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En 1974, nous étions en mesure de présenter un second film, Le Prêtre, le Peintre et le Démon, et une fois encore le public s'enthousiasma. Mais notre démarche était devenue si complexe, si loin s'étendaient ses ramifications que, de toute évidence, elle allait très vite excéder les possibilités d'une seule personne. Pour une investigation unique, pour une voie choisie, que d'informations négligées ou abandonnées ! C'était toute une équipe qu'il nous fallait. Fort heureusement, au cours de l'année 1975, le hasard, qui une fois déjà avait si bien fait les choses, m'autorisa à penser que le travail accompli ne serait pas inutile, et que nous pourrions le poursuivre. Je rencontrai en effet Richard Leigh à l'université d'été. Romancier, nouvelliste, spécialiste des littératures comparées et possédant une connaissance profonde de l'histoire, de la philosophie, de la psychologie et de l'ésotérisme, il avait aussi enseigné dans des universités canadiennes, anglaises et américaines. Comme, au cours de nos passionnantes discussions, je lui parlais des Templiers qui tenaient une place capitale dans l'histoire de Rennes-le-Château, Richard Leigh me confia qu'il s'intéressait aussi à cet ordre médiéval, et avait entrepris à son sujet des recherches importantes. Je lui fis part alors des anomalies découvertes au cours de mes travaux et il n'hésita pas à m'éclairer de toute sa science, mais pour le reste s'étonna comme moi. Enfin, conquis par mon projet, il me proposa son aide concernant les Templiers et me présenta à Michael Baigent qui venait de quitter une brillante carrière de journaliste pour se consacrer lui aussi entièrement à des recherches sur l'ordre du Temple et à un film qu'il projetait sur le sujet. Pouvais-je espérer meilleurs collaborateurs, plus compétents, plus enthousiastes, ou imaginer plus enivrante sensation de renouveau et de dynamisme que celle qu'ils apportèrent avec eux ? Le premier résultat tangible de notre collaboration allait s'appeler L'Ombre des Templiers ; c'était un troisième film sur Rennes-le-Château, produit par Roy Davies en 1979. L'enquête nous avait menés jusqu'aux bases mêmes sur lesquelles reposait tout le mystère de Rennes-le-Château, et pourtant ce n'était qu'un tout petit début. Au-delà, derrière les apparences, existait quelque chose de beaucoup plus surprenant, de beaucoup plus significatif, dépassant de loin tout ce que nous avions pu imaginer lorsque nous avions commencé nos recherches sur le plaisant petit mystère soulevé en France par le curé d'un humble village de montagne. En 1972, j'avais terminé mon premier film sur ces mots : « Quelque chose de très extraordinaire va être révélé… et il le sera dans un avenir proche. » Aujourd'hui cet ouvrage explicite ce « quelque chose ». Il raconte aussi l'histoire d'une fascinante découverte.

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En seuls frais de timbres-poste, Saunière engage déjà des sommes appréciables, dépassant de beaucoup ses modestes possibilités. Mais, à partir de 1896, il se lance dans des dépenses inexplicables et sans précédent qui, à sa mort en 1917, se monteront à plusieurs millions. Une partie d'entre elles sont consacrées à de louables travaux destinés à améliorer la vie du village, une route, des adductions d'eau. D'autres sont plus discutables, comme celles qui servent à l'érection de la tour Magdala sur l'à-pic de la montagne, ou à la construction d'une énorme bâtisse, la villa Bethania, que Saunière n'aura jamais l'occasion d'habiter. Quant à l'église, elle connaît une nouvelle décoration, mais des plus bizarres. Une inscription latine est gravée sur le linteau du porche, où l'on peut lire : Terribilis est locus iste (ce lieu est terrible) Immédiatement à l'entrée s'élève une statue hideuse, grossière représentation d'Asmodée, gardien des secrets et des trésors cachés, et bâtisseur, au dire d'une légende judaïque, du Temple de Salomon. Sur les murs de l'église un chemin de croix, vulgaire et agressif, chaque station se caractérisant par un détail choquant, rajouté et erroné, mais toujours plus ou moins éloigné des récits des Écritures reconnus par l'Église. Ainsi, sur la huitième peinture figure un enfant enveloppé d'un plaid écossais et, sur la quatorzième, le corps de Jésus porté dans la tombe sur fond de ciel nocturne sombre, éclairé par la pleine lune, comme si Saunière avait voulu suggérer quelque chose. Mais quoi ? Que cette mise au tombeau a eu lieu après la tombée du jour, plusieurs heures après celle indiquée par la Bible ? Ou bien que le corps est non pas déposé dans la tombe, mais qu'on est en train de l'en sortir ?

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« Ainsi revenions-nous à une notion de lignée, de lignée royale, et le Graal étant, entre autre choses, un vase, il pouvait contenir du sang, le sang d’une race. Mais de quel sang s’agissait-il, et de quelle race ?... "

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