Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 819
Membres
1 008 384

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

L'enfant secret de Noël



Description ajoutée par anonyme 2012-11-17T12:34:34+01:00

Résumé

Lorsque Cole, son époux, apprend qu'il a eu un fils avant leur mariage, Sara est aussi abasourdie que lui. Bien sûr, pas un instant elle ne songe à refuser d'accueillir cet enfant chez eux, et de lui offrir amour et protection. Pourtant, elle est rongée par l'inquiétude. Non seulement elle n'est pas sûre d'être à la hauteur en tant que mère, mais elle redoute que l'arrivée du petit Brody dans leur foyer ne vienne fragiliser son couple...

Afficher en entier

Classement en biblio - 2 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par anonyme 2012-11-17T12:36:28+01:00

C’était certainement vrai. Il avait passé de longues heures à s’assurer que les médecins qui allaient s’occuper de ses malades trouveraient tout en ordre en son absence. Elle s’était quand même demandé s’il n’avait pas un autre souci en tête, mais elle était persuadée qu’une fois parti il oublierait le quotidien. Et si ce n’était pas le cas, le déshabillé de dentelle qu’elle avait prévu de mettre dans sa valise l’y aiderait.

— Amusez-vous bien, dit Sébastien. Et s’il vous fait danser le slow, pensez à moi.

— C’est promis. Je vous reverrai lundi si vous êtes toujours là, et je vous raconterai tout.

Epuisé par la conversation, le vieil homme ferma les yeux.

— C’est cela.

Un peu plus tard, Millie Brennan, une infirmière du service, rejoignit Sara dans le bureau où elle reportait ses observations dans les dossiers des patients.

— Tu as fait tes valises ? lui demanda-t-elle.

— Presque, mais Cole n’a pas commencé la sienne. Je vais m’y mettre dès que je serai rentrée.

— N’oublie pas d’emporter un maillot de bain… Et la lingerie qu’on a achetée ensemble il y a quelques semaines.

— Je n’y manquerai pas.

Sara avait hâte de faire le mannequin dans son déshabillé de dentelle sous les yeux admiratifs de son mari. Officiellement ils allaient faire du ski, mais elle avait d’autres projets…

— Quand partez-vous ? demanda Millie.

— Notre avion décolle demain matin. Nous avions pensé passer la nuit dans un hôtel de l’aéroport, mais cela dépend de Cole. Tu sais comment il est. Il ne pourra pas partir tant qu’il n’aura pas veillé au bien-être de ses patients dans le moindre détail. Sa conscience professionnelle devient parfois frustrante, quand elle interfère dans nos projets.

— Ce qui ne t’empêche pas de l’aimer.

Sara hocha la tête.

Elle était tombée amoureuse de Cole quasiment le jour de leur première rencontre, quand il avait fait son entrée dans le service en tant qu’interne de première année. Elle-même débutait dans le métier, et il avait eu pitié d’elle lorsqu’elle avait fait tomber un plateau de suture. La tasse de café qu’il lui avait apportée ainsi que la conversation qui avait suivi avaient marqué le début de leur relation professionnelle et privée.

— Exact… A ce propos, je me demande ce que je vais lui offrir pour Noël. J’ai encore deux mois devant moi, mais ça va passer vite.

— Il ne t’a pas dit ce qu’il voudrait ?

— Il veut énormément de choses, mais ensuite il se les achète lui-même, malgré mes protestations.

— Tu n’as plus qu’à lui acheter des chaussettes et des sous-vêtements.

— Je devrais, mais je ne serai pas aussi cruelle. Je trouverai bien une idée pendant le week-end.

— Bonne chance ! Qu’est-ce qu’on peut donner à un homme qui a tout ?

Quoi, en effet ? se demanda Sara.

Son seul souhait aurait été d’annoncer à Cole qu’il allait être père. Ayant grandi entre deux frères et une sœur, elle voulait que leur maison résonne du même piétinement de petits pieds que celle de ses parents. Malheureusement cela ne dépendait pas de sa seule volonté.

Elle s’efforçait d’être patiente, ainsi que Cole le lui conseillait. Si cela leur arrivait un jour, et aussi longtemps qu’ils s’aimaient, cela valait la peine d’attendre.

Peu après 18 heures, elle quitta l’hôpital, la tête remplie de projets pour le week-end.

Son excitation ne fit augmenter quand elle vit les lumières de la maison allumées et la voiture de Cole dans le garage.

Il avait fini son service plus tôt que prévu ?

— Quelle bonne surprise ! lança-t-elle en ôtant sa parka et ses gants. Je ne pensais pas que tu rentrerais avant 20 heures.

Lorsqu’elle entra dans la cuisine, Cole se leva pour l’embrasser sur la joue, mais son sourire crispé l’alerta immédiatement.

— Les choses ont tourné autrement que nous ne l’espérions, lui dit-il. Tu veux un café ?

La gorge serrée, elle observa son mari.

— Tu n’en bois jamais à une heure aussi avancée de la journée. Il y a un problème ?

— Il fait froid, dehors. Tu préfères peut-être un thé ?

— Cole ! Je sais qu’il fait froid, mais je n’ai ni soif ni faim. Tu as visiblement quelque chose derrière la tête, alors dis-le… Oh, non ! On va devoir annuler le voyage, c’est ça ? Il y a eu un problème, et Chris ne peut pas te remplacer ?

— Sara, l’interrompit-il, ne saute pas sur les conclusions. Il ne s’agit pas de mon travail. Assieds-toi.

Elle obéit et croisa les mains sur ses genoux.

A son tour, Cole s’effondra sur la chaise la plus proche et posa sa chope sur la table.

— Un avocat m’a appelé cet après-midi.

Elle frémit, car les hommes de loi annoncent rarement de bonnes nouvelles aux médecins.

— Quelqu’un poursuit l’hôpital ? Ou toi ?

— Rien de tel. Me Maitland travaille dans un cabinet de Tulsa.

Sachant qu’il avait grandi dans cette ville, elle s’inquiéta.

— Il est arrivé quelque chose à un membre de ta famille ?

— Non.

— Qu’est-ce qu’il te voulait, alors ?

— Tu te rappelles cet article de journal à propos d’un hélicoptère qui s’est écrasé ?

— Oui. Nous avons parlé d’une infirmière…

— Ruth Warren, oui. Il se trouve que je la connaissais. Plutôt bien, en fait.

Elle lui prit la main, surprise de la trouver si froide.

— Je suis désolée, Cole.

— Nous étions de bons amis au lycée, mais je ne l’ai revue qu’une fois depuis. A l’occasion d’une réunion d’anciens élèves.

— Tu ne m’en as jamais parlé, dit Sara en fronçant les sourcils. Quand était-ce ?

— Tu te souviens de ces dix jours en juillet, après notre rupture ?

— Bien sûr.

— C’est pendant cette période que cette réunion a eu lieu, le 4 juillet. Je n’avais rien d’autre à faire, alors j’y suis allé.

— Vraiment ? Je suis d’autant plus surprise que tu ne voulais pas retourner à Tulsa de peur de croiser un membre de ta famille.

— Exact. J’ai obéi à l’impulsion du moment. Quoi qu’il en soit, c’est à cette occasion que j’ai revu Ruth.

Sara pressa doucement les doigts de son mari.

— Je suis contente que tu aies pu la revoir. Tu as eu de ses nouvelles par la suite ?

— Non. Pas un mot.

Cole n’avait jamais parlé d’elle, en effet. Mais il faisait rarement allusion aux événements qu’il jugeait insignifiants.

— En ce cas, pourquoi cet avocat t’a-t-il contacté ?

— Il est chargé de la succession de Ruth. Elle m’a inclus dans son testament, ainsi que toi.

— Ah bon ? Elle nous a laissé un coffre rempli de ses souvenirs de lycée ?

La plaisanterie tomba à plat.

— Elle nous a légué quelque chose de plus précieux… Son fils.

Sara sursauta.

Rien n’aurait pu être plus choquant que cette nouvelle.

— Son fils ? Quel âge a-t-il ?

— Deux ans et demi. Son anniversaire tombe en avril, le 2.

La surprise et le choc se muèrent en émotion.

— Oh, Cole ! Pauvre petit garçon sans mère ! C’est pratiquement un bébé !

Mais pourquoi cette femme avait-elle décidé de leur confier son enfant, à eux plutôt qu’à l’une ou l’autre de ses relations ?

— Pour quelle raison nous a-t-elle désignés pour être les tuteurs de cet enfant ? demanda-t-elle. Elle ne m’a jamais rencontrée, et tu dis toi-même que vous n’êtes pas restés en contact. Il n’y a pas de père ? Pas de famille ? Elle n’avait pas d’amis plus proches que toi ? Comprends-moi, je ne me plains pas, mais j’essaie de comprendre pourquoi elle confie son enfant à de quasi-étrangers.

— Elle n’avait pas de famille. Ruth a grandi dans une famille d’accueil, qu’elle a quittée dès qu’elle a eu son diplôme.

— Si tu ne l’as pas revue depuis trois ans, sa décision est malgré tout bizarre. Il doit y avoir une raison.

Les doigts de Cole se crispèrent sur sa chope.

— Il y en a une, mais pour te l’exposer j’ai une confession à te faire.

Une sonnette d’alarme retentit dans l’esprit de Sara.

— D’accord, dit-elle lentement.

— Ruth et moi, pendant ce week-end…

Cole inspira profondément avant de poursuivre.

— J’ai fait quelque chose de stupide… Plusieurs, en fait. J’étais en colère parce que tu ne te satisfaisais pas de notre relation telle qu’elle était…

— Le concubinage.

— Oui. Je t’en voulais parce que, après toutes ces années de vie commune, tu pensais ne pas pouvoir être heureuse si je ne te passais pas la bague au doigt.

Elle secoua la tête, blessée qu’il n’ait pas compris qu’elle souhaitait franchir avec lui une étape supplémentaire.

— Oh, Cole ! Je ne voulais pas un anneau d’or ou un énorme diamant. C’était ce que l’alliance représentait. Un engagement pour le reste de notre vie.

— Je l’ai compris plus tard. Mais pendant cette première semaine de séparation, pendant que j’étais blessé et fâché, je suis allé à cette réunion, et… j’ai bu beaucoup trop de margaritas.

D’ordinaire, Cole buvait très peu, mais elle pouvait comprendre un tel écart. Cela arrivait à tout le monde un jour ou l’autre, même si ce n’était pas très intelligent.

— Et alors ? s’enquit-elle d’une voix enrouée.

— Quand j’ai revu Ruth, nous avons pas mal discuté de ce que nous avions fait pendant ces dix années… Nous avons échangé des confidences, et elle m’a aidé à voir quelques vérités pénibles en face.

— Tu veux dire que c’est ton amie Ruth qui t’a persuadé de me demander en mariage ?

Elle avait toujours cru qu’il n’avait eu besoin de personne pour prendre cette décision. Elle était déçue à l’idée qu’il n’y avait pas été amené par son amour pour elle, mais parce qu’une étrangère le lui avait conseillé.

— Ce n’est pas Ruth qui m’a convaincu, insista Cole. Elle a simplement mis en évidence ce que je savais déjà, mais que je n’arrivais pas à admettre… à savoir que je t’aimais et que je ne pouvais pas imaginer la vie sans toi. C’était même pour cette raison que j’étais aussi en colère et malheureux. Et si je t’aimais, je devais affronter mes peurs et te demander en mariage.

Des peurs ?

Elle avait besoin de souffler un peu, de comprendre le sens exact de cette confession.

Elle leva les deux mains pour l’interrompre.

— Une minute ! Tu disais toujours que tu te marierais quand tu serais prêt, mais j’apprends aujourd’hui que cette perspective t’effrayait ? Pourquoi ne pas me l’avoir dit ? Nous en aurions discuté.

— Rappelle-toi ! J’ai essayé, mais la conversation a dégénéré, et tu es partie.

Elle faillit protester, dire à Cole qu’il aurait pu la retenir, lui téléphoner ou trouver n’importe quelle autre solution. Mais il aurait été stupide de se focaliser sur cet instant précis.

— D’accord, dit-elle calmement. Nous savons tous les deux que les choses auraient pu se passer différemment. Mais franchement, Cole, qu’est-ce qui te faisait peur ?

— Je craignais de ne pas être le mari que tu voulais ou dont tu avais besoin, que notre relation change… Notre vie était parfaite telle qu’elle était, et j’avais peur que le mariage ne gâche tout.

— Mais pourquoi ? s’exclama-t-elle, incrédule. Nous vivions ensemble depuis deux ans, et auparavant nous étions sortis ensemble pendant une année entière. Comment pouvais-tu penser que…

— Tu oublies que pour ma part la vie familiale s’est arrêtée quand j’avais huit ans. J’ignorais à quoi ressemblait une union heureuse. Quand je suis entré à l’université, je ne savais pas si le foyer harmonieux dont je me souvenais était réel ou le fruit de mon imagination.

Elle garda le silence pendant un instant.

— D’accord, je peux le comprendre, mais tu as dû surmonter tes craintes, puisque tu es venu me trouver chez mes amis pour me demander de t’épouser.

L’idée que Cole avait pu en discuter avec une femme qu’il n’avait pas revue depuis des années plutôt qu’avec elle la contrariait, mais il était inutile de revenir là-dessus. Elle espérait seulement qu’à l’époque il n’avait pas simplement choisi entre deux maux.

— Me marier avec toi a été la meilleure décision que j’aie jamais prise, ne l’oublie jamais, dit Cole.

Son ton véhément alarma Sara.

— Je te crois, dit-elle prudemment. Si je comprends bien, c’est parce que Ruth et toi avez échangé des confidences et parce que vous avez noyé vos chagrins dans l’alcool qu’elle a voulu te confier son enfant s’il lui arrivait quelque chose ?

Visiblement crispé, Cole évita son regard.

— Malheureusement, nous avons fait plus que discuter et boire.

Ce fut comme s’il venait de lui asséner un coup au creux de l’estomac.

— Oh, Cole ! Je t’en prie, ne me dis pas que tu… que toi et ton ancienne camarade d’école, vous…

Il hocha la tête.

— Nous avons couché ensemble. Ce n’était pas prémédité, je te le jure. J’ignorais qu’elle participerait à cette réunion. L’effet cumulé de mes propres soucis, de l’alcool et du fait que Ruth avait besoin elle aussi de se confier à quelqu’un… Tous ces éléments se sont réunis pour que cela arrive. Je n’ai jamais rien fait de tel, que ce soit avant ou après et, tu peux me croire, je n’ai cessé de le regretter depuis.

Elle devinait qu’il avait été proche du désespoir, mais pour l’instant elle était trop anéantie par cette révélation pour lui accorder l’absolution. Il lui semblait que tout son corps se muait en bloc de glace.

— Tu aurais dû m’en parler, dit-elle. Dès ton retour, nous aurions pu avoir cette conversation à propos de tes doutes… Et de Ruth.

— C’est vrai, mais j’avais trop honte. Je savais que cette confession pouvait avoir des effets dévastateurs entre nous, même si officiellement toi et moi ne formions pas un couple au moment des faits. Je ne voulais pas que mon erreur détruise nos chances de bonheur.

Aurait-elle refusé de l’épouser si elle avait su qu’il avait eu une aventure avec une autre femme ?

Après leur rupture, elle était tellement dévastée qu’une telle confession l’aurait peut-être persuadée qu’il valait mieux en rester là… Pour être franche, elle ne savait pas comment elle aurait réagi. Peut-être aurait-elle seulement prolongé leurs fiançailles jusqu’à ce qu’elle soit sûre que Cole ne conservait aucune réticence.

— Si je pouvais revenir en arrière pour tout effacer, je le ferais.

— Tu es désolé que ce soit arrivé, ou de me l’avoir dit ?

Il aurait pu ne rien dire, s’offusquait une petite voix dans sa tête.

— Il ne se passe pas un jour sans que je regrette ce que j’ai fait, déclara Cole en la regardant dans les yeux.

Sa douleur semblait sincère, mais désormais elle se demanderait toujours s’il avait vraiment voulu l’épouser ou s’il en avait trouvé le courage au fond d’une bouteille. Combien d’autres secrets gardait-il en réserve ? Il y en avait certainement quelques-uns, car il refusait souvent d’aborder les sujets trop personnels.

Elle devait reconnaître qu’ils avaient rompu au moment des faits. Cela ne l’empêchait pas de souffrir à l’idée qu’il soit tombé si vite dans le lit d’une autre femme, cependant elle était certaine qu’il lui était resté fidèle depuis.

Et puis, il n’était pas obligé de lui dire la vérité, pourtant il en avait pris le risque. Si elle rompait avec lui si longtemps après, cela signifierait que son amour pour lui n’était pas bien solide.

— Sara ?

Elle laissa échapper un long soupir.

— Ce qui est fait est fait.

Cole se frotta la nuque.

— Malheureusement, je ne t’ai pas encore tout dit.

— Quoi ? Ce n’est pas à cause de ce qui s’est passé entre vous cette nuit-là qu’elle a voulu te confier son enfant ?

— Sara, Brody a trente mois. Son second anniversaire a été fêté au début du mois d’avril.

— Oui, tu me l’as déjà dit.

— Fais le calcul.

Sara demeura un instant silencieuse, puis la lumière se fit dans son esprit. Elle prit une profonde inspiration, comme si l’oxygène manquait soudain dans la pièce.

— Oh, mon Dieu ! C’est aussi ton fils !

Auparavant, elle semblait choquée, mais maintenant son visage reflétait l’horreur.

Afficher en entier

Ajoutez votre commentaire

Ajoutez votre commentaire

Commentaires récents


Date de sortie

L'enfant secret de Noël

  • France : 2022-12-01 (Français)

Activité récente

Les chiffres

lecteurs 2
Commentaires 0
extraits 1
Evaluations 0
Note globale 0 / 10

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode