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L'Enfant de Donovan McCoy / Les Amants du lac



Description ajoutée par Underworld 2019-11-11T19:31:22+01:00

Résumé

** L’enfant de Donovan McCoy - Susan Crosby **

Série "Le clan des McCoy" - Tome 2

Après avoir longtemps résisté aux avances de Donovan McCoy, Laura a fini par accepter cette incroyable attirance qui semble irrémédiablement les lier l'un à l'autre. Elle commence même à penser que celui-ci pourrait bel et bien être l'homme de sa vie. Des rêves de bonheurs qui s'effondrent lorsque Donovan lui annonce son désir d'avoir un enfant. Car c'est précisément la seule et unique chose qu'elle ne sera jamais capable de lui offrir...

* * *

Certaine que ce séducteur à la terrible réputation ne pourra que la faire souffrir, Laura s’est toujours tenue à distance de Donovan McCoy. Pourtant, quand celui-ci lui demande conseil pour élever le fils dont il vient seulement de découvrir l’existence, elle est incapable de lui fermer sa porte…

Titre en VO : Love and the Single Dad

Série en VO : The McCoys of Chance City

Description en VO :

Newly minted father Donovan McCoy had to give it a try—he owed it to the little boy who now called him "Daddy." So the photojournalist had to say goodbye to his life on the road and learn to find joy a little closer to home. Perhaps with the girl—now woman—who, despite all his travels, he'd never been able to forget?

Beauty-queen-turned-attorney Laura Bannister had never really left. But she'd long abandoned the hope of attaining her real definition of home—a man she loved and children of her very own. Yet here was Donovan and his precious child, making her wonder if happily- ever-after could still be in the cards—for all of them….

** Les amants du lac - Michele Dunaway **

Lorsque Chase McDaniel apprend que son grand-père a confié les rênes de l’entreprise familiale à une certaine Miranda Craig, il est incapable de cacher sa colère. N’était-ce pas à lui que devait revenir cette responsabilité ? Il est donc bien décidé à se mettre en travers du chemin de cette intrigante…

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Classement en biblio - 7 lecteurs

extrait

** Extrait offert par Susan Crosby **

-- L'Enfant de Donovan McCoy --

- 1 -

Donovan McCoy jeta ses bagages dans le coffre de son 4x4 de location, puis refit mentalement la liste de tout ce qu’il avait mis dans sa sacoche : billet d’avion, passeport, dictaphone, ordinateur et téléphone portables. Chargeurs ? Oui, il les avait pris. Quant au volumineux dossier des recherches qu’il avait faites sur Internet, il ne risquait pas de l’avoir oublié. Il n’avait pas encore tout lu dans le détail ; il aurait tout le temps de s’y plonger pendant les longues heures de vol qui l’attendaient.

Bientôt, il serait de nouveau loin de sa famille. Personne n’avait manqué à l’appel, la veille, à l’occasion du barbecue organisé en son honneur ; de sa grand-mère de quatre-vingt-neuf ans à sa nièce de deux mois, les trente-deux membres du clan McCoy avaient tous tenu à être là pour lui dire au revoir.

La fête, comme d’habitude, avait été superbe.

Donovan claqua la portière de sa voiture avec une brutalité qui le surprit lui-même. Depuis son réveil, il ressentait une nervosité inhabituelle dont il ne parvenait pas à se défaire. Mais il n’avait nullement l’intention d’en chercher les raisons, d’autant qu’il lui restait peu de temps pour préparer son départ.

Alors qu’il s’apprêtait à retourner dans la maison de son frère pour une dernière vérification, une voiture s’arrêta devant l’allée. Il reconnut aussitôt la décapotable rouge — et sa sublime conductrice, qui exposait son visage au soleil de juillet.

— Il paraît que tu t’en vas, lança-t-elle.

Laura Bannister. Au cours des deux mois qu’il venait de passer en ville, il avait réussi à éviter de se trouver seul avec elle. Il s’y était appliqué de toutes ses forces, de crainte de succomber à ses charmes. Déjà, à l’époque où elle était entrée au lycée, alors qu’il était, lui, en fin de scolarité, il avait eu un mal fou à résister à ses avances. Et il ne pouvait s’empêcher de regretter cette décision. Quinze ans s’étaient écoulés depuis lors, mais le souvenir de ce jour ne cessait de le hanter.

Il avança lentement vers elle, prenant le temps de contempler son corps de rêve. Sa tenue était plus décontractée que d’habitude. Ses cheveux blonds détachés, décoiffés par le vent, lui donnaient un air délicieusement sauvage, qui rajouta à son trouble. Même son magnifique regard noisette, d’habitude si franc et sincère, se cachait aujourd’hui derrière les verres teintés de ses lunettes de soleil. Pour sa tranquillité, il aurait préféré garder à l’esprit une image d’elle plus convenue que celle qu’elle lui offrait à cet instant : celle d’une femme fascinante et terriblement sexy, pour laquelle il brûlait de désir.

S’appuyant sur le bord du pare-brise, il profita de ce moment pour observer à la dérobée ses formes sublimes, mises en valeur par son short blanc et son débardeur rose. Il n’était pas le seul à être devenu fou de sa silhouette de déesse, qui lui avait valu le surnom de « The Body ».

— Laura ! C’est mardi, aujourd’hui. Tu n’es pas au bureau ?

— Je fais l’école buissonnière.

— Toi ? Ce jour est à marquer d’une pierre blanche !

Elle baissa ses lunettes et lui adressa son irrésistible regard, plein d’assurance ; sans doute celui qu’elle utilisait comme arme au tribunal. Un regard qui n’admettait aucune objection.

— Alors, où pars-tu, cette fois ? demanda-t-elle.

— Je vais faire un tour du côté de Mexico. Je dois continuer l’enquête que j’ai commencée le mois dernier pour NewsView.

— C’est un coin dangereux ?

— Je verrai bien.

— Pour une fois, ta famille a pu profiter de toi un peu plus de quelques jours, dit-elle en mettant ses lunettes dans ses cheveux. Tu vas leur manquer, ajouta-t-elle après une pause.

— Je suis sûr que Joe sera ravi d’avoir de nouveau sa maison pour lui tout seul.

Même si son frère n’en avait rien dit, Donovan avait compris qu’il ne valait mieux pas qu’il abuse de son hospitalité. Après douze ans de travail presque ininterrompu, il avait brusquement ressenti le besoin irrépressible de s’accorder de longues vacances, c’est pourquoi il s’était installé chez Joe. Une chose était sûre : il ne comptait pas attendre encore tout ce temps avant de se retrouver de nouveau parmi les siens.

— Tu as sans doute raison, approuva Laura. Je vis seule depuis si longtemps que je ne sais pas si je serais capable de partager ma maison avec quelqu’un d’autre.

— Je te comprends très bien.

Avaient-ils d’autres choses en commun ? Heureusement, il n’avait pas eu l’occasion d’en parler avec elle au cours de ces deux derniers mois. Il n’avait pas la moindre envie de se découvrir des affinités avec une femme qui lui plaisait déjà plus que de raison ; cela aurait rendu sa situation beaucoup trop compliquée…

Parce qu’elle était d’ici, de Chance City, sa ville natale. Et qu’il avait quitté cet endroit dès sa sortie du lycée, quinze ans plus tôt, sans le moindre regret.

— Je ne voudrais pas te retarder, dit-elle, la main sur la boîte de vitesses, après avoir remis ses lunettes en place.

Curieusement, il ne pouvait accepter l’idée de la laisser partir aussi vite, aussi resta-t-il appuyé sur sa voiture pour la retenir.

— Et à quoi Laura Bannister, notre célèbre avocate et reine de beauté, occupe-t-elle son temps libre ?

— Eh bien… Je me détends. Je sors d’une séance de massage, et maintenant, je rentre chez moi. Je vais nager un peu, puis m’allonger sur une chaise longue et lire enfin quelque chose de plus excitant que mes dossiers professionnels.

— J’ai beaucoup entendu parler du fameux bikini que tu portais le jour de la fête du Travail, plaisanta-t-il en se rappelant l’e-mail que son frère Jake lui avait envoyé quelques mois plus tôt.

— C’est vrai ? s’amusa-t-elle.

Sur ses lèvres roses et pulpeuses se dessina le sourire le plus sexy qu’il ait jamais vu.

— A vrai dire, poursuivit-elle, chez moi, je ne prends pas la peine de mettre un maillot de bain ; je suis beaucoup mieux sans. Au revoir, Donovan. Fais attention à toi.

Et elle s’éloigna.

Troublé par les images érotiques qu’elle venait de lui mettre en tête, il se hâta de rentrer pour s’occuper l’esprit avec des choses pratiques. Que lui restait-il à mettre dans son sac ? Il aperçut sur la table une photo de toute la famille que son neveu avait prise la veille, pendant la fête, pour qu’il puisse l’emporter. Il ne comptait pas s’en séparer ; ainsi, lorsque les gens auraient du mal à croire qu’il avait cinq sœurs, deux frères et dix-sept neveux et nièces, il n’aurait qu’à brandir cette preuve.

Il était heureux des deux mois qu’il venait de passer à Chance City. Les moments partagés avec ses frères étaient tellement précieux… Surtout les parties de pêche avec Jake, son aîné de quatre ans, qui lui avaient tant manqué. Quant à Joe, qui avait trois ans de moins que lui, comme il avait changé ! Il n’était plus le bébé de la famille ; à présent, c’était un homme, lui aussi.

Alors qu’il s’apprêtait à partir pour de bon, un gobelet de café à la main, Donovan entendit le téléphone sonner. Il savait que l’appel ne lui était sans doute pas destiné, et qu’il lui suffisait de laisser le répondeur s’enclencher. Pourtant, il profita de ce prétexte pour retarder son départ. Décidément, il avait du mal à quitter sa tribu.

— Oh, quelle chance, je n’appelle pas trop tard, dit une voix de femme lorsqu’il décrocha. C’est Honey, à l’appareil.

C’était la propriétaire du Lode, le restaurant que tous les habitants de Chance City connaissaient et appréciaient.

— Je suis sur le point de me rendre à l’aéroport, Honey. Que se passe-t-il ?

— Il y a une femme ici, qui te cherche.

— Qui donc ?

— Je n’ai pas saisi son prénom. Blonde, anglaise. Mme Bogart, quelque chose comme ça.

— Bogard, rectifia-t-il machinalement.

Anne Bogard. Que pouvait-elle bien lui vouloir, après toutes ces années ?

— Donovan ? Tu es toujours là ?

— Oui. Que lui as-tu répondu ?

— Que j’allais voir si tu n’étais pas déjà parti.

Il voulut d’abord lui faire dire qu’elle n’avait pas réussi à le joindre. Mais cette visite était si inattendue… Finalement, sa curiosité l’emporta.

— Envoie-la chez Joe, s’il te plaît, Honey.

— Très bien.

Dès qu’il eut raccroché, une foule de souvenirs lui revinrent en mémoire. Anne et lui s’étaient connus à l’époque où ils couvraient tous les deux la guerre en Afghanistan. Une même ferveur les animait, un même désir acharné d’être au plus près des événements qui faisaient l’histoire. Son reportage avait valu plusieurs prix à Donovan, et avait marqué le véritable point de départ de sa carrière. Cela avait été une période très riche, professionnellement et humainement.

Leur rupture, qui remontait à plus de cinq ans, avait été douloureuse, mais inévitable, puisqu’ils n’étaient prêts ni l’un ni l’autre à sacrifier leur vie d’aventurier pour sauvegarder leur relation. Depuis lors, il lui était arrivé de voir sa signature au bas de quelques articles, mais elle n’avait apparemment pas suivi la même voie que lui, en fin de compte. Sans doute s’était-elle lassée des risques qu’impliquait la vie de grand reporter.

Si les premiers temps avaient été difficiles, cette histoire était derrière lui, à présent. Depuis plusieurs années déjà.

Néanmoins, il ressentit une pointe d’appréhension en voyant une berline bleu foncé se garer devant la maison. Après une brève hésitation, il décida de sortir à la rencontre d’Anne.

Il ouvrit la porte d’entrée, les tempes battantes.

C’est alors qu’il se figea de surprise en voyant non pas Anne sortir de la voiture, mais sa mère, Millie.

L’angoisse l’étreignit. Si Millie s’était donné le mal de traverser l’Atlantique pour venir le trouver, ce n’était certainement pas pour une raison anodine.

— Bonjour Millie, l’accueillit-il, l’esprit en déroute.

— Bonjour Donovan. Tu as l’air en forme.

Elle lui donna une accolade, ce qui ne l’effraya que plus encore ; contrairement à sa mère à lui, ce n’était pas du tout dans les habitudes de Millie.

Il s’écarta légèrement et la regarda dans les yeux, incapable de formuler son interrogation. Manifestement, il n’en fallut pas davantage à Millie pour lire son inquiétude.

— J’aime mieux te l’annoncer tout de suite : Anne est morte le mois dernier.

— Que s’est-il passé ? balbutia-t-il.

— Un lymphome.

Après le choc, un immense chagrin lui broya le cœur. Anne était si belle, si pleine de vie…

— Je suis sincèrement désolé, Millie. C’était une femme extraordinaire.

— Oui, c’est vrai. Mais tu dois te demander pourquoi je suis venue, ajouta-t-elle après un silence.

Il acquiesça d’un signe de tête. Il lui avait sans doute fallu une volonté tenace pour le trouver, lui qui était toujours en déplacement.

Alors qu’elle était sur le point de s’expliquer, elle sembla se raviser.

— Tu vas tout de suite comprendre.

Elle ouvrit la portière arrière de la voiture et un petit garçon sortit. Il avait les cheveux bruns et les yeux bleus.

« Il me ressemble », songea Donovan. Et aussitôt, Millie confirma son pressentiment.

— Voici Ethan, ton fils.

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Argent

"L'enfant de Donovan McCoy" de Susan Crosby est le deuxième tome de la série "Le Clan des McCoy"

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Date de sortie

L'Enfant de Donovan McCoy / Les Amants du lac

  • France : 2010-09-01 - Poche (Français)

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