi, ce sont mes seuls moments de grand silence. Je ne suis pas distrait par le bruit de la foule où ma timidité m'isole.

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Commentaire le plus apprécié

Argent

Vallès raconte l'enfance du petit Jacques, fils d'un instituteur et d'une marâtre . Jacques, c'est Jules... Jules c'est l'auteur mais pourtant valles dit ne pas avoir réalisé une autobiographie...

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Talou61 2023-12-15T11:16:10+01:00
Lu aussi

Le petit martyr…

Quelle enfance, que celle de Jules Vallès qu'il raconte dans son autobiographie "L'Enfant" qui constitue le premier tome d'une trilogie (L'Enfant, Le Bachelier et L'Insurgé) !

Entre une mère très violente qui le bat continuellement, sans raison, et un père soumis, irascible puis brutal, Jules s'invente le pseudonyme de Jacques Vingtras pour décrire cette enfance malheureuse.

Il écrira cette autobiographie en 1876, à 44 ans, alors qu'il est en exil à Londres, après une condamnation à mort prononcée par un Tribunal militaire pour sa participation à la Commune de 1871 et que sa fille Jeanne-Marie est morte l'année précédente, âgée de moins d'un an…

Ce roman paraîtra en feuilleton dans le journal Le Siècle en 1878.

Il est très difficile pour moi d'écrire une chronique sur ce livre ; d'abord, parce qu'il est autobiographique et qu'il transpire de violences, d'ennui, de solitude.

Jules Vallès écrit un roman catharsis pour se libérer de ses souffrances. Mais le style est journalistique : ce n'est pas un beau roman, mais une suite de mésaventures vécues par le petit Jules racontées assez sèchement, comme si l'auteur voulait se détacher de cet enfant et de ses souvenirs de 3 à 16 ans…

Je ne sais pas si c'est par humour ou par résignation, que Jules Vallès en arrive à écrire que sa mère avait du courage car "elle se sacrifiait, elle étouffait ses blessures, elle tordait le cou au premier mouvement pour se livrer au second : au lieu de m'embrasser, elle me pinçait ; vous croyez que cela ne lui coûtait pas ! Il lui arrivait même de se casser les ongles. Elle me battait pour mon bien, voyez-vous. Sa main hésita plus d'une fois ; elle dut prendre son pied."

Alors que j'ai souffert avec l'enfant Vallès, j'ai pris peu de plaisir à lire ce roman.

Quelle vie triste mais acharné à survivre et à s'insurger, Jules Vallès dédit son roman "A tous ceux qui crevèrent d'ennui au Collège ou qu'on fit pleurer dans la famille, qui, pendant leur enfance furent tyrannisés par leur maîtres ou rossés par leurs parents, je dédie ce livre."

Ce livre reste une autobiographie qui raconte les souffrances d'un enfant et une approche de ce XIXe siècle si riche d'auteurs par ailleurs…

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Commentaire ajouté par Xandra95 2023-06-25T18:02:31+02:00
Pas apprécié

Même si l'écriture était bonne, je n'ai pas accroché à l'histoire.

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Commentaire ajouté par Virginie-229 2022-09-28T22:57:18+02:00
Lu aussi

Lu avec ma fille pour son cours de français de Troisième. Pas inintéressant mais les tournures de phrases sont parfois assez complexes pour de jeunes lecteurs. C'est suffisamment cynique pour être drôle quelquefois, en dépit de la noirceur ambiante.

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Commentaire ajouté par Gibet 2022-09-28T19:50:56+02:00
Diamant

Jules Vallès est peut-être mon écrivain du XIXème siècle préféré. Pas le plus prolifique certes, mais le plus exact et jubilatoire, sûrement. Vallès, qui se masque derrière le personnage de Jacques Vingtras (mêmes initiales), nous narre ici une enfance dure, violente, oscillant entre une condition de prolétaire et de petit bourgeois, idée qui le répugne. Non, Vingtras est un garnement du populaire, qui dit "liberté", plus que "libertas", qui aux références classiques (tant extra-texuelles que purement stylistiques) ajoute une verve cynique jubilatoire. Mais, à l'inverse de celle que l'on trouve dans l'Insurgé, par exemple, ici, elle apparaît comme enfantine, mais pas au sens négatif du terme. L'enfant serait le journal intime d'un enfant doué de talents inouïs pour l'écriture. Paysage social dépeint sans fioriture, souffrance masquée par un cynisme décapant, des images qui touchent au grotesque, Jules Vallès est le maître du roman politique, qui l'est peut-être, sans aspirer à l'être complètement. Autrement dit, on trouve dans ce roman, des traces de la "petite histoire", celle du peuple (cf. Ariès), une abondance de détails de la vie quotidienne particulièrement informatrice (notamment sur la question des violences familiales et leur perception au milieu du XIXème siècle) et une écriture brillante (dans tous les sens que le terme accepte), plus pince-sans-rire que tire-la-larme, un monument de la littérature, tout simplement.

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Commentaire ajouté par rabanne73 2022-08-04T15:18:26+02:00
Lu aussi

Un roman lu durant le lycée. C'est le récit autobiographique assez sombre de l'enfance difficile, miséreuse et martyrisée de l'auteur. Jules Vallès raconte une société pétrie de misère affective et intellectuelle, une fin qui justifie les moyens, dont la dureté de l'éducation. Un XIXème siècle où l'enfant n'a pas de place reconnue, encore moins valorisée, dans lequel on se débat comme on peut et dont on peut se sortir parfois... Vraiment indemne ?

Qui aime bien châtie bien ?! Mais non, qui châtie bien éduque bien. Or l'adage est ici exercé de façon cruelle, gratuite, démente. Jacques ne trouve même pas la raison de se rebeller ou, pire, de se plaindre de son sort. Il ne hait pas son bourreau. Il va trouver cependant réconfort dans l'étude et la lecture...

J'ai ressenti beaucoup de frustration devant le fatalisme de Jacques, bouillant intérieurement de révolte contre ces parents odieux, cette mère "ordinairement" maltraitante et lâche.

(dès la 2nde)

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Commentaire ajouté par jpkobal 2022-06-22T05:15:52+02:00
Or

L'écriture étonnamment moderne et fluide de ce livre pourtant écrit en 1879 nous fait traverser l'enfance de Jacques Vingtras (en réalité Jules Vallès). Même si la violence domestique reste présente comme un fil rouge à travers le récit, on s'accroche avec le narrateur à une lueur d'espoir qui va le mner immanquablement à la délivrance. Texte extrêmement sensible et touchant.

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Commentaire ajouté par Lucarne 2022-06-08T06:05:13+02:00
Bronze

Je viens de le lire et je suis surpris par l'humour et l'ironie qui suinte a chaque page de ce livre et par cette langue simple , directe qui me rappelle voyage au bout de la nuit et mort à crédit de Céline bien que l'auteur pourrait être son père.Une très bonne surprise.

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Commentaire ajouté par prune30 2022-06-07T11:27:21+02:00
Pas apprécié

Un classique, mais assez triste de voir l'éducation de Jules, même si à l'époque on élevé pas les enfants comme aujourd'hui, il y a quand même des limites... Là la maltraitance est flagrante et c'est horrible....

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Commentaire ajouté par OceaneLa86 2022-02-02T23:11:26+01:00
Lu aussi

De quoi passer un bon moment

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Commentaire ajouté par EliaL 2021-12-05T18:40:45+01:00
Bronze

J'apprécie ce livre, notamment parce que les personnages ont pour la plupart réussi à éveiller mon intérêt.

Il est étrange de constater que l'enfant, Jacques, accepte l'idée que ses parents, et surtout sa mère, le batte, pour son bien. La mère, madame Vingtras apparait à la fois comme un psg antipathique par son manque de discrétion, sa vulgarité et une manière de voir les choses assez particulière, pourtant, on sent que malgré tout, elle aime son fils à sa manière.

Le père, par sa lâcheté et son désir de ne pas faire de vagues, suscite l'agacement.

Malgré une lecture longue, je conseillerai ce roman, notamment, comme je l'ai dit plus haut, car les personnages -selon mon point de vue- ont le mérite d'être vraiment intéressant, et aussi car on ressent assez bien les sentiments de Jacques, qui est, comme il est indiqué sur la couverture, otage de ses parents.

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Date de sortie

L'Enfant

  • France : 2012-08-29 - Poche (Français)

Activité récente

Évaluations

Les chiffres

lecteurs 497
Commentaires 67
extraits 32
Evaluations 114
Note globale 6.51 / 10

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